Trfès claires piqûres en pied du premier plat, agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'André Malraux à Edouard Caen.
Exemplaires comportant un envoi autographe de l'auteur, c'est-à-dire une dédicace manuscrite réalisée pour un proche. Émouvant écho de la genèse de l'œuvre et des liens de l'écrivain avec ses contemporains, l'envoi est un témoignage unique de la vie de l'auteur.
Edition originale, un des exemplaires numérotés sur vélin, seul tirage.
Cartonnage de l'éditeur relié d'après la maquette originale de Paul Bonet.
Riche iconographie.
Agréable exemplaire complet de sa jaquette illustrée.
Précieux envoi autographe signé d'André Malraux : "Pour Georges Bataille André Malraux."
Edition originale sur papier courant en dépit d'une mention de douzième édition.
Papier jauni et légèrement cassant sur les tranches, un petit manque sans gravité en tête des feuillets du premier cahier qui a été mal découpé.
Bel envoi autographe signé d'André Malraux sur la page de faux-titre : "A André Germain - cet ancien portrait de moi-même où je ne me rconnais guère que par endroits - avec le fidèle souvenit et la sympathie d'André Malraux."
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur rives, le nôtre non justifié, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin rouge, dos à cinq nerfs soulignés de pointillés dorés et orné de doubles filets dorés, petites taches sur le dos, plats, gardes et contreplats de papier marbré, premier plat de couverture conservé, coins très légèrement émoussés, tête mouchetée, reliure de l'époque.
Précieux envoi autographe daté et signé de Marcel Bleustein, qui prit le pseudonyme de Blanchet pendant la Résistance, à Paul Verneyras.
Homme de presse, militant syndicaliste et homme politique, Paul Verneyras s'engage dans la Résistance dès 1940 en participant au développement du mouvement Libération-Nord avec Gaston Tessier. Pour son action pendant l'occupation, Paul Verneyras sera décoré de la rosette de la Résistance et fait officier de la Légion d'honneur.
Emouvant hommage d'un Résistant à un autre Résistant.
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part du Mercure de France paru le 15 mai 1920. OCLC ne recense aucun exemplaire en bibliothèque américaine, et seulement trois en Europe (Bnf, Bibliothèque Doucet, Universitätsbibliothek Basel).
Petits manques et déchirures en marges des plats, second plat partiellement ombré, un manque en marge droite d'un feuillet en raison de la fragilité du papier.
Envoi autographe signé de Ricciotto Canudo au peintre Bernard de Blois : "... en sympathie de voisin de logis et d'esthétique. Canudo 1922."
Extrêmement rare édition originale de l'argument du ballet Skating-Rink, dans lequel les danseurs évoluent sur une patinoire, créé par les Ballets suédois sur une chorégraphie de Jean Börlin et la musique d'Arthur Honegger, ainsi que des costumes, rideau et décors de Fernand Léger.
Ce poème-livret futuriste s'inspire directement du film de Charlie Chaplin, Charlot patine (The Rink, 1916), utilisant la patinoire comme métaphore de la vie trépidante des villes modernes, avec ses répétitions mécaniques et son cercle vicieux d'attirance et de rejet.
L'envoi de Canudo date de l'année de la création du ballet, en 1922 au théâtre des Champs-Elysées par les Ballets Suédois, compagnie fondée par le collectionneur d'art suédois Rolf de Maré sur le modèle des Ballets Russes de Diaghilev. "L'action de ce « Ballet aux patins », sous-titre donné par Canudo à son poème livret, se déroule à Paris dans la salle du bal populaire Tabarin transformé en piste de patinage ou Skating Rink pour patin à roulette. Le Skating qui se pratiquait dans de grandes patinoires comme le Skating Palais de l'avenue du Bois de Boulogne avait conquis les bals populaires et les caf'conc' dès 1875 mais il y revint en force dans les années 1910 après la révolution du roulement à billes" (Josiane Mas). Le dynamisme de cette activité avait conquis les futuristes italiens adeptes des expressions du mouvement - et également inondé la culture populaire avec le film de Charlot, certainement découvert par Canudo lors d'une permission de l'armée française pendant la Première guerre mondiale.
