Edition originale, un des 81 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers.
Bel exemplaire.
Préface de Philip Kolb.
L’élégant vergé de Hollande, tout de vergeures et pontuseaux, est l’illustre descendant des vergés inventés en France par des artisans protestants qui se réfugièrent aux Pays-Bas après la révocation de l'édit de Nantes. Si ce beau papier, peu sensible aux rousseurs et au temps, n’est pas souvent celui des tirages infimes de tête réservés à l’auteur ou à quelques bibliophiles, il constitue cependant le tirage de luxe privilégié de la plupart des romans de la fin du XIXeme et du XXeme siècle. Ce papier épais et souple dont l’ivoire feutré s’imprègne de la lumière et la mêle à l’encre de mots contribue à cette intimité du lien entre le livre et son lecteur. Pour cela il se révèle le support idéal des relectures des textes de prédilection.
Edition originale, un des 81 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers.
Bel exemplaire.
Préface de Philip Kolb.
Edition originale, un des 65 exemplaires sur vergé d'arches pur chiffon, le nôtre non numéroté maus bien justifié vergé d'arches en pied du second plat, seul grands papiers.
Deux petites traces d'insolation en tête et en pied du dos également un peu pincé en pied.
Agréable exemplaire.
Edition originale imprimée à 100 exemplaires nominatifs numérotés sur vergé.
Gardes partiellement ombrées comme souvent, une trace de pliure en pied du second plat.
Rare et agréable exemplaire de cet ouvrage écrit sous le demi-pseudonyme de Jacques Kessel.
Edition originale, un 45 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Reliure en plein maroquin chocolat, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, roulettes dorées sur les coiffes, gardes et contreplats de papier peigné, encadrement de doubles filets dorés sur les contreplats, filets dorés sur les coupes, couvertures et dos conservés, toutes tranches dorées, étui bordé de maroquin marroquin chocolat, plats de papier peigné, intérieur de feutrine grise, magnifique reliure signée Semet & Plumelle,
Très bel exemplaire parfaitement établi dans une reliure en plein maroquin de Semet & Plumelle.
Édition originale, un des 52 exemplaires numérotés sur montval, le nôtre le deuxième exemplaire des 12 hors commerce, tirage de tête.
Reliure en demi maroquin à grain long gris anthracite, dos lisse, nom de l’auteur, titre de l’ouvrage, date et mention au palladium « exemplaire j. kessel », plats de papier à motifs abstraits, gardes et contreplats de papier gris souris, couvertures et dos conservés, reliure signée Thomas Boichot.
Quelques petites rousseurs affectant principalement les premiers et derniers feuillets.
Exceptionnel et émouvant envoi autographe signé à pleine page de Maurice Druon à Joseph Kessel : « Il fallait bien, mon grand Jef, que le premier livre que je t’envoie depuis que tu es Immortel soit les mémoires de Zeus. Je remercie les Destins de m’avoir donné un tel oncle et d’avoir permis que nous nous aimions si bien. Je t’embrasse. Maurice Mai 1963. »
Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête.
Reliure en plein maroquin ébène, dos lisse orné de petits rectangles de maroquin grenat et de box gris perle, ces derniers encadrant les initiales de l'auteur et du titre, le premier chiffre de la date, écrite en chiffres romains, apparait dans un carré de box gris perle, plats de maroquin en encadrement de larges plaques de daim chocolat, premier plat avec un grand rectangle de papier granité avec titre et date de l'édition sertis de maroquin grenat, les initiales encadrées de rectangle de papier provenant d'une carte de la Haute-Savoie, contreplats et gardes de papier bleuté, couvertures et dos conservés, tête dorée, chemise cartonnée avec un dos en rhodoïd, étui bordé de maroquin ébène, ensemble signé par Pierre-Lucien Martin et daté 1964.
Ces "mémoires-autobiographie" de Simone de Beauvoir, qui vont de sa réussite à l'agrégation préparée avec Jean-Paul Sartre à la Libération de Paris en août 1944.
Superbe et célèbre reliure, réalisée à quelques exemplaires différant légèrement, par Pierre-Lucien Martin, un des maîtres de la reliure française du XXème siècle.
