Paris (France)

Nouvelle édition revue sur les meilleurs textes et particulièrement sur les travaux de J. Le Duchat et de S. de L'Aulnaye par Louis Barré; et premier tirage des illustrations de Gustave Doré.
Reliure en demi chagrin bordeaux à coins, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés ornés de doubles caissons dorés et décorés de motifs floraux dorés, doubles filets dorés en encadrement des plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, deux petits accrocs sans gravité sur les coins inférieurs, couvertures tachées conservées, tête dorée.
Ouvrage illustré de 15 gravures hors-texte ainsi que de nombreuses gravures in-texte originales de Gustave Doré.
Agréable exemplaire.

Seconde édition séparée (rare), l'originale étant parue à la même date dans les Œuvres (seconde partie) ; la première édition séparée étant celle de Rouen. Absent aux catalogues français.
Reliure en demi chagrin marine à coins fin XVIII^ème (signature illisible). Dos orné au chiffre de Hipp. Cocheris. Léger frottement sur les nerfs. Bon exemplaire, frais.
Le mythe gréco-romain de Pyrame et Thisbé a été donné pour la première fois dans Ovide et fut librement adapté par Shakespeare dans Roméo et Juliette. Au XVIII^ème en France, plusieurs auteurs écriront une tragédie sur ce thème des amants tragiques, notamment Puget de la Serre et Pradon ; la plus célèbre, et celle qui eut un durable succès fut celle de Théophile de Viau. L'auteur y manifeste un refus des règles classiques, notamment celle de l'unité d'action. La pièce fut écrite durant l'année 1621 et représentée en 1623. Le mythe continuera à être abondamment exploité au XVIII^ème, dans la peinture ou à l'opéra.

Nouvelle édition, après l'originale parue à Rouen en 1615 ; les Fantaisies de Bruscambille sont parues en 1626, également à Rouen. Jolie édition qu'on joint à la collection des Elzevier ; elle sort des presses de Vleugart, imprimeur à Bruxelles. La fin de ce volume est occupée par un morceau fort libre Les bonnes mœurs des femmes, et qui remplit deux pages.
Reliure en plein maroquin citron fin XVIIIème signée Chambolle Duru. Dos à nerfs richement orné aux petits fers. Pièce de titre en maroquin rouge, et de datation en maroquin noir. Triple filet d'encadrement sur les plats. Large frise intérieure. Tranche dorée.
Magnifique exemplaire, parfaitement établi, et d'une parfaite fraîcheur.
A l'origine, ces fantaisies étaient des discours haranguant le peuple pour les inciter à venir aux représentations des acteurs de l'hôtel de Bourgogne ; elles brillent par la facétie, une volubilité, un style alambiqué versant dans le grivois et la satire ; ces discours constituaient également des prologues aux spectacles. Deslaurier fut un des acteurs de l'hôtel de Bourgogne.
De la bibliothèque de M. La Roche-Lacarelle. Ex-libris au chiffre, un M et deux C entrelacés.

Edition imprimée sur vergé et illustrée d'eaux-fortes originales de Laguillermie ainsi que de lettrines, bandeaux et culs-de-lampe.
Ensemble complet en 5 volumes :
-tome 1 : Zadig suivi de Micromégas
-tome 2 : Candide
-tome 3 : L'ingénu
-tome 4 : La princesse de Babylone
-tome 5 : Lettres d'Amabed suivies du Taureau blanc.
Dos brunis comportant pour deux d'entre eux de petits manques en tête ou en pied, agréable état intérieur.

Troisième édition parue la même année que l'édition originale.
Reliure en demi chagrin marine, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés et orné d'un cartouche doré agrémenté d'arabesques dorées, plats, gardes et contreplats de papier à la cuve, légères traces de frottements sur les mors, tête dorée, reliure légèrement postérieure d'une dizaine d'années.
Précieux et rare envoi autographe signé de l'auteur à madame Morris. Celle-ci pourrait être l'épouse du poète anglais William Morris, ami intime du peintre Edward Burne-Jones.
Une pâle et discrète mouillure angulaire affectant, en pied, les quinze derniers feuillets.

