Éditions originales

Edition originale, un des 106 exemplaires numérotés sur vergé de Vizille, seuls grands papiers.
Bel exemplaire.

Edition originale de la traduction française, un des 30 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers.
Deux petites mouillures au verso, en tête et en en pied, du second plat et sur la dernière garde, sinon agréable exemplaire.

Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Dos insolé, agréable état intérieur.
Envoi autographe signé de Francis Jammes à Robert de Flers.


 

Edition originale imprimée sur alfa.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Francis Jammes à la marquise de Flers, épouse et veuve de Robert de Flers.


 

Edition originale, mention imprimée de service de presse en pied de la page de titre.
Dos très légèrement insolé.
Envoi autographe signé de Francis Jammes à Robert de Flers.


 

Edition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa.
Agréable exemplaire en dépit de deux traces de pliures sur le premier plat.

Edition originale, un des 35 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, le nôtre un des 10 hors commerce, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire malgré une pliure transeversale sur le premier plat et le dos légèment insolé.
Envoi autographe signé d'Anne Green à Gérard Mainguet.

Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire, coupure de presse jointe.
Envoi autographe daté et signé de Saul Bellow à son amie Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier.

Lettre manuscrite datée et signée de 20 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"Vieux,
eh oui, je turbine... scénarios... téloche... et je n'ai + de temps pour les amis.. hélas ! finalement je sors "La lanterne magique" en septembre sous le titre "Vulcanos" (nom du personnage principal) pour "Le gala", c'est Balland qui l'a réédité. Sans succès... alors il l'a soldé. Je dois en avoir q.qs exemplaires... Si tu es pressé je t'en envoie un, sinon je te le remets en main propre lors de notre prochaine rencontre... qui ne saurait tarder ! enfin je l'espère... autour d'une table avec Aline Giono, Louis (Nucéra) et Georges (Brassens) le dernier carré des braves. toute mon amitié. Aboudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Amusante lettre manuscrite datée et signée de 30 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"Vieux,
ta lettre m'est précieuse... non tu ne fais pas le prof ! Certaines fautes ont déjà été signalées pour une réimpression. Le plus curieux c'est que la plupart viennent de types qui corrigent le jeu d'épreuves et en font de nouvelles. Félicien Rops par exemple ou ce parket.bombing (j'avais pourtant écrit carpet dans mon manuscrit) Ils ont mis aussi Lucien pour Léon Daudet etc... Autrefois on nous donnait deux jeux d'épreuves... maintenant les éditeurs sont surtout pressés de fourguer leurs bouquins... tout à l'avenant... dans la chanson, la bouffe, les fringues, etc... Encore mille fois merci de ta lettre. Je suis un peu talonné par le service après vente, comme ils disent... n'empêche que lorsque tu descendras à Paris, fais-moi signe qu'on cassegraine entre potes... Salut fraternel. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Lettre manuscrite datée et signée de 28 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"Vieux,
merci de ta petite carte... il n'est pas encore trop tard pour te renvoyer la balle des meilleurs voeux pour 86... souhaitons que toute se passe le mieux possible. aujourd'hui Louis (Nucéra) est entré à l'hosto... juste q.qs jours... on va lui pulvériser un calcul au laser. Le dernier cri de la médecine en ce domaine. Si le pauvre Georges (Brassens) avait pu connaître ça ! Je pensais avoir un Guignol's band que je n'avais pas...  d'où un malentendu... etc. Ma pièce est en rade, le théâtre qui devait me la monter est en faillite... donc je repars à zéro. et je ne désespère pas d'avoir Galabru à l'affiche. J'ai remis "La fermeture" mon livre sur les claques à Laffont. Il sort en avril après les turbulences électorales. Mais d'ici peut-être aurons-nous l'occase de partager une croûte ensemble. Avec mon amitié. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Lettre manuscrite datée et signée de 17 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"J'ai reçu ta formidable lettre, vieux frère, et elle m'a procuré un sacré plaisir. Hier j'ai fait enregistrer tes corrections chez Laffont pour une réimpression très prochaine. Pas le temps de t'écrire plus longuement, je suis un peu débordé, tu te doutes. As-tu reçu en même temps que Monsieur Joseph, le livre d'entretiens de Lucien d'Azay "Contre enquête" ? Si non, je vais te le faire envoyer. merci encore... et dans la fraternité de Georges Brassens. mon amitié. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Lettre manuscrite datée et signée de 37 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"Vieux,
Je deviens de + en + niçois sous la protection, bien sûr, du cher Louis (Louis Nucéra) qui arrive tout de même à pédaler dans les collines malgré les ennuis de santé de Suzanne. Un mal difficile à cerner mais qui la fait souffrir beaucoup. Merci de ta chaleureuse lettre. Là, j'ai voulu faire du pur divertissement. Une petite suite pour sexualité ecclésiastique. Bien sûr je soigne toujours le paysage historique ; c'est ce qui donne de l'épaisseur, une dimension de vérité à l'aventure de Mme Blandine. Tes références à Sartre sont plaisantes... je n'y avais pas pensé. Je me suis surtout efforcé de faire un roman genre XVIIIe... Restif, Crébillon ou même "les infortunes de la vertu" de Sade. un Sade gentillet après tout. En septembre ou octobre je vais me propulser en Belgique pour la promotion du livre. Je te ferai signe à l'avance pour qu'on puisse casser la graine de l'amitié. Mon ami le metteur en scène Jacques Rosny a tiré un spectacle avec des extraits de la Cerise, les Combattants etc... Il fera une escale de quelques jours dans un théâtre à Liège. Si tu veux y faire un tour , tu pourras me dire si tu peux y faire un tour, tu pourras me dire ce que tu en penses. J'espère que les choses vont bien pour toi et les tiens... Donc à bientôt... avec mon amitié. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Bristol manuscrit signé de 14 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Une date inscrite au stylo bille bleu en tête du bristol.
Enveloppe jointe.
"Mon cher André
bien reçu Le Rail... et comme toujours ton papier amical et percutant. Quel dommage que tu ne sois pas critique au Nouvel Obs ou à l'Express ! J'espère (ou espère Louis aussi) que tu viendras un de ces quatre te propulser sur les derniers trottoirs fréquentables de Pantruche. Porte-toi le mieux possible et à bientôt. encore merci. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Lettre manuscrite datée et signée de 26 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre, enveloppe jointe.
"vieux,
magnifique ton papier sur le livre de Louis ! (Louis Nucéra) Il est écrit avec amitié et compétence...  ert ensuite celui sur Arland... bravo ! On aurait besoin de types comme toi dans la presse littéraire parisienne.. Hélas, elle est aux mains des cuistres ! je suyis sorti de l'auberge... je remonte la pente... encore q.qs pansements et ça ira tout à fait... j'ai déjà repris le feutre et la feuille blanche, mais pour la téloche... ma série qui doit se tourner en mars si tout va bien... en attendant le plaisir de te voir prochainement, je t'en serre cinq bien fraternellement. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. 
Un accroc avec manque en tête d'un mors, une petite inscription au stylo bille bleu en angle supérieur gauche de la vignette de titre sur le premier plat.
Rare signature manuscrite datée de Dymphna Cusack sur cette dénonçant l'ostracisme et le racisme dont sont victimes les Aborigènes sur leur terre natale d'Australie.




 

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. 
Petites taches sans gravité sur les tranches, agréable exemplaire complet de sa bande annonce.
Envoi autographe signé de Bernard Giraudeau à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier, enrichi d'un dessin représentant un bouquet de plantes des marais.



 

