JULES HETZEL ET CIE

Edition originale illustrée. Illustrations de George Roux.
Cartonnage d'éditeur au globe doré, ou dit, à la mappemonde. Plaque signée Blancheland, reliée par Souze. Dos au phare. Second plat de type Engel "h" selon Jauzac. Dos uniformément passé et présentant quelques frottements. Coiffes et coins très légèrement frottés. Gardes et contreplats bleus d'origine un peu passés.
Bon exemplaire.

Edition originale illustrée. Illustrations de L. Benett.
Cartonnage d'éditeur "au globe doré". Plaque signée Blancheland, reliée par Souze. Dos au phare. Second plat de type Engel "i" selon Jauzac. Dos uniformément et légèrement passé. Coiffes et coins très légèrement frottés. Gardes et contreplats bleus d'origine un peu passés.Bon exemplaire.

Edition originale illustrée. Illustrations de George Roux.Cartonnage d'éditeur au globe doré, ou dit, à la mappemonde.
Plaque signée Blancheland, reliée par Souze. Dos au phare. Second plat de type Engel "h" selon Jauzac. Dos uniformément et légèrement. Coiffes et coins très légèrement frottés. Quelques griffures en marge basse du premier plat. Un petit accroc sur l'une des coupes inférieures. Gardes et contreplats bleus d'origine un peu passés.Bon exemplaire.

Edition aux deux éléphants reliée par Lenègre du type 3. 93 illustrations en noir de Ferrat, gravées par Brabant, dont deux cartes. La première édition illustrée date de 1876, à la bannière.Second plat du type Lenègre e, avec macaron à fond noir. Volume double.Roman d'aventure où Michel Strogoff, courrier du tsar, doit avertir le frère du souverain de l'arrivée des troupes tatar pour envahir la Sibérie, cette épopée le mènera de Moscou à Irkoutsk, capitale de la Sibérie.

Edition au Steamer au macaron rouge (volume simple), illustrée de 48 dessins par Benett, 40 pour le premier titre et 5 pour le second. Catalogue in fine. Reliure signée Charles Magnier. Plaque signée Souze.La première édition illustrée est parue en 1879 dans un cartonnage aux initiales.Beaux plats. Coins émoussés. Mors fendu en tête au plst supérieur, qui comporte également une fente sur 3 cm au niveau du phare. Minimes taches de décoloration sur le plat supérieur. Déchirure entre 3 et 5 cm aux 4 premiers feuillets de texte, sans manque.Deux héritiers se partagent 500 millions, un français et un allemand. Chacun construira une ville à la mesure de ses rêves, le français une ville hygiéniste, l'allemand, une ville d'acier.

Edition ornée de 95 illustrations de Benett, ainsi que de 12 gravures en chromotypographie et de 2 cartes en couleurs.
Cartonnage éditeur Hetzel "au portrait collé" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze représentant divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux), un portrait de l'auteur dans les tons sépias contrecollé au centre, divers instruments de navigation rehaussés à l'or au premier plan, second plat de type "e" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Dos uniformément et légèrement insolé, couleurs du premier plat un peu passées, coiffes et coins très légèrement frottés.
Nombreuses rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, comme souvent.

Edition ornée de 85 illustrations de George Roux, ainsi que de 12 gravures en chromotypographie et de 2 cartes en couleurs.
Cartonnage éditeur Hetzel "au portrait collé" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze représentant divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux), un portrait de l'auteur dans les tons sépias contrecollé au centre, divers instruments de navigation rehaussés à l'or au premier plan, second plat de type "e" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Exemplaire très légèrement gauchi, dos uniformément et légèrement insolé, coiffes et coins très légèrement frottés.
Quelques infimes rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, comme souvent.

Edition ornée de 80 illustrations de Benett, dont 12 gravures en chromotypographie et d'une carte en couleurs et deux en noir.
Cartonnage éditeur Hetzel "au portrait collé" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze représentant divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux), un portrait de l'auteur dans les tons sépias contrecollé au centre, divers instruments de navigation rehaussés à l'or au premier plan, second plat de type "e" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Dos uniformément insolé présentant un petit accroc en queue, couleurs du premier plat un peu passées, quelques petites taches sur le second plat, coiffes et coins très légèrement frottés.
Quelques infimes rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, comme souvent.

Edition ornée de 78 illustrations de George Roux, dont 12 gravures en chromotypographie et de 2 cartes en couleurs.Cartonnage éditeur Hetzel "à l'éventail et à l'éléphant" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Engel présentant le titre dans un éventail noir et doré, plusieurs encadrements en noir et à l'or, une tête d'éléphant dorée en haut à gauche, trois petites illustrations ainsi que divers instruments de navigation et d'exploration dorés, le tout encadré dans des feuillages verts, second plat de type "i" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.Dos uniformément insolé, quelques petites taches sur le second plat, coiffes et coins très légèrement frottés.Quelques infimes rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, comme souvent.

Première et seule édition grand in-8 illustrée de planches en chromolithographie par George Roux.
Cartonnage éditeur Hetzel "au portrait collé" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze représentant divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux), un portrait de l'auteur dans les tons sépias contrecollé au centre, divers instruments de navigation rehaussés à l'or au premier plan, second plat de type "e" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Dos uniformément insolé, coiffes et coins très légèrement frottés, une infime tache blanche sur le second plat, un petit accroc en bas du dos.
Quelques infimes rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, comme souvent.

Edition ornée d'illustrations de Neuville et L. Benett.
Cartonnage éditeur Hetzel "à l'éventail et à l'éléphant" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Engel présentant le titre dans un éventail doré, plusieurs encadrements en noir et à l'or, une tête d'éléphant dorée en haut à gauche, trois petites illustrations ainsi que divers instruments de navigation et d'exploration dorés, le tout encadré dans des feuillages verts, second plat de type "i" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Coiffes et coins très légèrement frottés, une légère fente (1cm) en pied d'un mors.
Exemplaire tout à fait exempt de rousseurs.

Edition ornée d'illustrations de George Roux et d'une carte.
Cartonnage éditeur Hetzel "à l'éventail et à l'éléphant" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Engel présentant le titre dans un éventail noir et doré, plusieurs encadrements en noir et à l'or, une tête d'éléphant dorée en haut à gauche, trois petites illustrations ainsi que divers instruments de navigation et d'exploration dorés, le tout encadré dans des feuillages verts, second plat de type "i" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
Coiffes et coins très légèrement frottés, une légère fente (1cm) en pied d'un mors.
Exemplaire tout à fait exempt de rousseurs.

Edition ornée d'illustrations de L. Benett.Cartonnage éditeur Hetzel "à l'éventail et à l'éléphant" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Engel présentant le titre dans un éventail noir et doré, plusieurs encadrements en noir et à l'or, une tête d'éléphant dorée en haut à gauche, trois petites illustrations ainsi que divers instruments de navigation et d'exploration dorés, le tout encadré dans des feuillages verts, second plat de type "i" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.Dos uniformément insolé, quelques très infimes griffures sur l'éventail.Exemplaire tout à fait exempt de rousseurs.

Edition illustrée de 172 vignettes par Riou, Gravées par Pannemaker. Catalogue in fine pour 1890.
Cartonnage de l'éditeur dit "à la bannière", bleue cobalt sur fond rouge grenat. Plats biseautés du type 7. Plaque du type 7 apparue en 1885 et qui se distingue par la disparition des cannelures sous le nom de l'auteur en haut de la bannière, et par une modification du nom de l'éditeur, qui devient Collection Hetzel, et non plus Collection J. Hetzel. Plat inférieur, variante du type Lenègre e. Plaque signée Souze, Reliure signée Lenègre en queue.Belle plaque supérieure. Petites décolorations sur le pourtour du plat biseauté. Coiffes frottées. Dos portant 2 tâches.
Un des grands classiques de l'auteur, 2 enfants à la recherche de leur père naufragé, et qui conduit le lecteur de l'Écosse à la Nouvelle-Zélande en passant par des îles Canaries, le Cap-Vert, le détroit de Magellan, la cordillère des Andes, la pampa argentine, le cap de Bonne-Espérance, l'île Amsterdam, et l'Australie.

Edition originale.
Petites déchirures marginales sur le dos et les plats, sinon agréable exemplaire.

Edition originale et édition originale illustrée. 'De manière tout à fait exceptionnelle, du fait d'un retard pour raisons technique dans la fabrication de l'in 18 broché, c'est l'édition grand in 8 illustrée qui constitue l'édition originale." Jauzac. L'in 18 ne sera mis en vente que le 30 janvier 1893 alors que l'édition au steamer le sera le 21 novembre 1892. Jauzac signale en outre que la qualité des ors a été améliorée pour la pastille.Volume simple, illustré de 55 dessins de benett dont 6 hors-texte polychromes et 2 cartes en couleurs.Cartonnage d'éditeur dit "Au steamer" à la pastille dorée. Dans la pastille, une petite surface portant moins d'or que l'ensemble. Une pliure au coin droit. Au plat inférieur, une tache sur le macaron et à droite du macaron (colle ou eau) Autrement bel exemplaire, à la belle plaque supérieure, au dos infimement éclairci mais frais, exempt de rousseurs, au papier bien frais.Aventures rocambolesques de Claudius Bombarnac, reporter originaire de Bordeaux, sur la ligne de chemin de fer entre le port d'Ouzoun-Ada et Pékin.

Edition ornée de 172 illustrations de Riou.Cartonnage éditeur en pleine percaline rouge signé Engel, dos lisse dit à l'ancre, éditeur en queue, premier plat polychrome signé Souze, second plat de type Engel "i" comme indiqué par Jauzac, coupes biseautées, tranches dorées. Petit renfoncement sur l'une des coupes du plat inférieur et petite tache de décoloration en marge du cartouche du titre, sinon cartonnage très frais.Rousseurs, principalement au niveau des premiers et derniers feuillets, charnières intérieures fendues mais plats néanmoins bien solidaires.

Première édition collective. Un volume double, catalogue DF, avec les nouveautés pour l'année 1885/1886. Un des rares volumes portant la date en page de titre. Illustré de 45 dessins par Benett.Cartonnage d'éditeur aux deux éléphants du 3e type. Percaline rouge. A. Lenègre relieur. Plaque de Souze. Coins et coiffes légèrement frottées. Petites tâches au dos. Quelques pâles rousseurs éparses. Bon exemplaire.

Edition originale illustrée. Soixante et une illustrations par Georges ROUX, dont 20 grandes planches couleurs en chromotypographies, 35 vues photographiques des Etats-Unis d"Amérique (villes et paysages), une carte dépliante des Etats-Unis d"Amérique et celle du jeu de l'oie. Catalogue Hetzel pour 1899-1900 de 8p. en fin d'ouvrage. Ce titre ne connaîtra qu'une seule seconde édition en 1905 (cartonnage à un éléphant).Cartonnage d'éditeur au globe doré, ou dit, à la mappemonde. Plaque signée Blancheland, reliée par Souze. Dos au phare. Dos légèrement passé. Quelques rares rousseurs. Un petit point d'encre au dessus du I de Excentrique. Frottements aux coiffes. Belle plaque supérieure. Bon exemplaire.Ce volume des Voyages extraordinaires est un parcours et une aventure à travers les Etats-Unis. Le roman relance après une série de romans consacrés à la science fiction, l'aventure et la découverte. On retiendra avec intérêt la série de photographies d'époque des Etats-Unis.

Edition originale pour chacun des volumes et pour lesquels il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliure en demi chagrin marron, dos à quatre nerfs sertis de filets dorés orné de triples caissons dorés agrémentés de motifs décoratifs dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque.
Envois autographes signés de l'auteur sur les pages de faux-titre de chacun des volumes.
Ouvrages illustrés de dessins in-texte de Bertall.
Une restauration marginale avec petit manque de papier sur la page de faux-titre du premier volume, petites rousseurs éparses, une pâle mouillure marginale en pied des derniers feuillets du second texte.

Edition originale rare.
Petits manques sur le dos, premier plat débroché, quelques petites rousseurs intérieures sans gravité.

Première édition illustrée. C'est la seule utilisation du globe doré à l'empiècement pour un premier titre. 68 illustrations de Georges Roux, dont 20 gravures en chromolithographie, et une carte. Un volume double. Catalogue Y, avec les nouveautés pour l'année 1897 - 1898. On rappellera que c'est en 1896 que la cartonnage au globe doré remplace ceux aux portraits.
Cartonnage polychrome au phare et au globe doré "à l'empiècement", second plat type p. Relié par Engel. Mouchetures sur 1cm sous le cartouche ; une rayure en haut à droite ; salissures dans le bleu ciel. Dos légèrement insolé. Plat secondaire avec une trace de décoloration. 2 feuillets resssortis, notamment la seconde garde de couleur. Bon exemplaire.
Voyage au pôle nord, le roman est expllcitement un hommage au seul roman d'Edgard Poe : les aventures d'Arthur Gordon Pym de Nantucket ; il se fonde sur la véritable existence de Pym, les personnages cherchant à leur tour le grand blanc.

Edition originale illustrée de 59 dessins par L. Bennet et P. Phillippoteaux. Un Volume double, catalogue AB avec les nouveautés pour 1879 -1880.Cartonnage d'éditeur en percaline rouge, dit à La sphère ptolémaïque. Plaque spéciale composée par Souze. Superbe premier plat, d'une grande fraîcheur. Dos infimement éclairci. Plat inférieur avec quelques petites taches blanches. Bel exemplaire, à la plaque d'une grande fraîcheur, exempt de rousseurs (excepté sur la serpente du frontispice).Ce volume est le premier paru du triptyque : Les grands voyages et les grands voyageurs.

Nouvelle édition de la traduction française établie par Michel Delines et illustrée de dessins de Benett et G. Roux.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage polychrome, dos lisse, coiffes légèrement frottées, premier illustré d'un décor géométrique doré, noir et bleu, coins légèrement émoussés, tranches dorées.
Quelques petites rousseurs.

Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers.
Reliures à la bradel en demi veau bronze, dos lisses ornés de filets dorés, plats de papier marbré, couvertures montées sur onglets conservées, reliures pastiches modernes signées de P. Goy & C. Vilaine.
Très rare envoi autographe signé de Jules Verne à [Achille] Tournier, alors préfet de la Somme, enrichi d'une carte de visite de Jules Verne montée sur onglet.
Ouvrage orné d'illustrations originales de L. Benett.
Jules Verne s'installe à Amiens, ville natale de sa femme, en 1871: « Sur le désir de ma femme je me fixe à Amiens, ville sage, policée, d'humeur égale, la société y est cordiale et lettrée. On est près de Paris, assez pour en avoir le reflet, sans le bruit insupportable et l'agitation stérile. Et pour tout dire, mon Saint-Michel reste amarré au Crotoy. ». Son affection pour la région ne cessera de croître et il ne quittera plus la capitale picarde, participant activement à la vie politique locale. Nommé directeur de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts, en 1875 il prononce à cette occasion un discours resté célèbre : "Une Ville idéale : Amiens en l'an 2000." En 1888 il est élu au conseil municipal d'Amiens où il siège jusqu'en 1903. C'est le préfet de la Somme qui lui remet sa décoration lorsqu'il est promu officier de la légion d'honneur en 1892. "Les gens me demandent souvent, pourquoi je réside à Amiens, moi qui suis si complètement Parisien d'instinct. Eh bien, parce que, comme je vous ai dit, j'ai du sang breton, et que j'aime la tranquillité, et je ne pourrais être plus heureux que dans un cloître. Une vie calme d'étude et de travail fait ma joie. " ( juin 1893, in Mac Clure's magazine).
Bel exemplaire.

Edition ornée d'illustrations d'Emile Bayard gravé par Pannemaker.
Reliure de l'éditeur en plein cartonnage polychrome terre de Sienne, dos lisse orné de caissons dorés richement ornés et de filets dorés, premier plat illustré d'un décor doré et noir, deuxième plat agrémenté d'un décor noir, toutes tranches dorées.
Rares rousseurs.
Bel exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Reliures en demi chagrin moutarde à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés ornés de fleurons dorés, initiales dorées en queues, encadrements de filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes dorées, reliures de l'époque.
Précieux envoi autographe signé de l'auteur à Léon Bienvenu dit "Touchatout".
Quelques rousseurs.
Tampons imprimés de la bibliothèque de Léon Bienvenu sur les gardes.

Edition originale illustrée. 111 dessins par Benette et une carte. Catalogue in fine pour l'année 1886.Cartonnage d'éditeur relié par Lenègre ; plaque spéciale par Souze. Cartonnage dit à la bannière argenté, ou au ballon. Ce cartonnage fut employé seulement pour le volume triple Mathias Sandorf.Bel état des deux plats. Dos fané. Coiffes frottées. Début de fente sur 5 cm au mors supérieur. Très pâles roussseurs éparses. Bon exemplaire, à la première plaque bien fraîche.Mathias Sandorf est dédié de manière posthume à Alexandre Dumas. Jules Verne rend hommage en effet dans ce roman à l'auteur du Comte de Monte-Cristo ("Dans cet ouvrage, j'ai essayé de faire de Matthias Sandorf le Monte-Cristo des Voyages extraordinaires.") ; Sandorf a été comme lui emprisonné et trahi et ses aventures retraceront sa vengeance. Le roman se déroule sur le pourtour méditerranéenn de l'Europe du sud.

