ANONYME

Nouvelle édition imprimée "sous le manteau de la cheminée pour les convives de C.C.", un des 100 exemplaires numérotés sur Madagascar, seuls grands papiers.
Envoi autographe signé de Gabriel Astruc au docteur L. Weill en dessous de la justification du tirage.
Agréable exemplaire malgré d'infimes pîqûres sans gravité en marges des plats partiellement et très légèrement ombrés.

Nouvelle édition. La première édition semble dater de 1762, le recueil ayant été plusieurs fois réédité.
Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné de 5 fleurons caissonés. Coiffes arrachées. Coins émoussés. Dos très frotté, ainsi que la pièce de titre. Pages de garde marbrées manquantes avant le titre et in fine. Dernier feuillet froissé avec déchirure marginale.
Suite du titre : "Contenant la maniere de preparer toutes sortes de viandes, de volailles, de gibier, de poissons, de legumes, de fruits, etc. La fason de faire toutes sortes de gelies, de pates, de pastilles, de gateaux, de tourtes, de pates, vermichel, macaronis, etc. Et de composer toutes sortes de liqueurs, de tarafias, de syrops, de glaces, de effences, etc. ouvrage egalement utile aux chefs d'office et de cuisine les plus habiles, et aux cuisinieres qui ne sont employees que pour des tables bourgeoises, on y a joint des observations medecinales qui font connoitre la proprieté de chaque aliment, relativement a la santé et qui indiquent les mets les plus convesnables a chaque temperament."

Edition imprimée à tout petit nombre, un des quelques exemplaires sur vergé de Rives.
Reliure en plein cartonnage façon vélin, dos lisse, titre calligraphié à la manière médiévale, plats décorés de lettrines et portées musicales à la façon des antiphonaires, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête rouge, ex-libris encollé en tête d'un contreplat, jolie reliure pastiche signée de Jarrigeon.
Quelques petites rousseurs sans gravité.
Rare et agréable exemplaire.

Nouvelle édition de la traduction française de cet opuscule rarissime attribué à Thomas A. Kempis publié à Bâle en 1493, un des 250 exemplaires sur Hollande, seul tirage avec 3 peau de vélin et 12 Chine.
Une tache sur le premier plat, dos légèrement défraîchi, agréable état intérieur.

Nouvelle édition en partie originale et imprimée sur vélin.
Reliure en demi basane marbrée, dos à cinq nerfs, pièce de titre de chagrin rouge, plats de papier marbré comportant des éraflures marginales, tête rouge.
Ouvrage illustré de 24 planches représentant les écritures de divers personnages célèbres, gravées d'après les originaux autographes.
La numérotation des planches relévant de la fantaisie : s'arrêtant à la trente-troisième et oublie quelques chiffres en route.
Notre édition est enrichie d'un essai sur l'art de juger les hommes sur leur style ; des écritures de Louis XVI, de la reine Parie-Antoinette et du Dauphin ; et d'un alphabet curieux des sourds-muets avec lequel on peut apprendre en quelques heures à converser avec eux.
Première page et dernière pages de texte ombrées et tachées, _une trace d'étiquette de titre qui a été arrachée sur un contreplat.
Rare.

Manuscrit de 353 pages calligraphié avec soin vers le début du XVIII^ème siècle. Il contient à la fin des éléments de change et de comptabilité.
 
Passionnant et amusant manuscrit qui reflète parfaitement l'étendue des connaissances dont pouvait bénéficier un prince sous le règne de Louis XV.
 
?Reliure de l'époque en plein maroquin rouge, filets dorés en encadrement sur les plats, fleurs de lys aux angles, armes dorées au centre, dos à nerfs orné de fleurs de lys, tranches dorées sur marbrures. Reliure aux armes de Louis-Henri de Bourbon-Condé (1692-1740), 7^ème prince de Condé, duc de Bourbon, duc d'Enghien et duc de Guise, pair de France, duc de Bellegarde et comte de Sancerre, il fut surintendant de l'éducation de Louis XV puis ministre du Roi, il se retira à Chantilly après sa disgrâce, où il rassembla son importante collection de livres scientifiques. Les armes portent la décoration de la Toison d'Or qu'il avait obtenue en 1724.
 
Très beau manuscrit établi dans une superbe reliure aux armes de Louis-Henri de Bourbon-Condé.

