Agréable exemplaire malgré les plats légèrement et marginalement insolés sans gravité.
Edition originale, un des 2250 exemplaires numérotés sur pâte chataignier, seuls grands papiers.
Envoi autographe signé de Serge à Pierre Loiselet et sa femme Suzanne enrichi d'un petit dessin représentant une ancre de marine et un coeur et une étoile.
Ouvrage illustré de 72 dessins inédits de l'auteur ainsi que d'un dessin en couleurs sur la jaquette.
Jaquette défraîchie au dos manquant, une déchirure en pied du second plat de l'ouvrage, agréable état intérieur.
Édition en partie originale qui reprend les discours les plus célèbres, dont certains, mémorables, prononcés à la tribune de l'Assemblée nationale législative, le discours sur la révision et le plaidoyer prononcé au procès de son fils, le 11 juin 1851, devant la cour d'assises de la Seine, défendant l'inviolabilité de la vie humaine ; fausse mention de huitième édition.
Bien complet du rare portrait de l'auteur par Masson tiré sur Chine, en frontispice.
Quelques rares rousseurs.
Précieux envoi autographe signé de Victor Hugo à Juliette Drouet : « à mon pauvre doux ange aimé. V. »
Précieux exemplaire de la muse et maîtresse de Victor Hugo. Cette dédicace pleine de compassion et de regret est une réponse de Hugo à la tragédie que vit Juliette cette année-là, alors qu'elle vient de découvrir qu'Hugo la trompe depuis sept ans avec Léonie Biard, qui, en juin 1851, envoie à Juliette les lettres que Victor lui a adressée. Hugo prêtera serment de fidélité éternelle à Juliette en juillet et lui dédicacera en août ce plaidoyer pour une justice plus clémente.
À l'automne, Juliette exigera qu'Hugo rencontre Madame Biard pour lui signifier leur rupture, entrevue dont elle dirigea chaque détail du protocole, et auquel Hugo se soumit.
Provenance : bibliothèques Pierre Duché (1972, n° 75) et Philippe Zoummeroff (2001, n° 71).
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Envoi autographe signé de Jean Carlier à Raymond Thévenin : "... ce petit livre rouge comme la robe d'un procureur qui essaie de ne pas se prendre trop au sérieux..."