Edition originale, un des 160 exemplaires numérotés sur vélin lana, le nôtre un des 60 hors commerce, seuls grands papiers.
Reliure en demi maroquin noir à grains longs, dos lisse, nom de l'auteur, titre de l'ouvrage, date et mention au palladium "EX. JOSEPH KESSEL 1958", plats de papier façon bois, gardes et contreplats de papier gris souris, couvertures et dos conservés, reliure signée Thomas Boichot.
Quelques rousseurs affectant principalement les plats de couverture ainsi que premiers et derniers feuillets.
Exceptionnel et émouvant envoi autographe signé de Maurice Druon à Joseph Kessel : "A toi mon grand Jef, cet Alexandre le grand né lui aussi sous le signe du Lion en même temps que du Bélier et que tu as aidé de tes conseils et de ton exemple en t'embrassant très fort. Maurice Juin 58."
Édition originale, un des 95 exemplaires hors commerce numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Reliure en demi maroquin fauve, dos lisse, nom de l’auteur, titre de l’ouvrage, date et mention dorés « ex. j. kessel », plats de papier fauve, gardes et contreplats de papier rouille, couvertures et dos conservés, reliure signée Thomas Boichot.
Quelques rousseurs affectant principalement les plats de couverture ainsi que premiers et derniers feuillets.
Exceptionnel et émouvant envoi autographe signé de Maurice Druon à Joseph Kessel : « À toi mon grand Jef, prince des Cavaliers, avec la joie de t’avoir rejoint parmi les Immortels, cette histoire de famille en t’embrassant pour tous les jours des hommes. Maurice 1967. »
Edition originale, un des 10 exemplaires lettrés sur hollande, seuls grands papiers.
Ouvrage illustré, sur la couverture, d'un portrait de Max Jacob par Pablo Picasso.
Rare et bel exemplaire.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée d'Achille Lemot dit Uzès : "L'honneur est satisfait".
Contributions littéraires d'Albert Samain "Une", Rodolphe Darzens avec le poème "Crainte d'aimer", George Auriol "La mort du démon d'oubli", Paul Cary "Les deux sorties de ma tante", Rodolphe Salis...
Bel exemplaire malgré de petites auréoles marginales.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale dédiée à Louis Jouvet, un des 108 exemplaires numérotés sur vergé Lafuma Navarre et réimposés au format in-quarto tellière, tirage de tête.
Reliure en demi chagrin maroquiné rouge, dos à cinq nerfs sertis defilets à froid, date dorée en queue, plats e papier à la cuve, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée D.H. Mercher.
Créée par Louis Jouvet à la comédie des Champs-Elysées le 14 décembre 1923. L'acteur s'occupa également de la mise en scène et des décors ; en 1933 la pièce étant ensuite adaptée au cinéma par Roger Goupillières avec toujours dans le rôle principal Louis Jouvet.
Edition originale, un des 340 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers.
Reliure en demi chagrin brun à coins, dos lisse, contreplats et gardes de papier peigné, couvertures conservées, reliure de l’époque.
Quelques discrètes restaurations sur le dos et les mors.
Notre exemplaire à toutes marges est bien complet du tableau généalogique dépliant des Rougon-Macquart.
Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Quelques petites rousseurs essentiellement en début et fin de volume.
Envoi autographe signé de Maurice Genevoix à Jacques Gommy : "... en pensant aux forêts qu'il aime, avec les hommages et les amitiés de Maurice Genevoix."
Édition originale, un des 55 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Reliures en demi maroquin marron, dos à cinq nerfs, dates dorées en queue, plats de papier à motifs abstraits, gardes et contreplats de papier marron, couvertures et dos conservés, têtes dorées, reliures signées Thomas Boichot.
Précieux exemplaire de ce texte fondateur du féminisme moderne.
Édition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur vergé à la forme numérotés et justifiés par l'éditeur, seuls grands papiers.
Reliure à la bradel en demi maroquin marron chocolat à coins, dos lisse, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures illustrées par Manuel Orazi et dos conservés.
Ouvrage illustré de 136 dessins in et hors-texte en noir et en couleurs de Georges Bottini.
Ex-libris encollé.