Manuscrit original de 325 pages paginées. L'ensemble semble avoir été manuscrit par plusieurs écritures, une première jusque la page 224, on distingue ensuite 2 écritures différentes, notamment pour les 20 pages de table ; ces dernières sont nettement moins soignées que la première. Page de titre à caractères gothiques.
Reliure en plein velin d'époque. Dos lisse avec titre à la plume noire. traces de lacets sur les plats. P. 72, 8 lignes biffées. Travaux de vers en marge haute sur les 40 premières pages, sans atteinte au texte.
Manuel contenant des recettes d'apothicairerie, pharmacie, cosmétique.

Nouvelle édition de la traduction française.
Reliure en demi veau caramel, dos lisse orné d'arabesques romantiques dorées, pièce de basane noire, traces de frottements fragilisant un mors, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées, reliure de l'époque.
Ouvrage illustré de gravures in et hors-texte.

Edition originale pour chacun des volumes.  
Reliure en demi basane marron, dos lisse orné de fleurons typographiques à froid et de guirlandes dorées, frottements sur les mors, plats de papier marbré orange, ex-libris encollé sur un contreplat.
Notre exemplaire est bien complet du portrait du maréchal Ney en frontispice du deuxième volume mais qui a été relié, ainsi que la page de titre du deuxième volume, en tête du premier volume.
Notre exemplaire est enrichi d'un calque au crayon de papier, relié en tête de la deuxième partie, reproduisant la disposition des pièces formant la chambre des Pairs dans laquelle s'est tenu le procès du maréchal Ney.
Il a été relié à la suite l'édition originale de "Le ministère et la France" de Narcisse-Achille Salvandy paru chez Baudouin en 1824.
Notre exemplaire du "Procès du maréchal Ney" ne comporte que les deux premières parties sur quatre.

Deuxième édition.
Reliure en basane havane, dos lisse orné de fleurons noirs ainsi que filets noirs et dorés, frises dorées en tête et en queue, pièce de titre de basane orange, un minuscule trou en tête du dos, plats de papier marbré, tranches mouchetées, reliure de l'époque.
Ouvrage illustré de 29 gravures dont 1 en frontispice.
Un petit manque de papier pages 97 et 98 avec atteinte au texte.
Agréable exemplaire.

Edition originale publiée anonymement.  
Reliure en demi chagrin marron chocolat, dos à cinq nerfs orné de fleurons typographiques et de doubles filets dorés, encadrement de filets à froid sur les plats de cartonnage marron, une tache de décoloration en pied du premier plat qui comporte également un petit accroc en tête, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Menus précédés d'une préface d'analogie passionnelle sur les malheurs de la France par Berte ainé.
Quelques petites rousseurs sans gravité.
Rare.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos éclairci à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, un coin légèrement émoussé.
Quelques rousseurs sans trop de gravité.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos éclairci à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, un coin légèrement émoussé.
Quelques rousseurs.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, un coin émoussé.
Quelques rousseurs.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos éclairci à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, un coin très légèrement émoussé.
Quelques rousseurs.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos éclairci à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Quelques petites rousseurs.

Edition originale parue dans la bibliothèque de poche sous l'égide d'une société de gens de lettres et d'érudits.
Reliure en demi chagrin vert à coins, dos à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de doubles caissons dorés richement décorés de motifs floraux dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve.
Quelques petites rousseurs.

Edition originale de cette amusante publication vantant la qualité et les mérites du vin de coca Mariani.
Illustrations d'Albert Robida, Henri Pille, Beyle, O'Bry...
Un petit manque en pied du dos, une étiquette de description de libraire encollée sur la page de faux-titre, agréable exemplaire.
Rare.

Plan général du Palais du Luxembourg, dessiné à la main, à l'encre et aquarelle sur papier replié et restauré, comportant la mention manuscrite « Il a été levé et cotté [sic] en 1768 ». Il est annoté des unités de mesures en toises et en pieds caractéristiques de l'Ancien Régime.
Ce plan témoigne des tracés originaux des jardiniers royaux du XVII^ème siècle, Jacques Boyceau (1560-1635) et André Le Nôtre (1613 -1700). Des plans ont été conservés jusqu'aux modifications de Jean-François Chalgrin (1739-1811) entreprises sous l'ère révolutionnaire et achevées en 1804, visant à rendre l'édifice conforme à l'établissement du Sénat. Un document au tracé similaire datant de la fin du XVII^ème siècle est conservé aux Archives Nationales (sous la cote O/11687/B pièce 732). Si l'on peut noter une certaine pérennité des plans originaux durant cette période intermédiaire jusqu'à la fin du XVIII^ème siècle, on remarque toutefois quelques différences dans la conception des parterres, ici assez précisément rapportées.

