Delteil, 770
Pâles rousseurs éparses.
Je m'en allais à la plage / Avec mon petit panier / Chercher des crab', des coquillages / Et des tas de crustacés
Nouvelle édition illustrée de 232 figures, principalement de Borel. Le Tome XIV est enrichi d'une suite de Moreau, une suite de Marillier et une autre anonyme. Exemplaire sur papier velin, les figures sur vélin fort. A la fin de l'avis de l'éditeur, un feuillet du prix des ouvrages : les 20 volumes in-18, papier fin, brochés avec 18 gravures...30Fr. Les mêmes avec 212 gravures, brochés...60Fr. Les mêmes, 17 volumes, Grand papier vélin, fig. des premières épreuves...120Fr. Les volumes peuvent s'acheter séparément par oeuvres. Alors qu'à l'université de Princeton et la bibliothèque royale du Danemarck on ne trouve que l'édition en 20 volumes avec 18 gravures, cet exemplaire s'avère plus désirable en 17 volumes sur velin. Selon l'exemplaire de la British Library, l'édition qui annonce 212 gravures n'en proposait que 205, les autres ont donc été ajoutées.
Reliure en demi cuir de Russie d'époque. Dos lisse orné de 4 petits fleurons concentriques et de roulettes. Papier rouge sur les plats imitant le maroquin à grains longs. Quelques traces de frottement, notamment aux coins. Rousseurs éparses. Il manque la table du tome X. Des feuillets ressortis. Exemplaire non rogné.
Détail de la collection : T. I-VII, L'ami des enfans et de l'adolescence. T. VIII, Le livre de famille, ou Entretiens familiers sur les connaissances les plus nécessaires à la jeunesse ; T. IX-X, Bibliothèque des villages . T. XI, Introduction a la connoissance de la nature, imitée de l'anglois ; T. XII-XIII, Choix de lectures pour les enfans, ou Recueil de contes, d'anecdotes et de traits de vertu, choisis des meilleurs auteurs .T. XIV, Idylles, romances, et autres poésies de Berquin ; T. XV-XVI, Sandford et Merton, imité de l'anglois . T. XVII, Le petit Grandisson, imité du hollandois.
L'auteur Berquin (1747-1791) se spécialisa très tôt dans la littérature enfantine, c'est même le premier à l'avoir fait. Ses livres pour enfants ont joui d'une grande popularité et ont été très souvent réimprimés tout au long du XIXe siècle. Les enfants anglais et allemands de la fin du XVIIIe connaissaient très bien l'oeuvre de Berquin. La plus grande partie de l'ami des enfants est constituée de courtes pièces de théâtre (historiques, morales, enfantines...), mais on y trouve également nombre de petits contes et romances, des lettres, ainsi qu'un récit de naufrage. On compte ainsi dans la table des matières générale 106 entrées. L'ami de l'adolescence contient également des pièces de théâtre morales, et d'autres pièces plus narratives ou plus nettement pédagogiques ; on retiendra La relation d'un naufrage sur l'île Royale, et le Système du monde mis à la portée de cet âge. Certaines oeuvres sont entièrement tournées vers l'instruction et la pédagogie, comme L'introduction à la connaissance de la nature (notamment par les figures d'animaux), ou les Entretiens sur les connaissances... D'ailleurs, ce n'est pas que Berquin fut le premier à étendre cette littérature qui est important, c'est plutôt qu'on peut situer à cette époque l'introduction de l'enfance dans nos cultures, et Berquin en est précisément un témoignage éloquent. En outre, c'était sans doute parmi les premières fois qu'on trouvait tant d'enfants representés dans l'illustration.
Photographie originale représentant Ravachol entre des gendarmes, tirage d'époque sur papier albuminé contrecollé sur un carton à bord rouge et portant la mention manuscrite « Ravachol à Montbrison » en pied.
Ce cliché a été réalisé par Auguste Berthon, photographe à Saint-Étienne, la veille de l'exécution de Ravachol alors que celui-ci effectuait une promenade dans la cour de sa prison de Montbrison. Il est fait mention de cette promenade dans les rapports de surveillance de la Conciergerie : « Le détenu a été conduit à la promenade à 8 heures, a déjeuné à 9 heures et est retourné à la promenade de 10 heures à midi où il était encore lorsque nous avons été remplacés. » (11 mai 1892)
Très habile restauration au coin supérieur gauche.
Nous n'avons pu trouver qu'un seul exemplaire de cette photographie à la Bibliothèque du Patrimoine de Clermont-Auvergne.
Rarissime photographie du Christ de l'anarchie en tirage d'époque.