Notre exemplaire est enrichi d'un dessin original, à pleine page, signé de Georges Bottini et rehaussé à l'encre noire représentant Jacques Beaudarmon coiffé d'un melon devisant avec la « môme ». Ce dessin se retrouve sous forme de bois gravé en illustration de la page 133.
Le dessin est dédicacé par Georges Bottini à M. Casanove « en grande sympathie ».
Très rare exemplaire en grand papier du chef-d'œuvre de Jean Lorrain.
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur hollande, le nôtre imprimé spécialement pour la sculptrice Renée Vautier, seuls grands papiers.
Reliure à la bradel en plein papier, dos lisse, plats de couverture comportant de discrètes restaurations conservés, larges témoins conservés, reliure signée Thomas Boichot.
Précieux envoi autographe signé de Paul Valéry, en dessous de la justification, à sa muse la sculptrice Renée Vautier qui réalisa notamment un célèbre buste du poète en 1935.
Edition originale, un des 12 exemplaires numérotés sur papier de Hollande, seul tirage en grand papier.
Exemplaire complet de son plan dépliant in-fine.
Reliure en plein maroquin fauve, dos à cinq nerfs, date en queue, contreplats de papier peigné bordés d'une riche roulette dorée, gardes de papier peigné, filet doré sur les coupes, roulette dorée sur les coiffes, couvertures et dos conservés, toutes tranches dorées sur témoins, étui bordé de maroquin fauve, ensemble signé Semet et Plumelle.
Provenance : des bibliothèques du Docteur André Chauveau, Lucius Wilmerding et RBL avec leurs ex-libris encollés.
Magnifique exemplaire d'une insigne rareté en grand papier.
Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Dos et plats légèrement et marginalement décolorés comme généralement.
Bel et rare exemplaire.
Précieux envoi autographe signé de René Char : "A Louis Broder. Ami, quel goût ont les outils ? Ce travail aussi du coeur. René Char."
Edition originale, un des 60 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête.
Infimes piqûres sans gravité sur le dos.
Bel exemplaire.
Edition originale, un des 20 exemplaires de tête sur Hollande, seul grand papier, réimposé au format in-8 (l'édition commune se présentant au format in-12).
Cf. Vicaire III, 305-306. Carteret I, 222.
Reliure en plein vélin ivoire rigide, dos lisse, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque.
Bel exemplaire.
Les bibliographes donnent 25 exemplaires, ce qui ne s'explique guère, la justification étant précisée au verso du faux-titre. Le procédé était habituel pour l'auteur (Les Six aventures, de 1857, connaîtront le même type de deux tirages).
Précieux envoi autographe signé de Maxime Du Camp au célèbre critique Jules Janin (1804-1874), qui a fait ensuite apposer sa vignette ex-libris sur les premières gardes.
Édition originale, un des 90 exemplaires sur hollande, le nôtre un des quelques hors-commerce lettrés.
Reliure à la bradel en demi box brun, dos lisse, plats de papier fantaisie, gardes et contreplats de papier brun, couvertures conservées, tête dorée, reliure signée de Goy & Vilaine.
Précieux envoi autographe signé de Paul Valéry : « A Victoria Ocampo, - a sus piès de Vd - ce petit rien qu'elle a bien voulu désirer. »
Superbe dédicace qui inaugure la fidèle amitié unissant les deux écrivains par-delà les différences.
A la mort de Valéry en 1945, Victoria Ocampo relatera cette première rencontre de décembre 1928 lors d'un dîner d'écrivains auquel est conviée la jeune Argentine tout juste débarquée à Paris.
Evénement fondateur de leur amitié et de l'admiration mutuelle dont témoigne leur émouvante correspondance, c'est à l'aune de cette première impression que Victoria Ocampo décrira sa relation avec le poète et « les sentiments contradictoires que suscitèrent en [elle] la rencontre de l'œuvre et de l'homme qui la conçut : émerveillement, étranglement, admiration, accablement, bonheur. Effets, sur une Sud-Américaine, amoureuse du génie français, d'une des plus grandes intelligences européennes, lorsqu'elle s'en approcha - un peu tremblante - comme d'un feu qui vous attire et vous tient à distance du même coup. »
Nul doute que l'impression de Valéry ne fut pas moins intense pour qu'il lui adresse, peu après, cette dédicace pleine d'humilité qui ne laisse pas d'évoquer les précieux envois de Victor Hugo à Juliette Drouet « à vos pieds, Ma Dame ».
