Envoi aurographe signé de l'auteur à André Warnod : "... En souvenirs de nos belles nuits, son ami..."
Infimes piqûres sur les gardes et certains témoins.
Edition originale imprimée sur vergé et pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers.
Notre exemplaire est enrichi de cette pensée autographe de Natalie Clifford Barney : "Aurais-je mis toute ma méchanceté dans ce petit livre que vous me trouviez bonne ? Votre si appréciatrice Natalie Clifford-Barney."
Gardes uniformément ombrées, agréable exemplaire.
Nouvelle édition, établie sur celle de 1635, les traductions des citations y sont placées pour la première fois en regard du texte (Tchemerzine). Elle est illustrée en frontispice du célèbre portrait de Michel de Montaigne et comprend bien l'"Epistre de Mademoiselle de Gournay" et sa préface. Grande vignette de Daret sur la page de titre en rouge et noir. Cette édition a été partagée entre plusieurs libraires, et bien que celle portant l'adresse de Courbe soit la plus célèbre, on la trouve chez Pierre Recollet, Courterot, Loyson. Belle impression par Henri Estienne.
Reliure XIXème en demi maroquin rouge à coins signée David. Dos à cinq nerfs richement orné de caissons et fleurons dorés. Doubles filets dorés sur les plats. Tête dorée. Quelques frottements et coins émoussés. Intérieur très frais, bel exemplaire à toutes marges.
Une des éditions les plus appréciées des Essais.
Édition originale française, rare, traduite par Jean-Baptiste Robinet, après la première anglaise parue en 1769. Quatre pages de titre séparées.
Reliures de l'époque en plein veau blond marbré. Dos lisses ornés. Pièces de titre en maroquin rouge, et de tomaison en maroquin vert. Légers frottements en coiffes, mors et coins. Bel exemplaire, de surcroît très frais.
Roman épistolaire se déroulant au Canada. « Les rites romantiques du Canada et les mœurs de ses habitants sont décrits dans ce roman avec une grande vérité », Revue des Romans (1839). Frances Brooke (1724-1789), femme de lettres anglaise, vivait au Canada où elle s'était mariée avec un ministre anglican. Un lieutenant part au Canada français dans le but d'installer un établissement, et réside à Québec, Montréal (dont il fait d'amples descriptions). Le lieutenant accomplit certains voyages au Canada, à New-York, et nous fait part de ses réflexions politiques, sur la nécessité d'unir les Français et les Anglais, sur les mœurs des Hurons, etc. Roman très intéressant sur le Canada vers 1765 et les différentes colonies (cession définitive du Canada français à l'Angleterre en 1763).