Edition originale, un des 170 exemplaires numérotés sur pur fil.
Agréable exemplaire sous double couverture.
Edition originale, un des 170 exemplaires numérotés sur pur fil.
Agréable exemplaire sous double couverture.
Troisième édition en partie originale car revue et corrigée.
Reliure à la bradel en demi percaline vert olive, dos lisse, pièce de titre de chagrin maroquiné bordeaux, couvertures restaurées et marginalement salies conservées, reliure moderne.
Quelques rousseurs, ex-libris encollé au verso du premier plat de couverture, décharges de papier adhésif en têtes et en pieds des gardes.
La première édition était parue en 1868.
Ce recueil de 26 petites contributions indépendantes concerne surtout le monde chinois et ses annexes (Indochine et Japon).
Edition originale de la traduction française.
Notre exemplaire est présenté broché sous couverture d'attente de papier bleu, dans double emboîtage en demichagrin marine, dos lisse, plats de papier à la cuve, reliure moderne signée Devauchelle.
Rare et agréable exemplaire.
Au CCF, exemplaires seulement à la BnF.
Unique édition de cette facétie théâtrale, qui n'a pas grand chose à voir avec la Chine, en dépit de la scène supposée des événements : "La scène se passe à Pé-King, l'an du monde 100, 857, et de Con-Fou-Tsée 6550".
En réalité, il s'agit d'une pièce sur la passion du jeu et ses ravages, et il n'était certainement pas nécessaire de convoquer la Chine pour la décrire ; au demeurant, les personnages parlent et agissent comme de parfaits petits bourgeois de France.
Edition originale rare de cet ensemble regroupant les 3 parties du texte de ce manuel de cantonais pratique accompagnées d'un des livrets destinés au professeur chinois.
Les deux premiers volumes sont chacuns illustrés de 8 planches d'idéogrammes hors-texte. Aucun exemplaire au CCF.
Le troisième volume comporte des taches en pied du dos, quelques petites rousseurs, petites déchirures marginales avec légers manques sur les plats deu premier volume.
Très rare ensemble.
Edition originale franco-chinoise illustrée de six eaux-fortes reproduites par Frédéric Chevalier.
Un seul exemplaire au CCFr (Bulac)
Unique édition de cette curiosité contemporaine de la mode orientale en France : né en 1831, Tin-Tun-Ling (ou Ding Dunling) était un lettré chinois du Shanxi, réfugié politique en France. Théophile Gautier l’avait rencontré à Paris, se prit d’amitié pour lui, et l'embaucha pour donner des cours de chinois à sa fille Judith. Celle-ci, imprégnée de culture extrême-orientale, s’amusait en effet à se faire passer pour la réincarnation d’une princesse chinoise. Il habita alors un pavillon construit sur le modèle de l’architecture chinoise, dans le jardin du Pré aux Oiseaux – la maison de Judith à Saint-Enogat. Après la mort de Gautier, en 1872, Tin-Tun-ling épousa une française, Caroline Julie Liégeois, qui l’accusa ensuite de polygamie (il était vraisemblablement déjà marié en Chine) : suite à un procès en 1873, il fut cependant acquitté. Il existe de Tin-Tun-ling un triple portrait photographique de Nadar, pris en 1874, un an avant la parution de notre ouvrage.
Notre exemplaire est présenté dans son état d'origine sous couverture de toile jaune souple comportant de petites taches et, comme souvent, de légères déchirures marginales
Édition originale ornée, en début de volume, d'un fac-similé dépliant (cf Cordier, Sinica, 1732).
Dos restauré à l'aide d'une pièce adhésive, petits manques marginaux sur les plats, quelques rousseurs.
Ces Exercices pratiques forment en réalité une réponse aux attaques personnelles et à deux articles de M. Pauthier insérés dans le Journal asiatique de Paris (n° 66 et 67 du tome XII).
Ils "sont la confirmation et la complément" de son précédent ouvrage intitulé "Examen critique de quelques pages de chinois relatives à l'Inde", traduites par M. G. Pauthier, accompagné de discussions grammaticales sur certaines règles de position qui, en chinois, jouent le même rôle que les inflexions dans les autres langues (1841).
Le frontispice lui-même est une charge contre Pauthier : on peut y lire, composée par Hyacinthe Bitchourin, sinologue russe, cette phrase définitive : "Savez-vous pourquoi M. Pauthier se trompe en traduisant du chinois? C'est qu'il a une fausse idée du mécanisme de cette langue, et qu'il s'efforce de suppléer à ce qui lui manque de connoissance, au moyen de ses conjectures".
Deuxième édition et la seule complète (cf. Cordier, Sinica, 1430)
Dos fendu comportant de petits manques angulaires, rousseurs éparses.
Il y est traité des établissements d'instruction, des concours et de l'instruction publique sous les différentes dynasties.
On trouve en appendice des notes sur la méthode usitée en Chine pour étudier la prononciation des caractères, sur l'organisation de l'administration chinoise et sur un recueil de questions pour les aspirants aux grades littéraires.
Deux mémoires en un volume en pagination continue. L'ingénieur Edouard-Constant Biot (1803-1850), fils du mathématicien Jean-Baptiste Biot, fut aussi l'élève de Stanislas Julien, devint en peu de temps un sinologue exceptionnel, dont les travaux sont toujours utilisés de nos jours.
Première édition complète, constituant le vol. 15 des Archives d'études orientales publiées par J.-A. Lundell (9 exemplaires au CCFr, dont 1 à Lyon et 8 à Paris).
L'ouvrage était à l'origine une thèse de doctorat soutenue en 1915, augmentée de suppléments parus en livraison jusqu'en 1926.
Reliure de l'éditeur en demi percaline bleue, dos lisse comportant de petits frottements, titres argentés au dos, plats de cartonnage marron, cachets chinois à l'encre rouge sur les pages de titre et de faux-titre, coins émoussés.
Quelque petits manques de papier angulaires pp. 241, 243 et 707, sans perte de texte.
Nouvelle édition illustrée de nombreuses gravures dans le texte : plantes, animaux, partitions de musique, figures géométriques, appareils électriques, objets divers, etc.
Le tableau de la p. 1323 représente la classification périodique des éléments ; la figure de la p. 1483 montre le parcours des rayons lumineux traversant des lentilles.
Relure de l'éditeur en demi percaline noire, titre au dos en caractères chinois, plats de cartonnage sable marginalement salis, coins émoussés, gardes partiellement ombrées.
Le Cihai, ou "Mer des mots", est un dictionnaire encyclopédique chinois dont les travaux commencèrent en 1915 et qui fut publié pour la première fois en 1936.
Quatrième édition de la traduction française (cf Cordier, Sinica, 1696)
Texte bilingue chinois-français. On joint un feuillet volant de Corrigenda (1 p. in-12).Chang-Hai, Imprimerie de la mission catholique, Orphelinat de T'ou-Sè-Wè, 1906,
Reliure en demi percaline violine à coins, dos lisse orné de doubles filets dorés, plats de toile noire, petites éraflures sans gravité sur les plats, tranches mouchetées, reliure de l'époque.
La première édition française parut en 1887 : il s'agissait d'une adaptation d'un guide de conversation destiné à des Japonais étudiant le chinois à Pékin.
Le succès répondit à son caractère pratique, puisque d'autres éditions virent le jour en 1893, 1901, 1906 et 1919.
La présente édition comprend 4 parties : 1. Formules de conversation qu'il faut savoir. - 2. Mandarins et marchands parlant de leurs affaires. - 3. Style ordinaire des commandements. - 4. Dialogues entre mandarins. Le Jésuite Henri Boucher (1857-1939), traducteur, fut missionnaire successivement au Kiang-Nan et au Japon.
Ex-libris manuscrit moderne "Jean-Marien Blondet" en tête d'une garde.
Edition originale, en librairie, et augmentée de la traduction française établie par G. Pauthier. (cf Cordier, "Sinica", 1399-1340.)
Une partie de l'ouvrage avait d'abord paru en 1832 dans la "Revue Encyclopédique" de mai-juin, et avait fait l'objet d'un tirage à part de 23 pages.
Le texte est traduit en français avec une version latine et le texte chinois en regard.
Les caractères chinois ont été réalisés avec les types chinois mobiles gravés sur poinçons d'acier et fondus par Marcellin-Legrand, graveur de l'Imprimerie royale.
Un manque angulaire en pied du second plat qui a necessité une légère restauration sur la dernière page du volume, petites déchirures sans gravité en tête et en pied du dos.
Édition originale de la traduction française ornée d'une carte dépliante dans le premier volume (cf Cordier, Sinica, 2094. Quérard I, 260. Manque à Schwab et à Atabey. Blackmer (111) ne possédait que l'édition anglaise (Travels from St. Petersburg in Russia, to diverse parts of Asia, Glasgow, 1763).
Reliures en plein veau fauve marbré, dos à cinq ornés de doubles caissons dorés et décorés, pièces de titre de maroquin brun ou vert (pour le deuxième volume), pièces de tomaison de maroquin rouge, roulettes dorées sur les coiffes, gardes et contreplats de papier à la cuve, filets dorés sur les coupes, tranches marbrées, certains coins émoussés reliures de l'époque.*
Petits trous sur le premier plat du premier volume, quelques frottements sans gravité sur les plats.
Edition originale de cette continuation de la série des Lettres édifiantes et curieuses : elle relate ce qui s'est passé depuis 1767 dans les missions dirigées par la Société des M.E.P. au Sichuan, au Tonkin, en Cochinchine, dans le Siam et sur la côte de Coromandel. (cf Cordier, Sinica, II, 953-957. Cordier, Indosinica, III, 1970-1978. Sabin 40704.)
Reliures en pleine basane fauve granitée, dos lisses ornés de guirlandes, filets et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison maroquin cerise, roulettes dorées sur les coiffes, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, lierés sur les coupes, tranches jaunes, reliures de l'époque.
Dos légèrement insolés, coiffes supérieures arasées, quelques frottements les dos et les plats qui comportent, pour certains, des manques de papier, coins abîmés, rares rousseurs, agréable état intérieur.
Edition originale, un des 90 exemplaires numérotés sur alfal, seuls grands papiers.
Bel exemplaire complet de sa carte volante et dépliante.
9 peintures sur soie dans un recueil dépliant avec biographies en chinois et en anglais. Ce recueil était certainement destiné aux Anglais pour une connaissance de la mythologie chinoise.
Reliure à la chinoise en dépliant pouvant s'ouvrir par la droite ou la gauche. Recouvert de soie rouge moirée XXe. 9 peintures traditionnelles à la colle sur soie (11,2x16,3). Encadrement de bandes de soie grège. En regard de la peinture sur la gauche, texte en chinois puis en anglais. Dans la marge au dessus du texte en chinois, le nom manuscrit au crayon gris de chaque divinité en italien. les pages de texte avec la trace d'une pliure centrale. Il semble manquer la légende de la première peinture, à moins que cette première peinture serve de frontispice général, puisque le personnage représenté est Chung Li Chuan (ou Zhong Li-Quan), on l'appelle le chef des 8 immortels.
Edition illustrée de 38 gravures originales de Ling Chou gravées sur cuivre et tirées à la main en sanguine et imprimée à 134 exemplaires nominatifs et numérotés sur papier de chine double Yu-Pan.
Le livre, séparé en deux fascicules cousus à la main et recouverts de soie moirée verte, est protégé par deux plaques de laque noire et des lacets, oeuvre du maître-laqueur Tchou-Tse-Tsin.
L'ensemble est contenu dans un emboîtage de soie moirée fermé par deux agrafes en ivoire, selon la maquette de l'illustrateur.
L'étui est partiellement et légèrement décoloré, une tache claire en tête du premier plat de l'étui, bel exemplaire.
Signatures de Ling Chou, de la présidente et de la vice-présidente de la société de Femmes bibliophiles qui a édité l'ouvrage.