Paris (France)

Edition originale, un des 90 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête.
Très bel exemplaire à toutes marges.

Edition originale, un des 90 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête.
Très bel exemplaire à toutes marges.

Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Une petite tache sans gravité sur la tranche.
Envoi autographe signé de François Nourissier à Alfred Fabre-Luce et sa femme Charlotte.
 

Nouvelle édition.
Reliure de l'éditeur en pleine toile jaune moutarde, dos lisse.
Petites piqûres claires sur la tranche supérieure.
Agréable exemplaire complet de son rhodoïd, ex-libris encollé sur une garde.
Envoi autographe signé de Jean d'Ormesson à Alain Kerloc'h.




 

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse.
Quelques piqûres affectant principalement les gardes et la tranche.
Bel envoi autographe signé d'Angelo Rinaldi : " A Dominique Aury qui, la première a lu ce livre, et qui, la seule, a vu l'image dans le tapis - ajoutant cette gentillesse et cette récompense à tant de marques d'amitié, pour lui dire toute ma gratitude. Angelo Rinaldi. Paris 174."

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse.
Exemplaire complet de son prière d'insérer.
Envoi autographe signé de Bertrand de Jouvenel à Alfred Fabre-Luce.

Edition originale sur papier courant.
Quelques piqûres sur le dos et les tranches supérieures, exemplaire complet de sa bande annonce.
Envoi autographe signé d'Edgar Faure à René et Raymond Bousquet.

Edition originale sur papier courant.
Dos légèrement insolé sans gravité.
Bel envoi autographe signé de Marc Chadourne à Alfred Fabre-Luce : "... pour qu'il retrouve sur nos pistes croisées les domaines d'un monde qui ne rêve plus..."

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche.
Quelques discrètes taches rouges portant atteinte à la planche.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur rehaussée au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche.
Quelques discrètes taches, sans gravité.
La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas au centre de la planche.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. 
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
 

Edition originale de la traduction française, un des 45 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Ex-libris encollé sur la page en regard de la page de garde.
Dos et plats légèrement décolorés comme généralement.

Edition originale de la traduction française, un des 41 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Ex-libris encollé sur la page en regard de la page de faux-titre.
Dos et plats légèrement décolorés comme généralement, agréable exemplaire.

Edition originale de la traduction française, un des 41 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Ex-libris encollé sur la page en regard de la page de faux-titre.
Dos et plats légèrement décolorés comme généralement, agréable exemplaire.

Edition originale de la traduction française, un des 41 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Ex-libris encollé sur la page en regard de la page de faux-titre.
Dos et plats légèrement décolorés comme généralement, agréable exemplaire.

Edition originale de la traduction française, un des 31 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Ex-libris encollé sur la page en regard de la page de faux-titre.
Dos et plats légèrement décolorés comme généralement, agréable exemplaire.

Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur Annam, tirage de tête.
Ouvrage illustré de quatre cuivres de Charles Guyot.
Dos légèrement éclairci, agréable exemplaire.

Ordonnance autographe signée de Dupuytren rédigée à l'encre noire au recto d'un feuillet de papier blanc. 
Pliures inhérentes à l'envoi.
Ordonnance prescrivant "repos absolu au lit, de quinzaine en quinzaine un moxa autour du genou malade. Ces moxa devront avoir la largeur d'un écu de 3 francs. Ils ne devront pas être entretenus mais abandonnés à eux-mêmes et être remplacés par d'autres à mesure qu'ils sécheront. Un bain entier à l'eau chaude et salée, tous les 3 ou 4 jours et pendant une heure de durée. L'habitation de lieux aérés secs exposés au midi."
La moxibustion, méthode ancienne de médecine chinoise et japonaise, consiste à réchauffer - à l'aide des moxas (du japonais mogusa, une variété d'armoises) - un point d'acupuncture et à faire pénétrer la chaleur à travers la peau.

Ensemble de six négatifs photographiques (5 sur plastique et un sur verre) visualisant des hémorragies au microscope réalisés dans les années 1950 par Alfred L. Copley dans son laboratoire parisien. Chaque négatif sauf un est accompagné d'une fiche technique à en-tête du laboratoire de Copley.
Sous le pseudonyme de L. Acopley, ce scientifique et artiste de l'Ecole de New York réalisa des oeuvres emblématiques de l'expressionnisme abstait. Médecin de formation, il s'intéressa particulièrement à l'hémorhéologie, c'est-à-dire l'étude des propriétés d'écoulement du sang. Les négatifs que nous proposons sont un précieux témoignage de ses recherches et furent une inspiration incontestable pour ses oeuvres picturales.
Ses oeuvres sont aujourd'hui conservées au musée national d'Art moderne de Tokyo, à l'Art Institute de Chicago, au Stedelijk Museum d'Amsterdam et au musée Israel de Jérusalem.