Nouvelle édition des oeuvres complètes de l'auteur.Reliures en demi chagrin sapin, dos à quatre nerfs sertis de filets dorés ornés de doubles caissons dorés agrémentés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, certains coins émoussés, quelques légers accrocs sur certaines coupes, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliures de l'époque.Ensemble orné de 43 planches hors-texte par les meilleurs artistes de l'époque dont Bertall, Daumier, Gavarni, Johannot, Nanteuil ainsi que d'illustrations in-texte.Quelques rousseurs sans gravité.Bel ensemble agréablement établi en reliure de l'époque.

Edition originale sur papier courant, il n'est pas fait mention de grands papiers, fausse mention de mille sur la couverture.
Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre nerfs orné de fers dorés, plats de cartonnage rouge, gardes et contreplats de papier à la cuve, couverture illustrée par Préjelan conservée.
Rares rousseurs.

Cartonnage historié de la Librairie illustrée, dos polychrome et doré orné d'une figure de fou et d'un buste de Minerve, premier plat polychrome estampé à chaud présentant Gargantua en armure devant un village, second plat estampé à froid orné de fleurons et d'un médaillon contenant une maison de bourgade, gardes bleues d'origine. Reliure de l'époque en parfaite condition.Nombreuses illustrations in et hors-texte dont certaines en couleurs d'Albert Robida.Rousseurs.Très rare édition sous cartonnage de l'éditeur.

Edition originale.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Edition ornée de 44 dessins par Emile Bayard et A. de Neuville gravés par Hildibrand.
Cartonnage éditeur "au steamer" Hetzel en pleine percaline rouge signé Ch. Magnier et ses fils, premier plat polychrome signé Paul Souze représentant un navire et un ponton sur fond de carte géographique et une bannière contenant des attributs de navigation, ainsi qu'un médaillon comportant le nom de l'auteur et le titre, second plat de type C2 selon Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors bacchiques dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, toutes tranches dorées.
Quatre illustrations polychromes hors-texte reprenant des illustrations in-texte.
Un coin très légèrement émoussé et quelques épidermures.
Superbe exemplaire de ce cartonnage à l'intérieur très frais.
Rare dans cet état.

Edition originale, sur papier courant, de la traduction française.
Agréable exemplaire malgré deux petites déchirures recollées en pieds des mors.

Edition originale, un des 45 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête.Agréable exemplaire à toutes marges.

Edition originale sur papier courant en dépit d'une fantaisiste mention d'édition en pied du deuxième plat.
Reliure à la bradel en plein cartonnage vert pomme, dos lisse passé orné de filets dorés, date dorée en queue, coiffes légèrement frottées, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque exécutée spécialement pour Francis Carco caractéristique de celles qui composaient sa bibliothèque.
Envoi autographe signé de Jacques Chardonne à Francis Carco.

Nouvelle édition des oeuvres complètes de l'auteur.Reliures en demi chagrin marine, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés ornés de doubles caissons dorés agrémentés de motifs typographiques dorés, légères traces de frottements sans gravité pour certains dos, plats de papier marbré, infimes épidermures sur certains plats, petites taches sur le premier plat du tome 4, deux coins émoussés, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliures de l'époque.Ouvrage orné de planches hors-texte par les meilleurs artistes de l'époque dont Bertall, Daumier, Gavarni, Johannot, Nanteuil ainsi que de rares illustrations in-texte.Quelques rousseurs sans gravité.Agréable ensemble agréablement établi en reliure de l'époque.

Nouvelle édition réimprimée sur celle de 1559 donnée par Claude Gruget et enrichie de notes de Paul Lacroix contenant 72 nouvelles divisées en 8 journées et enrichie de trois autres nouvelles, provenant de l'Heptaméron, un des 25 exemplaires numérotés sur Chine, tirage de tête dans ce format.
Reliures en demi demi veau bronze, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés ornés de caissons dorés richement ornés de motifs dorés à la grotesque, pièces de titre de maroquin marine, pièces de tomaison de maroquin bordeaux, doubles filets dorés sur les plats de papier marbré, deux coins inférieurs très légèrement émoussés, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes rouges, élégantes reliures de l'époque.
Ouvrage illustré de 7 eaux-fortes de Léopold Flameng.
Rares rousseurs affectant essentiellement les tranches.
Bel ensemble agréablement établi dans une élégante reliure de l'époque.