A la mort d'Henri IV, Marie de Médicis envisagea de quitter le Palais du Louvre qu'elle n'appréciait guère. En 1612, la Régente acquit l'Hôtel du duc de Piney-Luxembourg, environné d'un jardin de huit hectares. Ce dernier s'étendait à l'origine sur 300 mètres à peine devant l'édifice en raison du couvent des Chartreux qui obstruait la perspective sud. Il sera annexé à la suite de la nationalisation des biens du Clergé sous la Révolution. Les jardins seront agrandis au cours du XIX^ème siècle jusqu'à leur étendue actuelle. D'est en ouest, ils occupaient originellement plus d'un kilomètre, depuis l'actuel boulevard Saint-Michel jusqu'à l'actuel boulevard Raspail.
Durant les années 1612 et 1613, Jacques Boyceau, intendant des jardins du roi, entreprit dans un jeu de symétrie le tracé des parterres autour d'une fontaine centrale. Les plantations furent achevées en 1630 avant d'être reprises en 1635 par André Le Nôtre. L'ingénieur florentin Thomas Francine fut chargé de concevoir la terrasse à l'italienne à double déambulatoire. Ayant à cœur d'introduire dans cet élan le goût italien à la cour de France, Marie de Médicis confia la réfection du bâtiment à Salomon de Brosse qui s'inspira de l'ordonnance rustique du Palais Pitti. L'Hôtel du duc Piney-Luxembourg devint dès lors le « Petit-Luxembourg ».
Ce rare document manuscrit rehaussé en couleur, révélant la conservation du domaine dans son état du XVII^ème durant tout l'Ancien Régime, témoigne, à rebours, des prémices des jardins à la française. Jacques Boyceau fut en effet le premier à conceptualiser le style français dans son Traité du jardinage selon les raisons de la nature et de l'art publié en 1638. Divisé en trois livres, l'architecte jardinier y présente des théories et des idées pour la conception, la mise en œuvre et l'entretien des grands jardins aristocratiques. Le jardin du Luxembourg dans la conception de Boyceau, puis de Le Nôtre, fait ainsi état de l'excellence d'un art du jardin français qui s'épanouit sous les premiers Bourbons.   
à la mort de la reine en 1642, le palais et les jardins perdirent leur fonction royale et changèrent à maintes reprises de propriétaire jusqu'à leur retour aux mains des Bourbons, en 1778, où le comte de Provence, frère de Louis XVI et futur Louis XVIII, hérita du domaine.
 
Servant probablement de document de travail aux architectes jardiniers du XVIII^ème siècle pour l'entretien des parterres, le plan de ce jardin parisien à l'histoire des plus prestigieuses constitue l'un des derniers vestiges de son état originel, caractéristique de la naissance du genre français, avant ses grandes transformations.

Nouvelle édition de la traduction française.
Reliures en demi chagrin noir, dos légèrement éclairci à quatre nerfs sertis de filets dorés orné de caissons dorés décorés en angles de motifs floraux dorés, plats de papier marbré comportant quelques éraflures, gardes et contreplats de papier à la cuve, coins très légèrement émoussés sans gravité.
 

Edition illustrée de 12 planches en couleurs d'inspiration pornographique attibuées à Schem et imprimée à 99 exemplaires numérotés sur vélin.
Agréable et rare exemplaire.

Edition illustrée de 120 chromolithographies. Imprimé sur papier fort, sepentes beiges présentes. 60 pages, 2 chromos pas page.
Cartonnage d'éditeur turquoise décoré d'ors, rouges et gris, épée, lions, du type Art Nouveau écossais. Frottements coiffes et coins. Les serpentes seules, ont parfois des petites rousseurs, ainsi que les faux-titres. Une auréole plus sombre sur le plat supérieur et une sur le dos. Bon exemplaire cependant, à l'intérieur très frais
The Forth bridge (Frontispiece), The city of Edinburgh (12 chromo views), The city of Glasgow (12 chromo views), The scenery of the clyde (first series ans second series 24 chromoviews), the Trosachs and Loch Katrine (12 chromo views), Loch Lomond (12 chromo views), The West Highlands (12 chromo views), The Caledonian canal (12 chromo views), Perth to Bramar (12 chromo views).