Confidente épistolaire du poète déchu durant les dures années de guerre, Ocampo lui rendra à sa mort un vibrant hommage « par-delà l'intelligence et la bêtise, par-delà la vie. Avec mon respect, mon culte, ma tendre affection si nouée à l'humain. Avec tout ce qui en moi, tant que je vivrai, ne cessera de le sentir vivant, ne cessera d'être le lieu périssable où son immortalité commence. »
Quelques petites rousseurs.
Exemplaire parfaitement établi.
Edition originale du deuxième ouvrage de l'auteur, un des 10 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers.
Reliure en demi maroquin jaune à coins, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, une petite tache noire en tête du dos, plats de papier à motifs floraux et moirés, gardes et contreplats de papier vert pâle, couvertures conservées, tête dorée, ex-libris de Gérard Pesme Baron de Saint-Genies encollé sur un contreplat, reliure signée de Thomas Boichot.
Page de faux-titre intégralement ombrée.
Bel exemplaire agréablement établi.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une dessinée de Steinlen : "Le plus vexé des trois".
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "Absinthes" et dédié à Adolphe Willette, Rodolphe Darzens avec le poème "Le conseil de la chair", Camille de Sainte-Croix "Paul Margueritte", Louis Marsolleau "Villon"...
Bel exemplaire en dépit d'un petit manque en tête de la Une dû à un défaut de fabrication.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré de dessins de Jean-François Raffaëlli.
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "Episode", Georges d'Esparbès "Délila", George Auriol "Chroniques de province", Rodolphe Darzens "Pour celle qui boude"...
Bel exemplaire en dépit d'une petite mouillure affectant le milieu de la revue.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'un dessin de Steinlen : "Coqs et poule".
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "Le pauvre bougre et le bon génie" et dédié à Henry Somm, François Villon avec le poème "Rondel", George Auriol "Au diable vert" dédié à Steinlen, Rodolphe Salis...
Bel exemplaire.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée d'Albert Robida : "Vient de paraître ! ".
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "La bonne fille", George Auriol "La statue de César Dupeauprez", Gaston Méry "Au parc Monceau" dédié à Albert Tinchant...
Agréable exemplaire en dépit de quelques taches claires en marges.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée de Godefroy : "Question de cabinet".
Contributions littéraires de Victor Meusy "Les prunes de monsieur" Alphonse Allais "Le médecin (monologue pour Cadet)", Rolla "Tombes de fleurs"...
Une claire mouillure en marge gauche du journal, sinon agréable exemplaire.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée de Louis-Christian dit Döes : "La bonne galette".
Contributions littéraires de Francisque Sarcey à propos de "La Terre" d'Emile Zola, Charles Cros "Psaume CCCCXXXIV", Alfred Béjot "Epitre à Allais", Georges Auriol "Malabar", ...
Une déchirure avec manque et quelques taches claires en marges des plats.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'une bande dessinée de Steinlen: "Du dernier bien avec le général " ainsi que de dessins d'Henry Somm sur la page en regard.
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "La forêt enchantée" dédié à George Auriol, Raoul Gineste "Les vieux chats", José Rolla "A l'église"...
Agréable exemplaire en dépit de quelques auréoles claires en marges du journal.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Edition originale, un des rares exemplaires imprimés sur vergé.
Le numéro se constitue de 4 pages et est illustré d'un grand dessin de Steinlen en double page intérieure.
Contributions littéraires d'Alphonse Allais "Bébert", Pimpinelli "Pose de lapin" dédié à Albert Tinchant, Narcisse Lebeau "Paravent"...
Quelques déchirures et taches marginales.
Le Chat noir est une revue hebdomadaire créée par Rodolphe Salis et Emile Goudeau, publiée de 1882 à 1897, dans le but de promouvoir le célèbre cabaret du même nom dont elle se veut la mémoire. On y publie les textes déclamés durant les spectacles. Il s'agit, en outre, d'un important témoignage littéraire et artistique de la fin du XIXe siècle, autour de la bohème et de l'effervescence parisienne qui lui est propre.