Nouvelle édition en partie originale et imprimée sur vergé des oeuvres complètes de Pierre Corneille.
Reliures en demi maroquin sapin à coins, dos à cinq nerfs ornés de doubles caissons richement ornés, caissons dorés en têtes et en queues, infimes traces de frottements sur certains dos, dates et lieux dorés en queues, filets dorés en encadrement des plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes dorées, élégantes reliures de l'époque signées de Smeers.
Edition revue sur les plus anciennes impressions et les autographes et augmentée de morceaux inédits, de variantes, de notices, de notes, d'un lexique de mots et locutions remarquables, d'un portrait, d'un fac-simile... par C. Marty-Laveaux.
Ouvrage illustré de planches gravées hors-texte.
Notre ensemble est bien complet de l'album illustré de planches hors-texte gravées.
Quelques petites rousseurs sans trop de gravité.
Bel exemplaire établi dans une charmante reliure signée de l'époque.

Nouvelle édition illustrée de 3 gravures.
Reliure en plein veau glacé cerise, dos à quatre fins nerfs sertis de pointillés à froid orné de quadruples filets et de motifs typographiques dorés, frises dorées en tête et en queue, roulettes dorées sur les coiffes, encadrement d'un double filet doré sur les plats agrémentés d'un riche décor à la cathédrale, filet doré sur les coupes, frises dorées ondulées en encadrement des gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, deux coins très légèrement émoussés sans aucune gravité, toutes tracnhes dorées, superbe reliure romantique de l'époque enrichie d'un décor à la cathédrale.
Rares rousseurs.
Très bel exemplaire parfaitement établi.

Edition illustrée de 21 gravures et de 2 planches de musique hors-texte.
Reliures en plein maroquin de Russie parme, dos à cinq fins nerfs sertis de cartouches dorés ornés triples filets et de doubles caissons dorés agrémentés de motifs typographiques à froid, frises dorées en têtes et en queues, roulettes dorées sur les coiffes, encadrements de décuples filets dorés agrémentés d'arabesques dorées sur les plats, lisérés dorés en têtes et en queues des coupes, encadrement d'une dentelle dorée sur les gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, toutes tranches dorées, superbes reliures de l'époque signées de P. Doll.
Quelques petites petites rousseurs sans trop de gravité.
Provenance : bibliothèque de Genard avec son ex-libris encollé au verso du premier plat du premier volume.
Très bel exemplaire parfaitement établi dans une magnifique reliure strictement de l'époque.

Edition illustrée d'une eau-forte en frontispice de Bracquemond, un des 50 exemplaires numérotés sur Chine, tirage de tête après 2 peau de vélin et 3 parchemin.Reliure en plein maroquin citron, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés orné de doubles caissons dorés agrémentés de motifs floraux dorés, frises dorées en tête et en queue, pièce de titre de maroquin rouge, lieu et date de maroquin marine, roulettes dorées sur les coiffes, encadrements de triples filets dorés sur les plats, doubles filets dorés sur les coupes, encadrement d'une dentelle dorée sur les gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, toutes tranches dorées, superbe reliure de l'époque signée de Cuzin.Notre exemplaire est enrichi du double état du frontispice sur Chine.En outre, l'on a ajouté la charmante suite en double état des 4 eaux-fortes de Desenne sur Chine volant.Unique exemplaire parfaitement établi dans une très élégante reliure strictement de l'époque.