Cartonnage d'éditeur dit Au globe dorée par Engel. Dos au phare. Edition illustrée de 7 chromotypographies de Benett et de très nombreuses illustrations en noir dans le texte, et d'une carte sur double page.Plaque centrale aux ors bien brillants. Petites salissures en haut dans le bleu. trace de restauration sur le bas du plat portant des traces de coupures recollées à peine visibles. Dos en bel état avec coiffes frottées. Petites salissures sur le plat inférieur. Très peu de rousseurs, confinées dans les marges.On notera avec intérêt que les planches en chromotypographie ne sont pas tout à fait les mêmes que dans d'autres tirages, les couleurs sont en effet saturées et l'ensemble paraît en bichromie.

Edition originale sur papier courant.
Reliures en demi chagrin cerise, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés ornés de triples caissons dorés agrémentés de motifs floraux dorés, dates dorées en queues, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, têtes rouges, reliures de l'époque.
Petites rousseurs éparses.

Edition originale, illustrée de 201 hors-texte et 120 vignettes par Grandville.
Reliure de l'éditeur en demi chagrin bleu nuit à coins. Dos lisses historiés ornés d'animaux dorés : papillons et scarabées déroulant un phylactère contenant le titre, tortues anthropomorphes au bonnet de nuit et à la pipe et têtes d'oiseaux fantastiques. Plats soulignés de filets dorés. Toutes tranches dorées.
Quelques traces de restauration principalement sur le dos du second tome, et coins très légèrement émoussés.
Quelques rousseurs et contreplats un peu ombrés, sinon intérieur très agréable.
On ne présente plus cette publication célèbre, une des grandes oeuvres d'imagination de Grandville, pleine de verve et de fantaisie, dont l'entreprise est dû à Hetzel, qui sous le pseudonyme de Stahl a signé plusieurs textes, et qui a commandé des textes à Balzac, Musset, Sand, La Bedollière... Celui-ci, devant le succès, réitèrera l'expérience dans le monde des humains avec Le diable à Paris en 1845.

Ouvrage illustré hors-texte de 212 gravures sur bois de Gavarni, à l'exception des 4 dernières qui sont de Bertall, ainsi que de 800 vignettes in texte. Exemplaire de premier tirage. On notera l'étonnante diversité typographique en matière d'illustration (encadrements de texte, cul-de-lampe...). Les bois de Gavarni légendés et satiriques constituent une incroyable profusion illustrative, comme une précoce bande dessinée.
Reliures en demi-basane brune. Dos lisse ornés de filets dorés et d'une dentelle dorée à la cathédrale en queue. Plats de papier et coins frottés, deux coins du second tome très légèrement pliés. Reliure strictement de l'époque.Quelques très rares et pâles rousseurs.Livre extraordinaire et typiquement romantique, le Diable à Paris réunit des textes à la signature prestigieuse (la philosophie de la vie conjugale de Balzac ; Mimi Pinson de Musset...) et les dote d'une illustration abondante.
Ce type de livre fait suite au succès énorme que rencontra les Physiologies et qui croque des caractères parisiens au moral et au physique. Le premier tome est précédé d'une histoire de Paris par Lavallée et le second d'une géographie de Paris (en fin de volume Statistiques de Paris). Ce tableau de la capitale est des plus intéressants car il précède les grands bouleversements que va connaître Paris sous le second empire.

Edition ornée de 95 illustrations de Benett, ainsi que de 12 gravures en chromotypographie et de 2 cartes en couleurs.
Cartonnage éditeur Hetzel "au portrait collé" en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze représentant divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux), un portrait de l'auteur dans les tons sépias contrecollé au centre, divers instruments de navigation rehaussés à l'or au premier plan, second plat de type "e" comme indiqué par Jauzac, dos orné de plusieurs illustrations en couleur et à l'or, pages de garde bleues d'origines, toutes tranches dorées.
L'exemplaire est légèrement gauchi et frotté par endroits ; son dos est très légèrement insolé ; quelques petites taches sur le second plat. Nombreuses mais pâles rousseurs.