Edition de la bibliothèque de La Pléiade imprimée sur papier Bible.
Reliures éditeur en plein mouton grainé bleu, têtes bleues, dos lisses ornés de filets dorés.
Deux petits manques sur le rhodoïd en tête du dos du cinquième volume, trois infimes manques sur les rhodoïds des deuxième et quatrième volumes au niveau des têtes des dos, sinon agréable ensemble.
L'ensemble est complet de ses rhodoïds, de ses jaquettes (sauf pour le deuxième volume) et de ses étuis.
Notre exemplaire est également bien complet de ses 6 tableaux généalogiques dépliants des maisons de Bouillon, de Bourbon, de Condé, de Conti, d'Elbeuf, de Guise, de Soissons, de Lorraine, de Rohan, Le Tellier dont il est question dans les "Mémoires" du duc de Saint-Simon.

Édition originale en volume.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage blanc, dos lisse, premier plat illustré.
Ouvrage illustré de dessins humoristiques de Jacques Faizant.
Agréable exemplaire en dépit des plats légèrement et partiellement jaunis en leurs marges.
Envoi autographe signé de Jacques Faizant à Jeanne Cacouault.


 

Édition originale en volume.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage blanc, dos lisse, premier plat illustré.
Ouvrage illustré de dessins humoristiques de Jacques Faizant.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Jacques Faizant à Jeanne Cacouault.


 

Édition originale en volume.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage blanc, dos lisse, premier plat illustré.
Ouvrage illustré de dessins humoristiques de Jacques Faizant.
Agréable exemplaire, une mention "bon anniversaire 1971" inscrite discrètement au stylo bille bleu au verso du premier plat.
Envoi autographe signé de Jacques Faizant à Jeanne Cacouault.

Edition originale publiée par André Castelot de ces mémoires du peti-fils du duc de Berry, un des 300 exemplaires numérotés sur vélin, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos éclairci à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée.

Edition illustrée de 29 gravures originales de Pierre-Yves Trémois gravées à l'eau-forte et au burin et imprimée à 225 exemplaires numérotés sur vélin de Rives.
Etui légèrement et marginalement fendu sans gravité.
Bel exemplaire.

Edition originale, un des 95 exemplaires numérotés sur vergé pur fil, tirage de tête avec 95 Hollande.
Reliure en demi chagrin marron à coins, dos légèrement éclairci à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée.

Edition originale, un des exemplaires numérotés sur vélin pur fil.
Reliure en demi chagrin marron à coins, dos légèrement éclairci à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée.

 

Edition originale, un des 25 exemplaires hors commerce numérotés sur Madagascar, tirage de tête après 10 Chine et 21 Hollande.
Reliure en demi chagrin marron à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couverture conservée, tête dorée sur témoins.
Quelques petites piqûres sans gravité.
Envoi autographe signé d'Emile Henriot à Jérome Tharaud et aux membres de sa famille.

Edition originale illustrée d'un frontispice de Tony Johannot gravé par Andrew, Leloir et Best et collé sur Chine.
Reliure en plein maroquin bleu marine de Russie, dos à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées, dos également orné de triples caissons dorés et décorés de motifs typographiques dorés, frises dorées en tête et en queue, date dorée en queue, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement de triples filets dorés sur les plats agrémentés en écoinçons de motifs typographiques dorés, gardes et contreplats de soie moirée framboise, encadrement de septuples filets dorés sur les contreplats, gardes suivantes de papier caillouté, ex-libris encollé sur une garde, filets dorés sur les coupes, superbe reliure pastiche romantique signée Noulhac.
Quelques rousseurs.
Exemplaire magnifiquement établi en reliure romantique pastiche de Noulhac.
 

Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur pur fil du Marais, seuls grands papiers avec quelques pur fil du Marais hors commerce.
Reliure en demi chagrin noir à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée.
Exemplaire agréablement établi.

Edition illustrée de 25 lithographies originales d'Yves Brayer, un des 150 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma.
Couvertures et dos intégralement brunis, sinon bel exemplaire.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Dos décoloré et insolé.

Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Envoi autographe signé de Francis Jourdain à maître Maurice Garçon.
 