Edition illustrée, en frontispice, d'un portrait de l'auteur par Ducreux gravé par Gaucher ainsi que de 36 figures hors-texte de Moreau gravées par Delvaux, Ghendt, Roger, Simonet, Thomas et Trière.
Reliures en demi maroquin chocolat à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés et ornés de doubles caissons dorés agrémentés de motifs floraux dorés, dates en queues, doubles filets dorés en encadrement des plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, toutes tranches dorées, élégantes reliures signées de Robert Petit.
Notice sur la vie et les ouvrages de C.A. Dumoustier par F. Fayolle.
Très bel exemplaire, quasi dépourvu de toute rousseur et parfaitement établi.

Edition illustrée de 116 superbes gravures coloriées hors-texte, d'un portrait en frontispice ainsi que de 5 cartes.
Reliures en demi basane rouge, dos lisses ornés de filets dorés et à froid ainsi que de fers animaliers dorés, frises dorées en têtes et en queues, plats de papier marbré, légères épidermures sans gravité sur certains plats, gardes et contreplats de papier à la cuve, trois coins émoussés, reliures de l'époque.
Tomes 1 & 2 : Matière générale. Tome 1 illustré d'un portrait-frontispice et de 5 cartes.
Tomes 3 & 4 : Mammifères. Tome 3 illustré de 13 planches hors-texte; Tome 4 de 29 planches hors-texte.
Tomes 5 & 6 : Oiseaux. Tome 5 illustré de 44 planches hors-texte; Tome 6 illustré de 30 planches hors-texte.
Quelques rousseurs sans trop de gravité.
Bel ensemble complet et agréablement établi dans une reliure de l'époque.

Edition originale, et unique édition de ce fleuron du livre illustré romantique. Elle est abondamment illustrée de gravures sur bois d'après Bertall, 50 hors-texte, dont le frontispice, et 310 vignettes.Demi chagrin vert sapin d'époque. Dos à faux-nerfs orné de caissons à froid. Frottements en tête et aux mors. Exemplaire remarquablement frais, avec de très rares et petites piqûres, parfois en marge haute, sur un papier bien blanc."Livre illustré avec esprit par Bertall, dont les compositions complètent à merveille un texte plein d'humour. Il n'y a eu qu'une seule édition qui est fort rare." (Carteret III, 48). Balzac serait croqué à trois reprises dans cet ouvrage qui reçut les foudres du lectorat féminin pour sa mysogynie.

Réunion rare de 4 arrêts du Parlement contre la bande de malfaiteurs de Philippes Nivet, portant condamnation (rompu vif, marqué au fer rouge d'une fleur de lys...).
Cartonnage bradel debut XXe de papier marbré. Pièce de titre en maroquin rouge.
La bande de Philippes Nivet est une de ces fameuses bandes de malfrats, détrousseurs de diligences, cambrioleurs... Elle sévissait surtout en Ile de France et contait une centaine de membres, sans compter les complices. Un arrêt relate l'assassinat de l'orfèvre de la rue Saint-André des arts, et plusieurs cambriolages dans Paris. Les arrêts portent témoignage des supplices que subissait ce type d'accusés.

Edition originale, illustrée d'un portrait de Sand et de 24 gravures sur acier gravées par Robinson et de nombreuses vignettes sur bois in-texte de Johannot, Français... Catalogue de l'éditeur in-fine, accompagné de vignettes.Plein chagrin rouge d'époque. Dos lisse orné de fers romantiques en long. Plats orné d'une grande plaque florale romantique. Tranches dorées. Quelques feuillets brunis, exemplaire frais sinon, exempt de rousseurs. Dos présentant quelques piqûres de décoloration, mais bel exemplaire néanmoins.Portraits littéraires et sur acier des grandes héroïnes des romans de George Sand. Indispensable à tout sandophile !