Edition originale, illustrée de 201 hors-texte et 120 vignettes par Grandville.Demi Maroquin à larges grains écrasés bleu nuit à coins fin XIXe. Dos lisse orné d'un encadrement floral évoquant les débuts de l'art Nouveau, mosaïqué d'une grenouille fauve pour le premier volume et d'un scarabée pour le second. 2 coins à chaque volume légerement dénudés. Petite tâche en coiffe du tome II, relativement invisible. Le papier sur les plats a été changé. Très bel exemplaire, d'une parfaite fraîcheur.On ne présente plus cette publication célèbre, une des grandes oeuvres d'imagination de Grandville, pleine de verve et de fantaisie, dont l'entreprise est dû à Hetzel, qui sous le pseudonyme de Stahl a signé plusieurs textes, et qui a commandé des textes à Balzac, Musset, Sand, La bedollière... Celui-ci, devant le succès, réitèrera l'expérience dans le monde des humains avec Le diable à Paris en 1845.

Edition originale sur papier courant.
Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs comportant de très légères traces de frottements, date en queue, encadrement de filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée de Champs.
Bel exemplaire agréablement établi.

Edition originale sur papier courant de ce long poème de Victor Hugo.
Reliure à la bradel en demi percaline olive, dos lisse, pièce de titre de chagrin rouge, plats de papier marbré, reliure de l'époque.
Ex-libris et étiquette de rangement de bibliothèque encollés au verso du premier plat de reliure.
Quelques petites rousseurs.

Edition originale, un des 5 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête avec 5 Chine et 5 Whatman.
Reliure en demi maroquin marine à coins, dos à cinq nerfs sertis de frises dorées orné de doubles filets dorés et de frises florales dorées ainsi que de motifs décoratifs à froid, date en queue, encadrement de filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée, élégante reliure pastiche romantique.
Bel exemplaire à toutes marges et agréablement établi.

Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête après 5 Chine et 5 Whatman.
Reliure en demi maroquin marine à coins, dos à cinq nerfs sertis de frises dorées orné de doubles filets dorés et de frises florales dorées ainsi que de motifs décoratifs à froid, date en queue, encadrement de filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée, élégante reliure pastiche romantique.
Bel exemplaire à toutes marges et agréablement établi.

Edition originale illustrée. Ce titre ne connaîtra qu'une seule seconde édition en 1905 (cartonnage à un éléphant). Soixante huit illustrations par Georges Roux en noir et blanc et 12 chromotypographies en hors-texte, et deux cartes.
Cartonnage d'éditeur "Au globe doré". Plaque signée Blancheland, relié par Engel. Dos au phare. Second plat de type Engel h. Coins légèrement pliés. Petites décolorations sur le plat inférieur. trait léger de stylo dans le cartouche. Belle plaque bien brillante. Malgré quelques défauts, bel exemplaire, sans rousseur. Deux ex-donos au stylo sur les gardes bleues.
Ce roman apporte une suite au 'Robinson Suisse' de Rudolph Wyss. Les voyageurs partis en Angleterre à la fin du roman de Wyss, sont abandonnés par des pirates sur une ile inconnue, qui se révèlera être leur point de départ, la Nouvelle Suisse. Jules Verne s'en explique dans sa préface, une des rares des Voyages extraordinaires.

Edition originale illustrée. Soixante et une illustrations par Georges ROUX, dont 20 grandes planches couleurs en chromotypographies, 35 vues photographiques des Etats-Unis d"Amérique (villes et paysages), une carte dépliante des Etats-Unis d"Amérique et celle du jeu de l'oie. Catalogue Hetzel pour 1899-1900 de 8p. en fin d'ouvrage. Ce titre ne connaîtra qu'une seule seconde édition en 1905 (cartonnage à un éléphant).
Cartonnage d'éditeur au globe doré, ou dit, à la mappemonde. Plaque signée Blancheland, reliée par Souze. Dos au phare. Dos légèrement passé. Petites salissures sur le plat inférieur. Quelques rares rousseurs. Belle plaque supérieur.
Ce volume des Voyages extraordinaires est un parcours et une aventure à travers les Etats-Unis. Le roman relance après une série de romans consacrés à la science fiction, l'aventure et la découverte.

Edition originale illustrée de 85 dessins par Benett et une carte du monde en fin d'ouvrage. Catalogue général in fine.
Cartonnage d'éditeur rouge et or aux deux éléphants à l'éventail, signée Souze et relié par Lenègre. Dos type D, second plat type n. Dos légèrement passé. Petite décoloration sur le second plat. Bon exemplaire.
Récit d'aventure se déroulant durant la guerre de Sécession aux Etats-Unis ; l'oeuvre marque un retour pour l'auteur à l'aventure après plusieurs romans de science fiction.

Ouvrage illustré hors-texte de 212 gravures sur bois de Gavarni, à l'exception des 4 dernières qui sont de Bertall, ainsi que de 800 vignettes in texte. Exemplaire de premier tirage. On notera l'étonnante diversité typographique en matière d'illustration (encadrements de texte, cul-de-lampe...). Les bois de Gavarni légendés et satiriques constituent une incroyable profusion illustrative, comme une précoce bande dessinée.
Cartonnage d'éditeur polychrome en pleine percaline bleue. Grande plaque polychrome sur les plats dans un médaillon. Exemplaire restauré, avec dos modernes, pastiches ; tranchefiles et gardes refaites également. Exemplaire très frais, papier bien blanc, avec quelques rares piqûres parfois en marge. Précieux dans cette condition, la restauration ayant permis de conserver le cartonnage de l'éditeur, très rare.
Livre extraordinaire et typiquement romantique, le Diable à Paris réunit des textes à la signature prestigieuse (la philosophie de la vie conjugale de Balzac ; Mimi Pinson de Musset...) et les dote d'une illustration abondante. Ce type de livre fait suite au succès énorme que rencontra les Physiologies et qui croque des caractères parisiens au moral et au physique. Le premier tome est précédé d'une histoire de Paris par Lavallée et le second d'une géographie de Paris (en fin de volume Statistiques de Paris). Ce tableau de la capitale est des plus intéressants car il précède les grands bouleversements que va connaître Paris sous le second empire.

Edition illustrée de 80 planches gravées.Reliure en demi chagrin aubergine, dos à quatre nerfs orné de filets à froid, traces de frottements sur le dos, coiffes frottées, plats de cartonnage noir ornés de motifs floraux estampés à froid, épidermures sur les plats, coins et tranches émoussés, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque.Quelques petites rousseurs.

Seconde édition.
Reliure en demi basane rouge, dos lisses ornés de filets dorés ; coins émoussés, coupes éraflées et épidermures ; reliure de l'époque.
Ouvrage illustré de 384 planches hors-texte illustrées de 768 caricatures, ainsi que de nombreuses vignettes in-texte de Gavarni, Grandville, Bertall, Cham, Dantan et Clerget.
Quelques rousseurs.
Le diable à Paris a été imaginé par Hetzel - P. J. Stahl - en 1845 afin de concurrencer Les Français peints par eux-mêmes de Léon Curmer. Dans le cadre de cette publication, il fait appel aux mêmes écrivains qui avaient assuré le succès de la Vie privée et publique des animaux quelques années auparavant.

Edition ornée de 44 dessins par Emile Bayard et A. de Neuville gravés par Hildibrand.
Cartonnage éditeur "au steamer" Hetzel en pleine percaline rouge signé Ch. Magnier et ses fils, premier plat polychrome signé Paul Souze représentant un navire et un ponton sur fond de carte géographique et une bannière contenant des attributs de navigation, ainsi qu'un médaillon comportant le nom de l'auteur et le titre, second plat de type C2 selon Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors bacchiques dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, toutes tranches dorées.
Quatre illustrations polychromes hors-texte reprenant des illustrations in-texte.
Un coin très légèrement émoussé et quelques épidermures.
Superbe exemplaire de ce cartonnage à l'intérieur très frais.
Rare dans cet état.

Edition ornée de 172 illustrations de Riou gravées par François Pannemaker.Cartonnage éditeur Hetzel en pleine percaline rouge signé A. Lenègre, premier plat polychrome signé Souze (type 7 d'après Jauzac) représentant un décor exotique peuplé d'animaux et de divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux) ainsi qu'une bannière bleue présentant l'auteur, le titre et l'éditeur de l'ouvrage, second plat de type "e1" comme indiqué par Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors floraux dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, coupes biseautées, toutes tranches dorées.Très légère décharge d'or en tête de la bannière.Superbe exemplaire de ce cartonnage fleur de coin et à l'intérieur très frais.Rare dans cet état.