Nouvelle édition collective des oeuvres de ce poète néo-latin d'origine allemande, un des quelques exemplaires imprimés sur grand papier de hollande (cf Brunet III, 1180-1181. Voir G. Oberlé, "Poètes néo-latins", 134-137. Van Tieghem, p. 91 et suiv.)
Le premier volume est illustré d'un portrait de l'auteur.
Reliures en plein vélin ivoire, dos à cinq nerfs ornés de frises et fleurons dorés, pièces de titre veau rouge, dentelle dorée en encadrement des plats, plaques dorées aux centres des plats légendées "Minerva Dordracena", tranches mouchetées, rubans de soie rouge de fermeture pour la plupart manquants, reliures de l'époque.
Bonne édition d'après Brunet, qui ajoute : "Il y a des exemplaires en papier de Hollande". C'est la meilleure édition collective des oeuvres de ce poète néo-latin d'origine allemande.
Elle a été publiée par Burmann, qui y a ajouté différentes autres pièces concernant Lotich et son oeuvre.
Né le 2 novembre 1528 à Schlüchtern en Vétéravie, Peter Lotich, en latin Lotichius Secundus, "était le neveu de Pierre Lotich, abbé de Schlüchtern, qui fonda un collège et fut l'un des premiers en Allemagne à sécouer le joug de la scolastique avant de se convertir au luthéranisme dont il sera l'ardent sectateur. Le neveu prit le surnom de Secundus pour se distinguer de cet oncle qui avait assuré sa première éducation. Il passa ensuite sous la direction de Mélissus, de Mélanchton et de Camerarius qui encouragèrent tous ses grandes dispositions poétiques. Il porta un temps les armes sous les drapeaux de la ligue de Smalcalde, puis accompagna dans leurs voyages les neveux de Daniel Stribar, doyen de Würtzbourg.
Pendant plusieurs années il étudia la médecine en France et en Italie. A Montpellier Lécluse le présenta à Rondelet qui le tirera des griffes de l'Inquisition pour avoir mangé de la viande en carême. Il s'en retourna de Padoue avec le bonnet de docteur et pour servir l'électeur Palatin, il refusa la chaire de poésie de Marbourg. Il en occupa une de médecine à Heidelberg où il mourut en 1560, empoisonné par un philtre préparé par une femme pour un amant infidèle et que Lotichius avait bu par mégarde. J. Hagen, son biographe, l'a titré prince des poètes latins modernes. ''L'ensemble de poèmes, où la vie de l'auteur tient la plus grande place et offre le plus d'intérêt est celui qu'a laissé Lotichius Secundus, qu'on est unanime à considérer comme le meilleur poète néo-latin que l'Allemagne ait produit (…) Etudiant, amoureux, voyageur, soldat, professeur, il avait traversé cette vie pénible, errante, aventureuse et souvent périlleuse, les yeux fixés sur un seul idéal, la beauté poétique ; ajoutons : et à la gloire que donnent les beaux vers''. Van Tieghem p. 91". Cf. Gérard Oberlé.
L'un des rares exemplaires sur grand papier de Hollande, très bien relié à l'emblème de la ville hollandaise de Dordrecht.
Un feuillet imprimé et manuscrit, placé avant le titre du tome I, atteste que ces deux beaux volumes ont été offerts comme prix (sans doute de composition latine) à un élève du gymnase de Dordrecht, Heinrich Van Dam.
Ex-libris Charles Clément Roemers (Maestricht, XVIIIe siècle) et Dominique Goytino.
L'un des rares exemplaires sur grand papier de Hollande, très bien relié à l'emblème de la ville hollandaise de Dordrecht.
Edition originale, un des 200 exemplaires numérotés sur Hollande, seuls grands papiers annoncés.
Une tache sur le premier plat au niveau du titre se poursuivant, en s'amenuisant sur la page de faux-titre, gardes ombrées.
Rare exemplaire à toutes marges.