Bristol manuscrit signé de 21 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Une date erronée (4.1.91) inscrite au stylo billo bleu sur le bristol par André Tillieu alors que la date du 4.1.90 est indiquée en haut de l'enveloppe.
Enveloppe jointe.
"Cher André,
les voeux servent surtout à ne pas trop oublier les amis. Je te souhaite bien sûr santé, fric, l'oeil clair, le pas vif... etc... Je suis invité le 14 mars à Bruxelles pour une foire du livre. Je te tiendrai au parfum et on pourrais (sic) sans doute casser une petite graine ensemble à cette occase. Livre ? Je suis indécis... J'ai tout dit de ce que je pouvais dire. Il reste des trucs genre Fermeture... Je commence une collaboration à Détective à partir du 18 janvier... si ça te chante, tu pourras lire. Louis est à Nice, sa femme ne va pas très bien... surtout dans la tête, entre nous... A bientôt. Toute mon amitié. Ab."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Bristol manuscrit signé de 15 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Une date (4.2.99) inscrite au stylo billo bleu en haut de l'enveloppe.
Enveloppe jointe.
"Merci, mon cher André, de ta magnifique lettre. J'ai parfois des doutes sur l'intérêt de ma production, eh bien tu me rassures. Je sais que j'ai en Belgique un lecteur attentif et qui pige mes moindres intentions, qui apprécie mes petits trucs de style. Je n'ai pas le temps de t'écrire plus longuement. J'espère te voir à Bruxelles en Avril ou Mai lorsque je ferai la promotion de Chère visiteuse le livre que je viens de finir et qui paraîtra dans deux mois. Voilà, vieux frère, ton amitié me fait chaud au coeur. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Bristol manuscrit signé de 8 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Enveloppe jointe.
"Merci, vieux pote, de ta bonne lettre. Je sais que tru es un amateur éclairé... alors tout ce que tu me dis me touche dans le mille. J'espère bien aller te saluer un de ces quatre en Bruxellie. Mon amitié. Ab."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Bristol manuscrit signé de 22 lignes d'Alphonse Boudard, à en-tête de son adresse parisienne de la Nouvelle Athènes dans le 9ème arrondissement, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Enveloppe jointe.
"Vieux frère, merci de tes deux dernières lettres, je suis un peu débordé (par le succès entre autres) et j'ai laissé le courrier s'accumuler. J'ai pas vu "Mémoire de la France" si j'y suis cité c'est déjà pas si mal, d'habitude dans ce genre de bouquin je n'existe pas. Ni pour la Cerise, l'Hôpital, le prix Renaudot, ni pour le Cinoche. Je ne me plains pas puisque je n'écris pas pour la postérité. Mon prochain sort en septembre aux éditions du Rocher. "Madame de Saint Sulpice". Je ne pense pas que la presse catholique m'encensera. En tout cas j'espère amuser le lecteur et que tu sauras l'apprécier comme les autres. Tu es un fin gourmet de la chose écrite. J'espère que tu vas bien depuis ta dernière lettre. Moin amitié Ab."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Bristol manuscrit signé de 17 lignes d'Alphonse Boudard, sur une carte de visite, à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Jean Giono.
Une date et la mention "les enfants de choeur" inscrites au stylo bille noir en tête du bristol.
Enveloppe jointe.
"Vieux,
comme toujours ton papier me va droit au coeur. Et tu dis juste... si c'était Beckett ! Hélas... le petit clan des snobs et de l'intelligentzia fait la loi, le bon goût et la réputation... Les vendredis soir Louis Nucera part à la campagne faire du vélo et travailler à son roman. Le mieux, pour l'instant, serait d'arranger q.q. chose avec Aline. Moi je peux me rendre libre et je serai content de te voir. à bientôt donc. ton pote. ABoudard."
André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.

Edition originale de la traduction française, un des 100 exemplaires numérotés sur vergé américain, seuls grands papiers.
Bel exemplaire.

Edition originale, un des 40 exemplaires numérotés sur vélin, tirage de tête après 20 Chine.
Une petite tache noire en angle supérieur gauche du premier plat.
Bel exemplaire.

Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé.
Rare et agréable exemplaire, ex-libris encollé en pied du verso du premier plat.
Envoi autographe signé de François Bernouard au poète Adolphe Lacuzon : "... A monsieur Lacuzon, en témoignage de ma double admiration, celle du poète et de l'homme..."

Edition originale pour chacun des volumes dont le tirage varie de 297 à 1250 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers avec les réimposés.
Dos du cinquième volume fendu, mention imprimée "nrf" grattée sur le second plat du premier volume de la septième partie.
Rare et agréable ensemble complet d'un prière d'insérer.
Envoi autographe daté de 1929 et signé de Roger Martin du Gard, sur un feuillet volant : hommage de l'auteur absent de Paris, à Robert de Saint-Jean.

Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur papier de luxe, le nôtre non numéroté, seuls grands papiers.
Bel exemplaire.

Edition originale, un des 225 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête.
Une pliure transversale en tête du premier plat, sinon agréable exemplaire à toutes marges.
Contributions de Georges Bernanos : "Lettre à Frédéric Lefèvre", Max Jacob : "Renoncer à toute richesse" & "Jeunesse lacustre" & "Angoisses et autres", Henri Massis : "Charles Maurras et le sentiment de la mort" & "Paul Valéry et sa pensée", Nicolas Berdiaeff  "Le destin de la culture", Jean Cocteau : "Daisy en France", Daisy Ashford : "Les jeunes visiteurs ou le plan de Mr Salteena", Julien Green : "La traversée inutile"...

Edition originale imprimée à 70 exemplaires numérotés sur Normandy vellum, le nôtre non justifié et non signé par Guy Lévis-Mano.
Ouvrage illustré d'une eau-forte de Kurt Séligmann en frontispice.
Bel exemplaire.

Edition originale illustrée de photographies, un des 200 exemplaires numérotés et nominatifs.
Reliure de l'éditeur en pleine toile marron, dos lisse, dos lisse.
Agréable exemplaire complet de sa carte dépliante en début de volume.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Quelques traces de frottements sur les mors et sur le second plat.
Iconographie.
Envoi autographe signé d'André Lajoinie à une femme prénommée Annick.

 

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.
Bel envoi autographe daté et signé de Pierre Béarn à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier : "Pour Nadine Nimier dont la gentillesse m'émeut - sans doute qu'elle a su garder en elle la lumineuse clarté de l'âme - en la remerciant"

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Ouvrage illustré de dessins de Georges Wolinski.
Nostalgique envoi autographe signé de Claude Confortès à une amie prenommée Matilda : "... ce livre rare et épuisé des folles années. Grâce à toi je suis redevenu dingue. Vive l'EPROUVETTE ! Claude Confortès."


 

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire malgré deux petites taches en marge du second plat et sur un rabat intérieur.
Bel envoi autographe daté et signé d'Yves Peyré à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier.

Edition originale, un des 109 exemplaires numérotés sur vergé pur fil et réimposés dans le format in-quarto tellière, tirage de tête.
Bel exemplaire en dépit de quelques légers frottements sur les mors et d'une claire décoloration en angle supérieur droit du premier plat.
Reliure en demi maroquin fauve, dos lisse, plats recouverts de cartonnage crème façon vélin, gardes et contreplats de papier façon bois, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée Alain Lobstein.

Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire malgré le dos légèrement insolé.
 

Edition originale, un des 37 exemplaires numérotés sur vergé de Vizille, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire de cet ouvrage qui valut à son auteur d'être couronnée par le prix Robert Walser du premier roman.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliure de l'éditeur en pleine toile grise, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette illustrée qui comporte quelques petites déchirures marginales et d'infimes manques angulaires sans gravité.
Envoi autographe signé d'André Dhôtel à monsieur Pittner.
 

Edition originale, un des 100 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.

Edition originale, un des 125 exemplaires numérotés sur Ingres, seuls grands papiers après 25 hollande.
Bel exemplaire.

Edition originale du numéro de cette revue consistant en deux feuillets rempliés.
Agréable exemplaire.
Sur le premier, une xylographie en couleurs représentant Alphonse Karr par Emile Cohl.
Sur les suivants, texte de Pierre et Paul en édition originale intitulé "Alphonse Karr".

Edition originale du numéro de cette revue fondée par l'écrivain Félicien Champsaur et l'illustrateur Alfred Le Petit et consistant en deux feuillets rempliés.
Agréable exemplaire.
Sur le premier, une xylographie en couleurs représentant Albert Robida par Alfred Le Petit.
Sur les suivants, texte de Félicien Champsaur en édition originale intitulé "Albert Robida".

Edition originale du numéro de cette revue consistant en deux feuillets rempliés.
Agréable exemplaire.
Sur le premier, une lithographie en couleurs représentant Daubray par Emile Cohl.
Sur les suivants, texte de Pierre et Paul en édition originale intitulé "Daubray".
 

Edition originale du numéro de cette revue consistant en deux feuillets rempliés.
Agréable exemplaire malgré de petites piqûres sans gravité.
Sur le premier, une xylographie en couleurs représentant Paul Bourget par Emile Cohl.
Sur les suivants, texte de Jules Laforgue en édition originale intitulé "Paul Bourget".

Edition originale, un des 88 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête après 13 hollande.
Rare et très bel exemplaire.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe daté et signé de Pierre Courtade à Jean Claval.

Edition originale sur papier courant.
Plats salis,  importante tache de café sur le second plat et en pieds des premiers feuillets, rousseurs sur les tranches.
Précieux envoi autographe signé de Kléber Haedens à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier, chef de file, avec Antoine Blondin, des Hussards, mouvement littéraire donrt faisait partie Kléber Haedens : "Pour toi Nadine, je pense à toi et je t'embrasse. Kléber."
Emouvante provenance : de la bibliothèque de Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier.

Edition originale, un des 250 exemplaires numérotés sur vélin pur chiffon de Lana, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire.

Edition originale, un des 944 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers après 111 réimposés.
Bel exemplaire.

Edition originale, un des 150 exemplaires numérotés sur vergé pur fil, tirage de tête après 50 Hollande.
Bel exemplaire.
Signature manuscrite de Marcel Prévost sur la page de faux-titre.

Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur alfa vergé, seuls grands papiers après 5 Hollande.
Quelques rousseurs sur les plats.
Envoi autographe signé de Jean Dorsenne : "A mon ami le sergent Muzereau de la classe !!! Cé témoignage d'affection d'un simple pékin ! Jean Dorsennus.

Edition originale de la traduction française, un des 25 exemplaires numérotés sur vélin dap-cau, seuls grands papiers.
Dos et plats légèrement et marginalement éclaircis comme généralement.

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.

Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur hollande, tirage de tête.
Très bel exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Bel exemplaire.
Envoi autographe daté et signé, au crayon de papier,  de Pierre Alechinsky à Jacques Bertin 

Edition originale, un des 1300 exemplaires numérotés sur sunburst white alfa.
Bel exemplaire.

Edition originale de la traduction française, un des 325 exemplaires numérotés sur vélin d'Artois, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.

Edition originale imprimée sur alfa.
Petites déchirures en marges des plats ce qui est inévitable au regard de la fragilité de cet ouvrage.
 

Edition originale, un des 15 exemplaires numérotés sur japon impérial, tirage de tête.
Agréable exemplaire à toutes marges en dépit du dos et plats légèrement et marginalement éclaircis, une tache claire en marge d'un témoin.
Ouvrage illustré de dessins dans le texte.
Notre exemplaire est enrichi d'une lettre autographe signé de Charles Léger à propos d'ouvrages qu'il a déjà écrits sur Balzac.

Edition originale.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette en papier calque marginalement jaunie.
Signature manuscrite de Thomas Hechtte sur la page de faux-titre.
Provenance : bibliothèque Ulrike Bergweiler.


 

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire, couverture illustrée.
Envoi autographe signé de Pierre Daix à Jean Claval.

Edition originale de la traduction française un des 10 exemplaires numérotés sur vélin de Lana, seuls grands papiers après 5 vélin de Rives.
Restauration sur l'étui fendu en pied sur toute sa longueur, sinon bel exemplaire.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Quelques rousseurs sur les plats, papier jauni.
Ouvrage illustré de deux portraits de Louis Pergaud.
Bel et touchant envoi autographe daté et signé d'Edmond Rocher : "A Léon Bocquet l'ami et le premier éditeur de Louis Pergaud en affectueuse communion en la pensée du cher disparu. Edmond Rocher. Nbre 1923."

Edition originale de ce texte inédit présenté par Claude Debon, un des 50 exemplaires numérotés sur vergé d'édition, le nôtre un des 26 lettrés, tirage de tête.
Agréable exemplaire, ex-libris encollé en regard de la page de titre.

Edition originale, un des 500 exemplaires numérotés sur Hollande, le nôtre non numéroté, seul tirage après 20 papier ancien et 5 hors commerce.
Le premier volume contient les propos sur Giovanni Battista Bracelli par Tristan Tzara, suivis de " L'aventure d'un livre et notes bibliographiques " par l'éditeur Alain Brieux.
Le second volume est la reproduction en fac-similé du livre de Bracelli, "Bizzarie", illustré des 50 gravures réalisées en 1624.
Le fac-similé a pu être imprimé d'après le seul exemplaire complet et connu, celui du bibliophile américain  Mr. Lessing Rosenwald. 
Ce volume d'illustration est relié en plein cartonnage à l'imitation des vélins médiévaux à lacets.
Chemise et étui en plein cartonnage marron, dos lisses muets, étiquette de titre encollée sur l'étui.
Bel exemplaire.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Claude Lévi-Strauss à Nadine Nimier : "Pour Nadine avec les amitiés de Lévi-Strauss."
 

Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Dos légèrement jauni, piqûres sur le premier plat.
Envoi autographe signé de Michel Tournier à Ulrike Bergweiler qui fut la secrétaire d'Antoine Gallimard : "Pour Ulrike Bergweiler. En toute amitié. Michel Tournier."

 

Edition originale sur papier courant.
Dos jauni, une tache rose sur le premier plat.
Envoi autographe signé de Félicien Marceau à Ulrike Bergweiler qui fut la secrétaire d'Antoine Gallimard : "Pour Ulrike de son ami Félicien. Le 17 mars 89."

Edition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur pur fil, seul tirage après 20 papier san francisco.
Bel exemplaire.
Ouvrage illustré de 6 dessins de R. Berton et d'un portrait photographique de Tristan Derème par Mertens-Auradon.
Bel envoi autographe signé de Tristan Derème au professeur Lereboullet : "... et voici, dans ces feuillets, qu'on évoque le port et le refuge au milieu des tempêtes de la vie - et c'est le seuil fleuri de la vieille maison. On y rêve à Paris, dans le vacarme et la course de la vie quotidienne ! En très cordial hommage.Tristan Derème. 29 -XI - 30."

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire complet de sa jaquette.
Bel envoi autographe signé de Michel Albertini à une amie prénommée Anne-Rose : "... ces merdicoles qui n'auraient jamais été si drôles et émouvants sans elle... Alors, avec un gros morceau de soleil de Marseille en plus, et que pour vous... chère Anne... ma première..."
 

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe daté et signé de Jean-Claude Renard à Nadine Nimier, épouse et veuve de Roger Nimier.
 

Edition originale, un des 112 exemplaires numérotés sur vergé, seuls grands papiers.
Agréable exemplaire.

Edition en partie originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Bel envoi autographe daté et signé de René Depestre à Jean Orizet : "... ces chants d'adieu à quelques chimères du siècle..."

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe daté et signé de Julia Kristeva à Ulrike (Bergweiler)  : "... qui fait partie de l'esprit des samouraïs..."

 

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Agréable exemplaire complet de sa bande annonce.
Envoi autographe signé de Régis Debray à Ulrike Bergweiler.

 

Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé.
Cet ouvrage offre la particularité d'être en édition bilingue : en breton et, en dessous, la traduction en français.
Rare et agréable exemplaire.

Edition originale, un des 312 exemplaires numérotés sur alfa, seuls grands papiers après 28 vergé.
Agréable exemplaire.
Iconographie.

Edition originale, un des 120 exemplaires numérotés sur vélin pur chiffon de Lana pour chacun des volumes, seuls grands papiers.
Très bel exemplaire complet en deux volumes de cette troisième partie de "Leçons de Ténèbres".

Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur pur chiffon d'arches, tirage de tête.
Légères piqûres sur le premier plat, sinon agréable exemplaire.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grand papier.
Couverture photographique, iconographie.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'Hubert de Leusse à Roland Manescau.

Edition originale sur papier courant.
Agréable exemplaire.
Bel envoi autographe signé de Bertrand Poirot-Delpech : "A Claude Mauriac avec la joie de lui redire (p.296) mon estime. Amicalement."

Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête.
Bel exemplaire en dépit du dos et des plats légèrement et marginalement décolorés comme habituellement.

Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur vélin pur chiffon de Lana, le nôtre un des 7 hors commerce, seuls grands papiers
Bel exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Dos légèrement insolé, sinon bel exemplaire.
Ouvrage illustré de 174 dessins de Steinlen.
Rare envoi autographe signé de Théophile Alexandre Steinlen.

Edition originale, très rare, à l'instar de toutes les originales de l'auteur.
Reliure en demi maroquin à coin à grains longs noir de la fin du XIXe signée Pouillet. Dos lisse orné de fers en miroir. Auteur, titre et date dorés. Double filet de séparation sur les plats. Manque en coin bas du faux-titre et du titre. P.7 un petit manque au coin droit haut. Papier parfaitement frais. 
Drame amoureux se déroulant à Madrid, où Gautier exprime sa passion pour la tauromachie.

Edition originale de cette collection complète, chaque volume est illustré d'un bois en frontispice et de quelques bois in-texte.
Tous les volumes sont tels que parus sous couverture verte de l'éditeur. Le premier tome a été restauré en tête et en queue à l'aide de deux bandes de papier.
De toute rareté.

Edition originale illustrée de 200 figures hors-texte et de 120 vignettes par Grandville, gravées par Brévière. Une planche manquante dans le tome 2 ("Tous l'aimaient éperdument..." dans le chapitre intitulé "Les peines de coeur d'une chatte française". Au tome 1, les planches des pages 241 et 378 sont fautivement reliées aux pages 140 et 275. Le frontispice du premier tome est différent dans le premier tome de la plupart des autres exemplaires, cependant le frontispice habituel a été placé plus loin.
Reliures de l'époque en demi veau rouge, dos lisses ornés de grands fers dorés uniformément éclaircis, plats de papier à la cuve comportant quelques frottements sans gravité ainsi que sur l'ensemble des reliures, gardes et contreplats de papier caillouté. Quelques très rares rousseurs.
Agréable exemplaire de cette satire de la société sous le Second Empire.

Edition originale, admirablement illustrée de 201 figures hors-texte et de 120 vignettes par Grandville. Ce premier tome possède bien le premier tiers de l'ouvrage tiré sur papier teinté alors que le reste est sur papier blanc, caractéristique du premier tirage ; c'est ainsi que la plupart des exemplaires sont ainsi d'un second tirage car les feuillets sont également blanc comme le reste de l'ouvrage. En outre, la préface de l'éditeur hetzel, la plupart du temps absente, est ici bien présente avant le prologue. La plupart des exemplaires commence directement avec le prologue. Le frontispice du tome 1 a été placé en regard de la p. 32, le faux-titre gravé intitulé Scène de moeurs faisant office de frontispice ; ce faux-titre est souvent absent de la plupart des exemplaires. Le frontispice et titre gravé du tome 2, ainsi qu'un faux-titre gravé également intitulé 2e partie ont été conservés sans la page de titre du second volume qui n'a pas été relié dans cet exemplaire. Ces 2 faux-titres, dans le premier volume Scène de moeurs, dans le second volume 2e partie sont très souvent absents des exemplaires.
Reliures en demi chagrin rouge à coins légèrement postérieur. Dos à nerfs avec 3 caissons ornés, titre et tomaison dorés. Filets de séparation sur les plats. Tranches peignées, reprenant le motif des gardes. Traces de frottement. Sur le plat supérieur du tome 1, une zone de 2 cm mettant le carton à nu. Superbe fraîcheur du papier, totalement exempt de rousseurs.
Bel exemplaire.
On ne présente plus cette publication célèbre, satire de la société contemporaine parisienne du Second empire, dont l'entreprise est due à Hetzel, qui sous le pseudonyme de Stahl a signé plusieurs textes et a commandé des textes aux plumes les plus célèbres de l'époque : Balzac, Musset, Sand, La Bedollière... Le dernier chapitre raconte l'emprisonnement des différents écrivains que l'on peut voir dans des emplacements au Jardin des plantes, on y voit Grandville de dos en train de les dessiner. Une des grandes oeuvres d'imagination de Grandville, pleine de verve et de fantaisie.