Second tirage d'après l'édition dite des Fermiers généraux avec un titre relais à partir des invendus de l'édition de 1762. Elle est magnifiquement illustrée de deux portraits de Jean de La Fontaine (par Hyacinthe Rigaud) et de Charles Eisen (par Vispre) en frontispice, de 59 fleurons et culs-de-lampe de Pierre-Philippe Choffard, ainsi que de 80 hors-texte de Charles Eisen. On notera que les deux gravures ("Le Cas de conscience" et "Le Diable de Papefiguière") ont été couvertes (parties intimes) à l'instar du premier tirage, où elles avaient été retravaillées pour la publication. On imagine que les cuivres utilisés sont ceux retouchés du premier tirage à moins qu'on les ait directement réemployées. On trouve également des exemplaires de premier tirage dans lesquels les figures n'ont pas été couvertes.Plein veau blond glacé postérieur fin XIXe, signé Petit en queue. Dos à cinq faux nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin bleue foncée, plats décorés d'un encadrement à triple filet doré, gardes et contreplats de papier à la colle, contreplats bordés d'une dentelle dorée, toutes tranches dorées. Très bel exemplaire, parfaitement établi.La très célèbre édition financée par les Fermiers généraux fut seulement vendue à 800 exemplaires (bien qu'on sache que le tirage des gravures a été de 2000) et elle fut rapidement épuisée, cette réédition était attendue et fut saluée en son temps. Cette édition ne doit pas être confondue avec les multiples contrefaçons parues après 1762, elle est la réimpression intégrale de l'édition des Fermiers généraux (on trouve ainsi à nouveau l'avant propos de Diderot, non signé). Cohen laisse entendre qu'étant donné qu'il restait 1200 tirages des gravures, elles ont pu être utilisées pour cette édition, ce qui expliquerait pourquoi elles sont souvent aussi bonnes que dans le tirage de 1762."Parmi les livres illustrés du XVIIIe siècle, cette édition des Contes de La Fontaine, dite des Fermiers Généraux, parce qu'ils en firent les frais, est celle dont l'ensemble est le plus beau et le plus agréable; c'est, en outre, le chef d'œuvre d'Eisen." (Cohen)

Edition originale.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage polychrome, dos lisse orné de motifs végétaux dorés, encadrement de motifs floraux dorés et noirs sur le premier plat également décoré de ces mêmes motifs que l'encadrement, encadrement d'une frise végétale noire sur le deuxième plat, toutes tranches dorées.
Ouvrage illustré de figures dans le texte.
Bel exemplaire présenté dans un cartonnage polychrome d'une très grande fraîcheur.

Rare première édition illustrée.Reliures en demi basane rouge, dos lisses ornés de filets et de motifs typographiques dorés, frises dorées en queues, pièce de titre de maroquin chocolat, pièces de tomaison de maroquin sapin, coiffe supérieure du tome 1 arasée, un mors fendu en tête comportant un manque, coiffes légèrement frottées, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliures de l'époque.Ouvrage illustré d'un portrait de Alexandre Dumas en frontispice ainsi que de 29 planches hors-texte.Une petite et claire tache d'encre en tête des premiers feuillets du second volume, agréable état intérieur exempt de rousseur.Rare.

Premier tirage des 450 superbes vignettes in-texte de Grandville gravées sur bois et des 4 titres-frontispices (un pour chaque voyage) ainsi que du frontispice gravé sur bois par Brevière et tiré sur chine.Reliures en demi chagrin rouge à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés ornés de doubles caissons dorés richement ornés, encadrements de doubles filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.Notice biographique et littéraire sur Jonathan Swift par Walter Scott.Bel exemplaire, agréablement établi de cet important illustré romantique, quasi exempt de rousseur.

Nouvelle édition imprimée sur vélin et illustré d'un frontispice de A. Lalauze.Reliure en demi chagrin marine à coins, dos à cinq nerfs sertis de frises végétales dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés, filet doré sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couvertures et dos conservés.Etude par M. de Lescure.Bel exemplaire agréablement établi.

Nouvelle édition de la traduction française imprimée à petit nombre sur vélin.
Reliures en demi chagrin menthe à coins, dos à cinq nerfs légèrement éclaircis sertis de pointillés dorés et ornés de doubles caissons dorés richement décorés, dates et lieu dorés en queue, doubles filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes dorées.
Ouvrage illustré de gravures à l'eau-forte par A. Lalauze.
Bel exemplaire agréablement établi.

Réunion de dix comédies.
Détails :
Le barbier de Séville : cinquième édition, en réalité de 1785 (une encre manuscrite a changé la date de 1775 en page de titre).
Le mariage de Figaro : Année de l'originale. A Lyon.
Il était temps ( Vadé). A Paris, chez Duchesne. 1754. (Parodie de l'acte d'Ixion dans le ballet des Elements) Edition originale ?
Madame Engueule. (Vadé ?) A Congo. 1754. Edition originale ?
Jerosme et Fanchonette. (Vadé) A Paris, chez Duchesne. 1755. Edition originale ?
L'amour imprévu, opéra comique en vaudevilles, par M. L'Affichard. A Paris, chez Jacques Clousier.
Les deux biscuits. (Grandval). Se vend à Astracan, chez un libraire. 1777.
On ne s'avise jamais de tout. Opéra comique. (Sedaine) A Paris, chez Claude Herissant. 1761 (4p. de musique gravées.
Le maréchal ferrant, opera comique. (Quetant) A Paris, che Claude Herissant. 1761. Seconde édition.
Les visitandines. (Picard) A Paris, chez Maradan. 1793.
Demi Veau très usagé d'époque. Dos lisse orné de 4 fers et de filets. Pièce de titre de veau rouge en partie manquante. Coiffe de tête élimée, et de queue arrachée sur 2 cm. Une mouillure sur la page de titre de Jerosme et Fanchonette.

Edition originale.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Edition oiriginale.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Edition originale.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Edition originale.Extrait de la Revue des deux mondes.En feuillets, sous chemise.

Edition originale sur papier courant.
Reliures en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, dates dorées en queues, mors fendillés en tête, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes dorées, élégantes reliures de l'époque signées de Belz-Niedrer.
Très bel exemplaire, sans mention sur le deuxième volume, établi dans une reliure de l'époque signée et de qualité, ce qui est rare selon Clouzot.

Edition originale, rare.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Edition originale.
Extrait de la Revue des deux mondes.
En feuillets, sous chemise.

Deuxième édition.
Reliure en demi cartonnage vert, dos lisse orné de triples filets à froid, plats de papier marbré, coupes frottées, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque.
Une petite mouillure marginale affectant en tête les toutes dernières pages, rares rousseurs.

Edition imprimée à petit nombre sur vergé et illustrée d'eaux-fortes originales de Lalauze.
Reliures en demi maroquin olive à coins, dos éclaircis à cinq nerfs sertis de pointillés dorés ornés de doubles caissons dorés richement ornés de motifs floraux dorés avec en leurs centres une pièce mosaïquée de maroquin rouge figurant un pétale, encadrements de filets dorés sur les plats de papier marbré, premiers plats de couverture conservés, têtes dorées, élégantes reliures de l'époque.
Ouvrage illustré de bandeaux, lettrines, culs-de-lampe de A. Lalauze.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition illustrée de 20 planches dessinées par Freeman, Foulquier, Gerlier et Lancelot gravées par Huyot ainsi que de 100 vignettes in-texte.
Reliure en demi basane noire, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés orné de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Agréable exemplaire sans rousseur.

Edition originale.
Brochure illustrée de figures in et hors-texte.
Agréable exemplaire.

Edition illustrée de 270 illustrations de J.B. Oudry.
Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos à cinq nerfs comportant de petites traces de frottements orné de filets, de pointillés et de motifs floraux dorés, doubles filets dorés en encadrement des plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Agréable état intérieur.

Edition originale sur papier courant.

Reliure à la bradel en demi maroquin indigo, dos lisse orné d'un motif floral doré, date dorée en queue, plats de papier marbré, tête dorée, couvertures conservées, reliure de l'époque signée de Féchoz; chemise-étui en plein maroquin noir, dos lisse, date dorée en queue, intérieur de daim bleu marine, chemise-étui signée de P. Goy & C. Vilaine.

Envoi autographe signé d'Emile Zola à Auguste Marcade.

Bel exemplaire sans mention et agréablement établi.