Nouvelle édition, après l'originale parue en 1627 sous le titre : De proxeneta seu De prudentia civili. Un titre frontispice.
Exemplaire aux chiffres et aux armes du Duc et de la Duchesse de Montausier.
Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos orné du chiffre couronné du Duc et Duchesse de Montausier (répétés 3 fois dans chaque caisson). Pièce de titre de basane brune. Plats frappés aux armes avec chiffes dans les angles et triple filet d'encadrement. Tranches rouges. Papier bruni. Habiles et fines restauration aux coiffes, mors et coins. Dorures estompées par endroits. Bon exemplaire.
Grand personnage du 17e siècle, Charles de Sainte-Maure fut fait Duc de Montausier et pair de France en 1664, et reçut la charge de l'éducation du Dauphin en 1668. Son mariage avec la grande précieuse du temps, celle que l'on appela l'incomparable Julie, Julie d'Angennes, fut une des grande affaires de sa vie. C'est pour elle qu'il composa La guirlande de Julie, recueil de 62 madrigaux composés par les plus illustres poètes du temps dont lui-même. Le Duc de Montausier fut enfin le modèle du Misanthrope de Molière, ce qui est encore aujourd'hui un de ses titres de gloire. Quant à la Duchesse, elle fut peinte par Madeleine de Scudery dans son roman : Artamène ou le Grand Cyrus. Ils constituent tous les deux des symboles éminents du siècle de Louis XIV.
Jérôme Cardan (ou Girolamo Cardana) est un des grands humanistes italiens de la Renaissance. Son ouvrage, Arcana politica (La science du monde ou la sagesse civile), parut de manière posthume, eut un grand succès et connut plusieurs éditions.
Lithographie originale en couleurs tirée sur vélin fin. Timbre à sec de l'imprimeur en bas à droite de la planche.
Quelques infimes trous d'épingles aux quatre coins et en marge haute de l'affiche, sans gravité.
Superbe publication mensuelle française, les Maîtres de l'Affiche, parut entre 1895 et 1900 à l'initiative de Jules Chéret.
Chaque numéro de la revue comprend quatre affiches reproduites au format cloche et en chromolithographie présentant pour chacune un timbre à sec d'authentification.
Très bel exemplaire de cette affiche du peintre anglais Maurice Greiffenhagen pour la revue Illustrated Pall Mall Budget.
Fragment recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et fleurs ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment de l'Office des morts au moment des laudes. Au recto du feuillet : antienne "A porta" suivie du cantique "Ego dixi in dimidio dierum meorum...". L'office des morts est un ensemble de prières dédié au salut de l'âme des défunts. Plus que de la commisération, ce dévouement traduit la crainte constante des hommes médiévaux pour la mort.
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et fleurs de lys ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des psaumes pénitentiels, la fin du quatrième psaume "Miserere mei, Deus, secundum magnam misericordiam tuam..." et le début du suivant "Domine, exaudi orationem meam,et clamor...". Cette partie des livres d'heures sert d'ordinaire à demander le pardon pour ses péchés et à exprimer un repentir.
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Estampe double originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco.
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement est divisé en bandeaux ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des heures de la Vierge entre la fin de l'office de none et le début des vêpres. Malgré l'antienne "Missus est", différente de l'usage classique du rituel romain, on retrouve à la suite le psaume huit habituel : "Dixit dominus...". Cette antienne se retrouve plutôt dans la liturgie du diocèse de Die, mais avec l'annonce de la rubrique précédant les vêpres, on peut supposer un usage mineur romain.
Ecriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des heures de la Vierge entre la fin de l'office des vêpres et le début de complies. La succession des pièces à la fin des vêpres se rapproche de l'usage de Die mais le capitule diffère "Egredietur virga radice iesse et flos de radice eius ascendet", cela pourrait être également un usage mineur romain comme la rubrique de l'annonce des vêpres l'annonçait.
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et losanges ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment de l'Office des morts au moment de la première nocturne des matines. Au recto du feuillet : antienne "Dirige me" suivie du psaume cinq "Verba mea auribus percipe, Domine...". L'office des morts est un ensemble de prières dédié au salut de l'âme des défunts. Plus que de la commisération, ce dévouement traduit la crainte constante des hommes médiévaux pour la mort.
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette graphie est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et losanges ornés de motifs floraux, de fruits et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés, bouts-de ligne et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des suffrages qui contient quatres prières aux Saints : à St Jean-Baptiste, St Jean l'Evangéliste et deux autres "Pulchre salutationes ad xpm. videlicet in elevatione corporis ipsius" suivie de "Alia salutatio. Salue sancta caro dei..."
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.