La photographie n'immortalise rien ni personne et porte sa part de mensonge, mais en saisissant l'instant, elle crée une intimité avec le passé. En mettant en exergue une autre vérité, parfois éloignée de l'imaginaire collectif, elle introduit dans l'histoire figée des hommes et femmes d'exception la savoureuse fragilité de la vie. Le Feu Follet vous présente cette semaine son enquête sur l'un de ces instants saisis sur le vif du jeune Picasso découvrant Pompéi sous le complice objectif de Jean Cocteau.
La photographie n’immortalise rien ni personne et porte sa part de mensonge, mais en saisissant l’instant, elle crée une intimité avec le passé. En mettant en exergue une autre vérité, parfois éloignée de l’imaginaire collectif, elle introduit dans l’histoire figée des hommes et femmes d’exception la savoureuse fragilité de la vie. Le Feu Follet vous présente cette semaine son enquête sur l’un de ces instants saisis sur le vif du jeune Picasso découvrant Pompéi sous le complice objectif de Jean Cocteau.
Exceptionnelle photographie méconnue ou inédite prise par
Jean Cocteau lors de son séjour pompéien avec Picasso
L'Enquête. « Le choc esthétique »
Le 16 avril 1917, Picasso visite Pompéi en compagnie de Jean Cocteau et Léonide Massine afin de préparer le ballet Parade, première œuvre qualifiée de sur-réaliste par Guillaume Apollinaire, pour la nouvelle saison des Ballets russes de Serge de Diaghilev.
Ce voyage initiatique lui inspire, dès son retour, une peinture monumentale : le rideau de scène de Parade, véritable signature visuelle du ballet, marquant les débuts de la période néo-classique de Picasso, et aujourd'hui conservé au Musée national d'Art Moderne Georges Pompidou...
L’homme est un loup… heureusement que les femmes tiennent la laisse.
Découvrez dans le nouveau catalogue du Feu Follet cette photographie originale de Tigy Simenon promenant les loups de son père avec sa complice Caro Canaille et d’autres surprises bibliophiliques dont plusieurs amusants et subtils portraits d’écrivains par leur proche ami Carlo Rim, des manuscrits d’Artaud, London, Sartre, Vian, Zola… et de rares éditions originales et envois d’auteurs d’importance.
Une armoire (volante), un ivre (caillé), de l'art (romantique), une carte (postale), des liaisons (dangereuses) et Georges (Bataille)
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FERNANDEL & Carlo RIM
Photographie originale représentant le cinéaste Carlo Rim conseillant Fernandel pour une scène de "L'armoire volante", film de Carlo Rim
R. Bègue photo | Paris 1948
Tirage argentique d'époque. Carlo Rim fut l'écrivain provençal de Ma belle Marseille, caricaturiste, cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary.
Edition originale imprimée à 300 exemplaires et illustrée de 12 pastels de Yann Dugain. Signature manuscrite au crayon de papier de Yann Dugain au colophon. Envoi autographe daté et signé de Guillaume Sabran à Nadine Nimier, veuve et épouse de Roger Nimier. Notre exemplaire est exceptionnellement enrichi, d'une peinture originale de Yann Dugain.
Contrefaçon de 1812 imprimée avec la date de 1796. Elle présente l'exacte pagination de la véritable édition de 1796 ainsi que les 13 figures et les 2 frontispices Reliure de l'époque en plein veau rouge.
Édition originale du numéro de cette importante revue traitant notamment d'archéologie, de beaux-arts et d'ethnographie et ayant pour principaux animateurs Georges Bataille et Carl Einstein.