Edition ornée de 117 illustrations de L. Benett et une carte.
Cartonnage éditeur à la bannière argentée en pleine percaline rouge signé A. Lenègre (type 6 selon Jauzac), premier plat polychrome signé Souze représentant un décor exotique peuplé d'animaux et de divers moyens de locomotion (ballon, locomotive, bateaux) ainsi qu'une bannière argentée présentant l'auteur, le titre et l'éditeur de l'ouvrage, second plat de type "e1" comme indiqué par Jauzac, dos à cinq caissons ornés de décors floraux dorés, pages de garde bleues d'origines, gouttières parfaites, coupes biseautées, toutes tranches dorées.
Superbe exemplaire de ce cartonnage fleur de coin et à l'intérieur très frais.
Rare dans cet état.

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste. Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Maurand sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Maurand sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste. Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Boetzel. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Hébert. Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Peau d'Âne de l'édition Hetzel de 1862. Quelques rousseurs en marges portant très légèrement atteinte à l'image, sinon belle gravure. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker.
Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration de Riquet à la Houppe de l'édition Hetzel de 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker.
Planche réalisée spécialement dans le cadre de l'illustration du Chat botté de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Brevière sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Fagnon sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker. Planche réalisée spécialement dans le cadre du frontispice de l'édition Hetzel de 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Deschamps sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Dumont sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pierdon sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pierdon sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Maurand sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Boetzel sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur. Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Héliodore Pisan sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862. Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin. Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis". Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon. Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration. Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) : "Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par Perrichon sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste et le graveur.
Composition réalisée par Gustave Doré et gravée par François Pannemaker sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Gravure sur bois de fil signée dans la planche par l'artiste.
Composition réalisée par Gustave Doré sur Vélin fort à la demande de l'éditeur Hetzel pour illustrer son édition in Folio des Contes de Perrault en 1862.
Quelques rousseurs en marges sans atteinte au dessin.
Ces illustrations des Contes sont considérées comme les plus réussies de ce texte : Gustave Doré en propose une vision dramatique sans précédent. Chez lui, tout concourt à la dramatisation du conte, depuis la mise en scène théâtrale du tableau jusqu'aux moindres détails qui génèrent un réalisme terrifiant grâce à la technique dite "du bois de teinte". Il utilise de l'encre de chine ou de la gouache, préalablement diluée comme le veut la technique du "lavis".
Pour les contes de Perrault, les onze meilleurs graveurs de l'époque ont été mis à contribution pour graver au burin les quarante planches de bois : Pannemaker, Pisan, Pierdon, Maurand, Boetzel, Brevière, Hébert, Deschamps, Dumont, Delduc et Fagnon.
Le travail de Gustave Doré dans le cadre de l'illustration des Contes est primordial ; il ne réduit pas la gravure à sa fonction ornementale mais la transforme en véritable objet de narration.
Ces illustrations sont les oeuvres les plus célèbres de Doré et reçurent immédiatement des critiques enthousiastes, notamment celle de Sainte-Beuve dans Les Nouveaux lundis (23 décembre 1861) :
"Un Perrault comme il n'y en eut jamais jusqu'ici et comme il ne s'en verra plus. (...) Je ne puis que dire que ces dessins me semblent fort beaux, d'un tour riche et opulent, qu'ils ont un caractère grandiose qui renouvelle l'aspect de ces humbles contes et leur rend de leur premier merveilleux antérieur à Perrault même."

Edition originale sur papier courant.
Reliures en demi chagrin maroquiné marron, dos légèrement éclaircis à cinq nerfs, initiales dorées en queues, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, coins émoussés, reliures modernes.
La page de faux-titre du tome 1 a été reliée après la page de titre, quelques rares rousseurs.

Edition originale sur papier courant.
Reliures en demi chagrin marine, dos à cinq nerfs ornés de fleurons dorés, dates dorées en queues, coiffes élimées et légèrement arasées, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches marbrées.
Exemplaire quasi exempt de toute rousseur.

Edition originale sur papier courant.
Reliures à la bradel en demi percaline sable, dos lisses ornés d'un fleuron doré, petites taches sans gravité sur les dos, initiales et doubles filets dorés en queues, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures restaurées conservées (un plat volant).
Quelques petites rousseurs sans gravité.

Edition originale sur papier courant.
Reliure en demi basane moutarde, dos à cinq nerfs orné de motifs floraux dorés comportant des traces de frottements, pièce de titre et nom de l'auteur de chagrin menthe manquants, une mouillure sur un mors, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Exemplaire quasi exempt de toute rousseur.