Edition originale. Réunion de 4 ouvrages liés à la Maison de Saint Cyr. Un faux titre général reprend le titre de chacune des oeuvres, cependant nous donnons le détail car chaque texte possède sa page de titre à une date et parfois une adresse différente.
Regle de S. Augustin. A Paris, de l'imprimerie de Jacques Colombat. 1711.
L'esprit de l'Institut des filles de Saint Louis . A Paris, chez Jean Anisson. 1699.
Constitutions de la Maison de Saint Louis etablie a Saint Cir. A Paris, chez Jean Anisson. 1700.
Reglemens de la Maison de Saint Louis etablie a Saint Cir. A Paris, chez Jean Anisson. 1699.
Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs janséniste. Titre doré. Un manque en queue et au mors supérieur en tête. 2 coins émoussés. 
La maison royale de Saint Louis à Saint Cyr fut fondé par Louis XIV en 1684 mais l'artisan en fut réellement Madame de Maintenon. Avant d'être érigé en Maison de royale par Louis XIV, Madame de Maintenon s'occupait d'un lieu où on recueillait les jeunes filles issues de la noblesse pauvre. La Maison gouvernée à la fois par Madame de brinon et Madame de Maintenon, adopta peu après la règle de Saint Augustin, puis on établit la constitution et les règles de la vie à Saint Cyr, pour les jeunes filles qui n'étaient pas religieuses mais prononçaient des voeux et demeuraient dans les lieux jusqu'à vingt ans.

Edition originale.
Reliure en plein maroquin rouge à grains longs (cuir de Russie). Dos lisse orné d'une plaque en long à divers motifs géométriques. Plats frappés à froid d'un grand fer central. Plusieurs roulettes d'encadrement. Riche papier jaune et or sur les gardes. Tranches dorées. Un trou au dernier feuillet, avec salissures. Très bel exemplaire, qui plus est fort frais.
Almanach classique avec calendrier lunaire et solaire, les grandes administrations françaises, etc, et tout ce qui concerne les administrations publiques de Toulouse, de la Haute-Garonne et du Tarn, ainsi que les foires, marchés, etc.

Edition établie selon le texte de l'édition originale de 1486, réimprimée à 1000 exemplaires par les soins de D. Jouaust, le nôtre tirée sur vergé.
Ouvrage comportant une notice, des notes et un glossaire par Paul Lacroix.
Reliures en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, réhaussés de pointillés dorés, richement ornés de doubles caissons et fleurons dorés, lieu et date en queue, doubles filets dorés sur les plats, quelques coins légèrement émoussés, contreplats et gardes de papier à la cuve,  têtes dorées sur témoins,
Ouvrage comportant une notice, des notes et un glossaire par Paul Lacroix.
Notre exemplaire est bien complet des 10 figures gravées hors-texte de Jules Garnier.

Nouvelle édition. Impression à double colonne. Une planche dépliante contenant trois cartes, une du Pont-Euxin, une de Jérusalem et une de la terre sainte. Exemplaire entièrement réglé. Privilège de 1703.
Reliure d'époque en plein maroquin noir doublé de maroquin rouge, à la dentelle. Dos à nerfs orné de feuilles de laurier et d'un fleuron central.  Large dentelle d'encadrement sur les plats. Contreplats de maroquin rouge décorés d'une riche dentelle d'encadrement avec des armes vides au centre. Roulette sur les coupes. Tranches dorées. Fines restaurations quasi invisibles aux coiffes, mors et coins. Très bel exemplaire.
Edition de la Vulgate latine réalisée par Sixte V et autorisée par Clément VIII. Elle contient en outre une chronologie, un index géographique.
Une bande de papier comportant le nom Dessigeac, député, sur le contreplat.

Edition originale rare, illustrée d'une vignette et de 5 figures, le tout colorié à la main.
Cartonnage d'éditeur rose pâle, sous étui. Dos et plats décorés de plaques florales, d'encadrements et de frises en noir de type Restauration. Quelques rousseurs éparses. L'étui, beige foncé possède quelques frottements et légères décolorations. Bel exemplaire, rare en cette condition, malgré quelques défauts.
L'almanach est constitué de plusieurs types de textes : des poésies sur les gants, les chapeaux... La chambre des modes est comme une chambre des députés, mais dont le sujet est la mode, et qui contient plusieurs séances ; de courts textes sur la mode à Paris, robes de mousseline, de l'art de mettre sa cravate, le corset, la toilette de cour... Un rare ensemble satirique et humoristique sur la mode parisienne.

Nouvelle édition parue à 15 exemplaires, le nôtre, un des 5 exemplaires hors-commerce sur papier Van Gelder Zonen.
Reliure de l'époque en demi basane taupe à coins, dos à cinq nerfs orné de caissons, fleurons et pointillés dorés et d'incrustations de maroquin rouge, filet doré sur les plats de papier à la cuve, tête dorée sur témoins, couvertures et dos conservés, reliure signée Creuzevault.