La rare édition originale du poème de Canudo est le véritable point de départ de cette œuvre d'art totale que sera Skating-Rink - le texte autour duquel vont naître compositions musicales, costumes et chorégraphies. Son titre "pour la musique de..." laisse bien entrevoir une œuvre en cours de réalisation dont les artistes n'ont pas encore été tous choisis : Arthur Honegger, célèbre membre du "Groupe des Six", sera chargé en 1921 de la musique et n'en finira l'orchestration que 5 jours avant la création du ballet. Canudo incitera ses collaborateurs à étudier le film de Chaplin, qui se retrouve dans tous les aspects de la production : la figure du « fou » dans l'argument de Canudo deviendra un Charlot coloré et cubiste sous le pinceau de Fernand Léger, tandis que ses mouvements chorégraphiés par Börlin s'inspirent des acrobaties comiques et des innombrables tours de piste du skateur - métaphore du rythme envoûtant de l'industrie et l'agitation quotidienne de la ville moderne. Ces nouveaux concepts de danse et d'arts du spectacle alliaient, au grand dam des critiques, la modernité et la vie populaire inspirées du Nouveau Monde : "En dépit de leurs préoccupations nationales, ce qui rendait Skating Rink et Parade modernes, c'était leurs références américaines : tous deux se tournaient vers Hollywood - Skating Ring vers Charlie Chaplin, Parade vers Les Périls de Pauline -, tous deux faisaient référence au jazz et tous deux se référaient, bien que de manière indirecte, à la modernité mécanique américaine." (Ramsay Burt, Alien Bodies, 2002, p. 32).
Ce texte créé par une figure clé de l'avant-garde parisienne pour les Ballets suédois en 1920 appelle à la convergence entre les arts - littérature, peinture, danse et musique - transformant la scène en une pure manifestation cubiste et futuriste.
De toute rareté, d'autant plus enrichi d'un envoi autographe de Ricciotto Canudo.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Avant-propos de Raymond Queneau.
Claires mouillures sur le dos, quelques taches en marges des plats.
Rare envoi autographe signé de Boris Vian à l'actrice Jacqueline Pierreux, mère de Jean-Pierre Léaud, et à son époux le romancier et scénariste Pierre Léaud : "Pour monsieur Léaud et mame Pierreux avec une bise (pas pour lui). Boris Vian."
En avril 1948, Jacqueline Pierreux créa le rôle de Judy dans l'adaptation théâtrale de "J'irai cracher sur vos tombes" au théâtre Verlaine dans une mise en scène d'Alfred Pasquali.
Edition originale de la traduction française, un des exemplaires du service de presse.
Dos insolé comportant des mouillures, une pâle mouillure en marge droite du premier plat.
Envoi autographe signé du traducteur Maurice Edgar Coindreau à Pierre Ripault.
Edition originale sur papier courant comportant bien le bon achevé d'imprimer du 6 mai 1959, fausse mention de deuxième édition.
Dos très légèrement insolé.
Précieux envoi autographe daté et signé d'Eugène Ionesco à la metteuse en scène, dramaturge et écrivaine Simone Benmussa sur la page de faux-titre.
Notre exemplaire est présenté sous chemise en demi maroquin bordeaux, dos lisse, date en queue, plats de papier bois, étui bordé de maroquin bordeaux, plats de papier bois, ensemble attribué à Thomas Boichot.
Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Patrick Modiano à la metteuse en scène, dramaturge et écrivaine Simone Benmussa et sa compagne l'actrice Erika Kralik.
Conseillère littéraire de la Compagnie Jean-Louis Barrault - Madeleine Renaud, puis, en 1957, rédactrice en chef des Cahiers Renaud-Barrault, Simone Benmussa dirigea aussi, depuis le théâtre de l'Odéon, le service culturel et les Cahiers de la compagnie Renaud-Barrault. Elle adapta au théâtre des ouvrages de son amie Nathalie Sarraute, Pierre Klossowski, Jean Cocteau, Gertrude Stein... Elle fut la compagne de l'actrice Erika Kralik.
Edition abondamment illustrée de photographies de Leni Riefenstahl.
Reliure de l'éditeur en pleine toile grise, dos lisse, exemplaire complet de sa belle jaquette illustrée.
Rares petites rousseurs sans gravité, une tache de décoloration sur le second plat de la reliure toilée.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Leni Riefenstahl à Jean-Pierre Richard : "Jean Pierre Richard herzliche gewidmet. Leni Riefenstahl."
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Deux traces de pliures angulaires sur le second plat.
Bel et humoristique envoi autographe signé d'Erik Orsenna à Bernard Kouchner : "Cher Bernard, la voici, la voilà, la terreur de Jean-Edern, la [comédie française], en deux mots brefs : la studebaker était une jolie voiture et Matignon un beau manège. Avec mon amitié. Le coupeur Erik."