Edition originale sur papier courant, fausse mention de cinquième édition.
Agréable exemplaire au regard de la médiocre qualité de ce papier de guerre rationné par l'occupant nazi.

Edition originale sur papier courant.
Envoi autographe signé de Jean Cassou à Jacques Henri Jouheaud : "... ce vieux livre que sa jeune amitié a rajeuni, de tout coeur..."

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Emouvant envoi autographe signé de Georges Didi-Huberman à un couple d'amis proches : "Pour mes Hubermont's chéris - avec toute ma tendresse. Georges".
 

Nouvelle édition de la traduction française illustrée de 118 gravures dans le texte.
Reliure en demi chagrin vert bouteille, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés et orné de fleurons dorés, quelques frottements sur les nerfs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier caillouté.
Quelques rousseurs.

Edition originale imprimée à 200 exemplaires hors commerce numérotés.
Introduction du général Marquis de Brantes.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe daté et signé du général de Brantes, arrière-petit-fils de J.G. Lacuée,  à Alfred Fabre-Luce.

Edition originale, un des 85 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 15 pur fil.
Reliure en demi chagrin bleu nuit à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale de la traduction française et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des 170 exemplaires numérotés et réservés aux abonnés.
Une petite déchirure en tête du premier plat, sinon agréable exemplaire de ces mémoires de Julio Alvarez Del Vayo qui fut membre du Parti socialiste ouvrier espagnol et ministre des Affaires étrangères pendant la guerre civile espagnole.

Edition originale de la traduction française et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des 250 exemplaires numérotés et réservés aux abonnés.
Petites piqûres sur la première garde.

Edition originale publiée par le Cercle Taleb-Moumié et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des 300 exemplaires numérotés et réservés aux abonnés..
Agréable exemplaire.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.
A propos de Littré, Claude Bernard, Louis Pasteur, Jean Charcot, Honoré de Balzac, Marcel Proust, Gustave Flaubert, Emile Zola, Eugène Delacroix, Stendhal, Prosper Mérimée, Georges Clemenceau, Paul Valéry, Charles Baudelaire...

Edition originale, un des 35 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire.

Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur vergé pur fil Lafuma, tirage de tête après 20 Arches.
Second plat légèrement assombri sans gravité, agréable état intérieur.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.

Edition originale, un des 200 exemplaires numérotés sur papier de luxe pour chacun des volumes, seuls grands papiers.
Reliures en demi chagrin marron à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, têtes dorées sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Maurice Pons à mademoiselle Ourévitch.
 

Lettre autographe signée de George Sand adressée à l'éditeur Léon Curmer. Une page rédigée à l'encre noire sur un double feuillet. 
Cette lettre a été publiée dans la correspondance complète réunie par Georges Lubin.
"Monsieur, J'ai parcouru votre recueil avec beaucoup d'intérêt, et j'accepte la collaboration que vous m'avez offerte, mais je ne pourrais m'occuper de vous satisfaire que dans six semaines ou deux mois. Si cette époque vous convient veuillez bien me le faire savoir ainsi que les conditions de la rédaction. " Le "recueil" dont il est ici question n'est autre que Les Français peints par eux-mêmes. Sand ne collaborera cependant pas à cette monumentale somme de types lui préférant, quelques années plus tard Le Diable à Paris publié sous la direction de son proche ami l'éditeur Hetzel.

Edition originale, un des 41 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire.

Edition originale, un des 15 exemplaires numérotés sur vélin du Marais, seuls grands papiers.
Petites piqûres sur le dos.

Edition originale de la traduction française, un des 70 exemplaires numérotés sur alfa mousse, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin fauve à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Dos et plats marginalement éclaircis.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin marron chocolat à coins, dos légèrement décoloré à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale, un des 150 exemplaires numérotés sur pur fil du Marais, tirage de tête après 100 Arches.
Reliure en demi chagrin bordeaux à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couverture conservée.
Dos et plats très légèrement et marginalement éclaircis sans gravité.
Exemplaire agréablement établi.
Envoi autographe signé d'André Maurois à Bernard Gauche : "... ces trois Mousquetaires...", signature manuscrite d'André Maurois en dessous de la justification du tirage.

Edition originale, un des 25 exemplaires hors commerce numérotés sur Madagascar, tirage de tête après 16 Japon mis dans le commerce.
Reliure en demi chagrin caramel à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée.
Bel exemplaire agréablement établi.
Envoi autographe signé d'Emile Henriot à Maurice Parturier.

Edition originale, un des 15 exemplaires numérotés sur alfa mousse, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos éclairci à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Exemplaire agréablement établi.