Edition originale sur papier courant.
Reliure à la bradel en demi maroquin indigo, dos lisse orné d'un motif floral doré, date dorée en queue, plats de papier marbré, tête dorée, deux coins très légèrement émoussés, couvertures conservées (deuxième plat comportant un petit manque et une restauration marginaux), reliure de l'époque signée de Féchoz.
Bel exemplaire sans mention et agréablement établi.

Edition originale sur papier courant.
Reliure à la bradel en demi maroquin indigo, dos lisse orné d'un motif floral doré, date dorée en queue, plats de papier marbré, tête dorée, deux coins très légèrement émoussés, couvertures conservées, reliure de l'époque signée de Féchoz.
Petites rousseurs affectant quasi exclusivement les tranches.
Bel exemplaire sans mention et agréablement établi.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliure à la bradel en demi maroquin chocolat à coins, dos lisse éclairci en tête, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées (premier plat comportant un manque en tête et de petites déchirures, deuxième plat affecté de quelques taches brunes).
Rares rousseurs atteignant exclusivement les marges.
Bel exemplaire sans mention et agréablement établi.

Edition en partie originale de la traduction française établie par Stéphane Mallarmé pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliure à la bradel en pleine percaline vieux rose, dos et plats partiellement insolés, pièce de titre de maroquin marine, gardes et contreplats de papier à la cuve, fragiles couvertures parcheminées conservées (roussies et piquées comme généralement).
Ouvrage orné d'illustrations de Edouard Manet.
Coupures de presse, fac-similés d'un poème et d'un portrait de E.A. Poe encollés sur les gardes.
Provenance : de la bibliothèque de Gustave Coquiot avec sa signature manuscrite en guise d'ex-libris en tête de la page de faux-titre.

Edition de l'année de l'originale (parue chez Charpentier), un des exemplaires sur Hollande dont il est fait nulle mention.
Reliure en plein maroquin marine, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés orné de doubles caissons dorés richement agrémentés de motifs typographiques dorés, lieu et date dorés en queue, roulettes dorées sur les coiffes, sextuples encadrements de filets dorés et motifs typographiques dorés en écoinçons sur les plats, doubles filets dorés sur les coupes, encadrement d'une large dentelle dorée sur les gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, élégante reliure signée de Levasseur.
Le portrait d'Alfred de Musset en frontispice est absent à notre exemplaire.
Très rares rousseurs.
Bel exemplaire, à toutes marges, parfaitement établi.

Nouvelle édition, un des exemplaires sur Chine dont il est fait nulle mention.
Reliure à la bradel en demi maroquin marine, dos lisse éclairci, date dorée en queue, plats de papier marbré, couvertures conservées.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition joliment illustrée par les plus grands artistes de l'époque dont Tony et Alfred Johannot, Nyon et Schrader.
Reliures en plein veau glacé cerise, dos lisses légèrement éclaircis ornés d'arabesques romantiques dorées, roulettes dorées sur les coiffes, deux mors très légèrement fendus en têtes, encadrements de quintuples filets dorés sur les plats agrémentés de fleurons dorés en écoinçons, quelques infimes épidermures sur certains plats, liserés dorés en têtes et queues des coupes, encadrements d'une fine dentelle dorée sur les gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches marbrées, élégante reliures romantiques de l'époque signée de Meslant.
Ouvrage illustré de charmantes vignettes hors-texte des plus fameux artistes romantiques.
Très rares et anecdotiques rousseurs sans aucune gravité.
Bel ensemble élégamment établi.

Edition ornée de 172 illustrations de Riou gravées par François Pannemaker.Cartonnage éditeur Hetzel en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze (type 7 d'après Jauzac) représentant un décor exotique peuplé d'animaux et de divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux) ainsi qu'une bannière bleue présentant l'auteur, le titre et l'éditeur de l'ouvrage, second plat de type "e1" comme indiqué par Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors floraux dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, coupes biseautées, toutes tranches dorées.Très légère décharge d'or en tête de la bannière.Superbe exemplaire de ce cartonnage fleur de coin et à l'intérieur très frais.Rare dans cet état.