Edition originale, un des 1000 exemplaires sur Hollande, seul tirage avec 50 Japon.
En frontispice, un portrait de Paul Verlaine par Philippe Zilcken.
Dos légèrement insolé, premier plat marginalement ombré, sinon agréable exemplaire.
Edition originale imprimée à petit nombre sur papier vergé de cet extrait du Journal asiatique, un seul exemplaire au CCF (Strasbourg).
Rare exemplaire présenté dans son brochage d'origine sous couverture d'attente de papier bleu.
Traces d'étiquette en marge gauche du premier plat, agréable exemplaire.
En tête du premier plat de couverture, envoi autographe de Giovanni Antonio Arri à l'archéologue Désiré Raoul-Rochette (17891854), alors membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-lettres.
Edition originale, un des rares exemplaires sur hollande dont il n'est fait nulle mention.
Reliure à la bradel en demi maroquin noir, dos lisse, date dorée en queue, platd de papier oeil-de-chat, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque signée Champs.
Envoi autographe signé d'Eugène Manuel à madame Michel Lévy.
Notre exemplaire est enrichi de deux lettres autographes datées et signées d'Eugène Manuel, montées sur onglets en début de volume, probablement adressées à l'un de ses maîtres en littérature à propos de la première représentation da sa pièce "Les ouvriers".
Dans la première missive, toute empreinte de frêle modestie et datée de la veille de la première du 17 janvier 1870, Eugène Manuel écrit tout son désir et espoir de voir son illustre correspondant être présent à la première de "Les ouvriers" : "Vous prendrez peut-être plus d'intérêt à l'auteur, lorsque vous saurez que je suis le neveu d'un de vos amis d'autrefois, Jules Lévy, qui avait pour vous une bien vive et bien sincère affection... [...] J'espère, monsieur, que rien ne vous empêchera d'assister à cette représentation, peu importante peut-être pour vous, puisqu'il s'agit que d'un acte, mais qui est sérieux pour moi..."
Dans la seconde, l'auteur remercie chaleureusement son correspondant pour avoir accordé tout son intérêt à cette pièce : "J'apprends aujourd'hui seulement que vous m'avez fait l'insigne honneur d'entretenir de ma petite pièce des Ouvriers, l'auditoire d'élite qui se presse à vos leçons du Collège de France... [...] le jugement d'un critique aussi considérable est une de ces bonnes fortunes que l'on ose ambitionner..."
Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Dos et plats très légèrement et marginalement éclaircis sans gravité, bel exemplaire.
Edition originale, un des 45 exemplaires sur vergé de Voiron, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire.
Édition originale imprimée sous le manteau à 175 exemplaires numérotés sur vergé.
Reliure en plein maroquin vert menthe, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, discrète reprise de teinte sur le dos, date dorée en queue, gardes et contreplats de papier peigné, encadrement d'un filet doré sur les contreplats, couvertures et dos conservés, toutes tranches dorées, étui bordé de maroquin vert menthe, plats de papier oeil-de-chat, intérieur de feutrine blanche, élégante reliure signée Alix.
Très rare et bel exemplaire établi par l'un des plus prestigieux relieurs de la seconde moitié du XXème siècle.
Edition originale, un des 80 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Très bel exemplaire.
Edition originale, un des 35 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Reliure en demi maroquin vert printemps, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier vert olive, couvertures et dos légèrement défraîchi conservés, tête dorée, élégante reliure signée de P. Goy & C. Vilaine.
Très bel exemplaire parfaitement établi.
« Je lis seulement aujourd'hui votre article sur Germinal et j'ai à vous remercier bien vivement des choses aimables qui s'y trouvent. »
« Mais pourquoi dites-vous que je conduis le naturalisme ? Je ne conduis rien du tout. Voici bientôt quatre ans que je n'ai écrit une ligne dans un journal, je travaille dans mon coin, en laissant rouler le monde où il lui plaît. Quant à mon parti pris d'ordures, y croyez-vous réellement ? Laissez donc cela aux insulteurs impuissants, faites-moi l'honneur de croire à des convictions de ma part. Je puis être dans une erreur détestable, mais j'ai le droit de bûcher, car c'est une foi entêtée que je professe. »