Edition originale, un des 99 exemplaires numérotés sur alfa mousse, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'Alain Robbe-Grillet à Claude Couffon.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Dos et plats légèrement et marginalement éclaircis, sinon bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Envoi autographe signé de Willy de Spens à Christine Arnothy.

 

Edition originale, un des 700 exemplaires sur papier de couleurs, le nôtre justifié au crayon de papier.
Exemplaire complet de sa jaquette arc-en-ciel rempliée qui comporte de petits manques angulaires et sur les rabats, agréable état intérieur.
Texte de Michel Tapié.
Ouvrage illustré de 32 images de Jean Dubuffet.
Envoi autographe daté et signé de Jean Dubuffet à l'écrivain, journaliste et historien du théâtre Paul-Louis Mignon.

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Légères rousseurs sans gravité sur les tranches.
Agréable exemplaire.

Nouvelle édition.
Petites rousseurs sans gravité sur les tranches, sinon agréable exemplaire.

Edition originale, un des 52 exemplaires numérotés sur alfa seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos très légèrement éclairci à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale illustrée de reproductions de sculptures de Ludmila Tcherina.
Reliure en plein cartonnage noir, dos lisse, premier plat illustré, coins et coiffes légèrement émoussés.
Envoi autographe daté et signé de Ludmila Tcherina : "Au proffesseur (sic) Jean Malaurie c'était le soir du grand jour "panthéonien" où le feu même gela ! Comme vous voyez... je ne vous oublie pas."
 

Edition illustrée de 31 eaux-fortes originales de Jacques Ramondot et imprimée à 145 exemplaires nominatifs sur vergé de Fabriano.
Dos de la chemise et de l'étui éclaircis, plats légèrement et marginalement ombrés sans gravité.
Ex-libris encollé en regard du colophon.
Notre exemplaire est bien complet de la très belle affiche multicolore pliée en 4 reprenant la décoration de la chemise et de l'étui.
Chacun des trois textes est imprimé sur un vergé de différente couleur : gris pour "Les Pâques à New York", gris taupe pour "La Prose du Transsibérien" et jaune moutarde pour "Le Panama ou les Aventures de mes sept Oncles".

Edition illustrée en premier et unique tirage de 18 hors-texte et d'un en-tête à l'eau-forte, de 2 vignettes de titre par Julian-Damazy mis en couleurs à l'aquarelle. Lettrines également rehaussées à l'aquarelle. Tirage limité à 400 exemplaires. Un des 300 sur Hollande numéroté 186.
Reliure en plein maroquin vert d'époque mosaïquée signée Blanchetière en bas du contreplat, avec étui recouvert d'un beau papier à la cuve, or, vert et blanc, et bordé de maroquin brun. Dos à 4 nerfs orné de 4 caissons mosaïqués de maroquin rose avec filets pointillés épousant les contours. Un fer central mosaïqué de vert. Auteur, titre et date en queue dorés. Plat mosaïqué d'un large encadrement de maroquin rose avec des bonnets phrygiens dans les angles, filets pointillés et dorés. Contreplat avec listel de maroquin rose et filets dorés. Tête dorée. Couvertures et dos conservés. Dos devenu uniformément brun. Papier superbe, parfaitement frais. Exemplaire non rogné, à toutes marges.
Très bel exemplaire.
Un des récits particulièrement frais et réussi du célèbre tandem ERCKMANN-CHATRIAN qui se déroule en 1792 dans les Vosges. Le roman conte l'histoire d'une vivandière laissée pour morte sur le champ de bataille d'Anstatt. Ce roman ressuscite des temps glorieux, la lutte de trente mille volontaires de l'armée de Hoche contre les quatre-vingt mille soldats de Brunswick et de Wurmser.

Mention de troisième édition. Pages de titre en, rouge et noir.
Reliure en demi chagrin rouge d'époque. Dos à nerfs orné. Titre et date dorés. Tête dorée. Exemplaire non rogné. Traces de frottements. Rousseurs éparses.
Bonne édition, réputée, revue sur le manuscrit original.
Bel exemplaire.

Edition originale, un des quelques exemplaires numérotés sur alfa pour le premier volume, un des quelques exemplaires numérotés sur Japon bambou pour le second, seuls grands papiers.
Reliures en demi chagrin maron chocolat à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, têtes dorées sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.
 

