Très bel exemplaire.
Edition originale.
Exemplaire aux armes de Le Camus de Néville, Seigneur de Bourg-Charente, conseiller à la cour des Aides, Directeur de la librairie et de l'imprimerie, Intendant de Pau et de Bayonne.
Reliure en plein maroquin rouge d'époque. Dos lisse richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Plats frappés aux armes. Triple filet d'encadrement sur les plats. Tranches dorées. Traces de frottement. Un coin légèrement émoussé. Petit manque de papier au feuillet H2 ayant entraîné la perte de quelques lettres. Traces de mouillure dans la marge intérieure, sans conséquence. Ensemble frais néanmoins. Bel exemplaire.
Seul ouvrage publié par ce médecin basque, qui donne la traduction en basque du titre au verso du premier feuillet. Outre les chapitres classiques sur les régimes, l'eau, les affections de l'âme, les urines, la diète, plusieurs concernent le vin, le café, le chocolat et la conservation des aliments. D'Harce détaille avec des exemples précis les ruses des charlatans et leurs prétendus miracles. Au dernier feuillet, mention manuscrite : "Présenté par l'auteur". L'ouvrage a certainement été offert par l'auteur à Le Camus de Néville.
« Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit).
« Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire).
« De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier).
« La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier)
« (...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif : sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes. » (Sylvie Rousselle-Tellier, « Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004).
« Je lisais Genet ; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un ? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage. » (Marc Trivier).
« Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier).
« Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit).
« Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire).
« De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier).
« La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier)
« (...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif : sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes. » (Sylvie Rousselle-Tellier, « Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004).
« Je lisais Genet ; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un ? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage. » (Marc Trivier).
« Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier).
« Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit).
« Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire).
« De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier).
« La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier)
« (...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif : sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes. » (Sylvie Rousselle-Tellier, « Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004).
« Je lisais Genet ; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un ? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage. » (Marc Trivier).
« Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier).
« Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit).
« Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire).
« De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier).
« La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier)
« (...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif : sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes. » (Sylvie Rousselle-Tellier, « Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004).
« Je lisais Genet ; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un ? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage. » (Marc Trivier).
« Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier).
« Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude. » (Luc Desbenoit).
« Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition. » (Xavier-Gilles in Le Monde Libertaire).
« De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie. » (Marc Trivier).
« La photographie ne dit qu'une chose : « C'était. » On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là. » (Marc Trivier)
« (...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif : sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes. » (Sylvie Rousselle-Tellier, « Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004).
« Je lisais Genet ; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un ? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage. » (Marc Trivier).
« Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier).