Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Léopold Sédar Senghor, à l'encre bleue au verso de la photographie, à (Frédéric) Brion et son épouse.
Edition originale, rare. Publiée à Avignon d'après Barbier ; l'édition est cependant répertoriée comme sortant des presses d'Yverdon d'après J.-P. Perret.
Reliure en plein veau brun marbré et glacé d'époque. Dos lisse orné. Pièces de titre et de tomaison en maroquin tabac. Manques en tête du tome I. mors inférieur du tome II fendu en tête. Pièce de tomaison du tome I frottée. 2 coins émoussés au tome I. Dans le tome II, trace pâle de mouillure de la page de titre à la p. 60. Le reste bien frais. Bon exemplaire.
Rare édition originale ornée de bandeaux, lettrines et culs-de-lampe.
Reliure postérieure en plein maroquin rouge, dos lisse janséniste, date dorée en queue, gardes et contreplats de papier marbré, roulette dorée en encadrement des contreplats, toutes tranches dorées.
Très bel exemplaire d'une des plus célèbres pièces du répertoire français. Elle fut jouée pour la première fois le 13 décembre 1669 à l'hôtel de Bourgogne et reçut un accueil mitigé. On trouve en tête de cette édition une préface du dramaturge répondant à ses détracteurs :
« De tous les ouvrages que j'ai donnés au public, il n'y en a point qui m'ait attiré plus d'applaudissements ni plus de censeurs que celui-ci. [...] Ce qui est échappé aux spectateurs pourra être remarqué par les lecteurs. »
Edition originale, poinçon de service de presse en tête du second plat.
Dos légèrement éclairci, la page sur laquelle figure l'envoi autographe est partiellement ombrée, sinon agréable exemplaire complet de son prière d'insérer.
Précieux et bel envoi autographe de Jacques Chastenet à son confrère Immortel de l'Académie Française le général Weygand : "... cette esquisse d'une époque qui n'a pas profité de la victoire à laquelle il avait tant contribué."
Edition originale, poinçon de service de presse en tête du second plat.
Dos légèrement éclairci.
Précieux envoi autographe d'Henry Bordeaux à son confrère Immortel de l'Académie Française le général Weygand.