Edition originale de la traduction française, un des 20 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 1 vélin d'arches imprimé spécialement la reine Elisabeth II.
Reliure en demi chagrin bleu à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Dos légèrement éclairci, sinon bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin havane à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, coins légèrement émoussés, tête dorée sur témoins.
Dos légèrement éclairci, bel exemplaire agréablement établi.
Envoi autographe signé de Paul-Marie de la Gorce à Bernard Gauche, signature manuscrite de Paul-Marie de la Gorce en dessous de la justification du tirage.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe daté et signé d'Erik Orsenna à René de Obaldia.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers pour chacun des volumes.
Agréable ensemble. 
Envois autographes datés et signés de Pierre Vidal-Naquet à Yvonne et Roger Rey sur chacun des volumes.
 

Edition originale. Impression sur vélin. Couvertures illustrées sur Japon. Illustrations à l'aquarelle de Albert Lynch, gravées à l'eau-forte en couleurs par Eugène Gaujean. 20 gravures en couleurs (dont 10 hors texte), 10 lettrines illustrées en couleurs, nombreux Culs-de-lampes et vignettes en noir. 
Reliure en plein chagrin mosaïqué d'époque, bleu et brun. Dos à nerfs orné de 4 fleurons dans des caissons décorés.Roulettes en queue et tête. Pièce de titre de maroquin bordeaux, pièce de datation de chagrin orné brun. Plats mosaïqués d'un large rectangle d'encadrement très richement décoré dans le genre des reliures à dentelles, fers dans les écoinçons et angulaires, multiples filets d'encadrement. Large dentelle intérieure. Doubles gardes. Tranches dorées. Couvertures conservées. 
Très bel exemplaire, parfaitement frais, à grandes marges.
Fameuse histoire de la mode féminine sous la plus de Octave Uzanne, et plus particulièrement parisienne, au XIXe siècle. Nymphes et Merveilleuses, Elégantes romantiques, etc... Belle publication.

Edition originale illustrée de 15 gravures originales en taille douce, dont 10 en couleurs, de Maurice de Vlaminck, un des 250 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches.

L'ouvrage est également illustré de 2 portraits d'Amedeo Modigliani représentant Maurice de Vlaminck et sa femme.

Reliure en plein maroquin vert Empire, dos à deux gros nerfs se prolongeant en triangles et à froid sur les plats, dos ornés de trois losanges dorés avec titre frappé à l'or et séparé par une barre dorée transversale, gardes et contreplats de papier marbré,  encadrement de triples filets dorés sur les contreplats, couvertures et dos conservés, tête dorée, étui bordé de maroquin vert Empire, plats de papier marbré, reliure de l'époque signée des ateliers C. Muller, relieur nancéen.

Signature manuscrite de Maurice de Vlaminck au crayon de papier en dessous de son portrait en frontispice.

Dos légèrement assombri, sinon bel exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Bel exemplaire complet de sa bande annonce.
Envoi autographe signé de Jean d'Ormesson à une femme prénommée Jeanne.




 

Edition originale, un des 218 exemplaires numérotés sur alfa, tirage de tête après 29 pur fil.
Reliure en demi chagrin bleu marine à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Bel exemplaire agréablement établi.
Signature manuscrite de Raymond Recouly sur la page de faux-titre.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Envoi autographe signé de Pierre Paraf : "A mes amis Les Etudiants Juifs de France en cordial et dévoué hommage. Pierre Paraf."
Provenance : de la bibliothèque des Etudiants Juifs de France avec le tampon imprimé au verso du premier plat.

 

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire
Envoi autographe daté et signé de Philippe de Coninck à Denise Got.


 

Edition illustrée de 34 compositions originales en couleurs d'Albert Robida gravées par Bertrand et imprimée à 115 exemplaires numérotés et nominatifs sur vélin du Marais.
Reliure en plein maroquin rouge, dos à quatre nerfs sertis de pointillés noirs et orné de triples caissons (deux dorés et un noir), encadrement de triples filets dorés et d'un listel de maroquin noir sur les plats, gardes et contreplats de papier marbré, contreplats décorés en écoinçons de motifs floraux stylisés et dorés enrichis de pièces de maroquin mosaïqué brun figurant leurs pétales, couvertures et dos conservés, toutes tranches dorées, étui bordé de maroquin rouge, plats de papier marbré, intérieur de feutrine blanche, élégante reliure de l'époque datée de 1903 et signée Meunier.
Très bel exemplaire superbement établi.

Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin aubergine à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets à froid, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Conclusion de Louis Armand.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale de ce choix de textes recueillis par Dominique Fourcade.
Dos ridé, exemplaire complet de son prière d'insérer polycopié.
Précieux envoi autographe signé de Dominique Fourcade à André Masson.