Edition ornée de 117 illustrations de L. Benett et une carte.
Cartonnage éditeur à la bannière argentée en pleine percaline rouge signé A. Lenègre (type 6 selon Jauzac), premier plat polychrome signé Souze représentant un décor exotique peuplé d'animaux et de divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux) ainsi qu'une bannière argentée présentant l'auteur, le titre et l'éditeur de l'ouvrage, second plat de type "e1" comme indiqué par Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors floraux dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, coupes biseautées, toutes tranches dorées.
Superbe exemplaire de ce cartonnage fleur de coin et à l'intérieur très frais.
Rare dans cet état.

Edition originale pour chacun des trois volumes, tirés respectivement à 525, 1025 et 1050 exemplaires numérotés, les nôtres imprimés sur papier vélin.Le premier volume est bien complet de ses deux couvertures lithographiées, de 20 chromolithographies par Jules Chéret, Choubrac et Gambier, et de nombreuses reproductions en noir et en couleurs d'après les documents originaux.Le second est complet de sa couverture illustrée et des 72 lithographies en couleurs à pleine page par Boutet de Monvel, Jules Chéret, Georges de Feure, G. Fraipont, Eugène Grasset, .H.-G. Ibels, , Mucha, Steinlen, Toulouse-Lautrec (3 affiches), Adolphe Willette.Le troisième est complet de sa couverture lithographiée en couleurs et de ses 68 lithographies en couleurs à pleine page par Rassenfosse, Toulouse-Lautrec, Henri Meunier, Toussaint, Bradley, Reed, Mignot, Audrey Beardsley, Emile Brechmans, Hyland Ellis, Van Rysselberghe, Otto Fischer, etc.Plats de couverture légèrement piqués et salis, certains pouvant comporter quelques infimes manques marginaux, quelques rares rousseurs sinon beaux exemplaires.Ensemble débroché.

Edition originale collective, un des exemplaires du service de presse.
Précieux envoi autographe signé de l'auteur à Colette.
Dos insolé comportant deux petits manques pied, ex-dono au stylo bille en tête du verso du premier du premier plat de couverture.

Edition originale collective sur papier courant pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliure de l'éditeur en pleine toile rouge, dos lisse.
Précieux envoi autographe signé de Léopold Sédar Senghor à Alain Peyrefitte.
Bel exemplaire.

Edition originale et premier tirage des 95 gravures.
Reliure en demi chagrin noisette, dos à cinq nerfs comportant de très légères éraflures sans gravité, filet doré sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier, tête dorée, couvertures et dos conservés.
Piqûres affectant quasi exclusivement le premier plat de couverture, agréable état intérieur.
Bel exemplaire.

Première édition in-12 postérieure d'un an à la très rare édition originale imprimée chez Baudry.
Reliure en demi basane chocolat, dos lisse orné de doubles filets et lisérés dorés, frise dorée en queue, coiffes très légèrement frottées sans gravité, plats de papier marbré, un accroc marginal sans manque sur le premier plat, reliure de l'époque.
Quelques petites rousseurs.
Agréable et rare exemplaire.

Edition originale.
Dos fendillé en pied, rousseurs et une tache marginales sur les plats, quelques petites rousseurs intérieures.
Agréable exemplaire au regard de l'extrême fragilité des couvertures parcheminées.

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur Arches, seuls grands papiers.
Ouvrage illustré d'un frontispice et d'ornements dessinés et gravés sur bois par Robert Bonfils.
Agréable exemplaire à toutes marges.

Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête.
Une légère déchirure sans manque en pied du premier plat, agréable exemplaire.

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste. Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Maurand sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Maurand sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste. Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Boetzel. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Hébert. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862. Quelques rousseurs en marges portant très légèrement atteinte à l'image, sinon belle gravure. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker.
Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Riquet à la Houppe de l'édition Hetzel de 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker.
Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration du Chat botté de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Brevière sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Fagnon sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker. Planche réalisée spécialement dans le cadre du frontispice de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Deschamps sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Dumont sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."