Edition originale.
Reliure en demi chagrin marron, dos lisse orné de doubles caissons noirs, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées, reliure de l'époque.
Agréable exemplaire malgré de légères rousseurs.

Manuscrit original d'une belle écriture fort lisible de 146 pages (environ 18 lignes par page).
Reliure en plein veau fauve d'époque. Dos lisse orné de cinq fers à l'oiseau caissonnés. Pièce de titre en maroquin rouge. Plats largement épidermés. Mors supérieur fendu en queue sur 3cm. Bon exemplaire.
Manuscrit consacré à la mythologie gréco-romaine et composé de deux parties, la première sur les dieux et déesses (Jupiter, Junon...), la seconde sur les héros et demi-dieux (Persée, Thésée, Jason, Antigone, Œdipe...).

Nouvelle édition.
Reliure de l'époque en pleine basane racinée, double filet à froid en encadrement des plats, dos lisse orné à la grotesque, pièce de titre rouge, tranches mouchetées de rouge. Mors de tête du premier plat fendu sur cinq centimètres, sinon bel exemplaire.
Chef-d'oeuvre du théâtre comique médiéval, La Farce de maistre Pierre Pathelin fut publiée pour la première fois vers 1464-1465. Souvent considérée comme anonyme, cette œuvre est parfois attribuée à Guillaume Alexis, voire à François Villon. Les références au monde de la justice (procès, juge, avocat...) émaillant la pièce, certains avancent qu'elle a pu être écrite par un homme de justice. Mais, d'après Bruno Roy (Triboulet, Josseaume et Pathelin à la cour de René d'Anjou. Le Moyen Français, t.VII. Montréal, 1980), l'auteur le plus probable serait Triboulet, le bouffon de René d'Anjou.

Edition imprimée sur Japon et ornée d'illustrations originales in texte coloriées au pochoir de Robert Engels ainsi que d'ornements d'inspirations celtique en tête de chapitre.
Agréable exemplaire.

Edition illustrée de 12 hors-texte originaux en couleurs de Léon Carré.
Ouvrage également illustré de bandeaux, culs-de-lampe et de lettrines de Léon Carré.
Dos et premier plat légèrement et marginalemet insolés sans gravité, un infime manque en pied du dos, sinon bel exemplaire.

Nouvelle édition qui consiste en une réédition en fac-similé de la première et rarissime édition de ces poésies et facéties du XVIe siècle, un des 476 exemplaires numérotés sur vergé, seul tirage avec 4 parchemin et 20 Chine.
Reliure à la bradel en demi maroquin chocolat, dos lisse, date dorée en queue, couverture conservée, tête dorée.
Préface et glossaire d'Anatole de Montaiglon illustré de fac-similé des bois du Triumphe par Adam Pilinski.
Quelques petites rousseurs sans gravité.

Edition originale.
Reliure en plein velin souple d'époque. Dos lisse avec titre à la plume. Cahiers lâches. Bon exemplaire.

Manuscrit complet des Fables établi, sous Napoléon I^er, par un prisonnier dont l'identité n'est pas parvenue jusqu'à nous, interné à Pignerol (Piémont).
L'ensemble a été rédigé sur deux rouleaux de papier vergé fort constitués de multiples segments encollés les uns aux autres d'une longueur totale de 250 mètres (800 pieds) environ et de 3 centimètres de largeur.
Indication probablement postérieure au crayon à papier dévoilant la condition de l'auteur, le lieu et l'année de sa détention.
Belle écriture à l'encre noire sur deux lignes puis une, les titres sont rubriqués d'un quadrillage à l'encre rouge, nous retrouvons au verso une graduation manuscrite en pied d'ancien régime (32,48 cm).
La seule évidence est que le rédacteur était un homme très éduqué tant la graphie est soignée et régulière. Il avait accès à un papier et à un matériel d'écriture (plumes et encres noires et rouges) de grande qualité ce qui fait penser qu'il s'agissait d'un prisonnier important. Connaissait-il le texte par cœur ? Avait-il des livres personnels ou la possibilité d'en consulter dans une bibliothèque ? Était-il un prisonnier politique ? Était-il français ? Nous l'ignorons. Alors pourquoi le prisonnier a écrit ce texte sous cette forme étrange ? Peut-être a-t-il ainsi voulu, comme Sade, le dissimuler à ses geôliers dans les interstices d'un mur.
 
Très curieux manuscrit des célèbres Fables de La Fontaine qui nous ramène à la condition carcérale d'une personnalité emprisonnée sous le règne de Napoléon I^er

Troisième édition.
Reliure en demi vélin, dos lisse, titre inscrit à la plume et petite étiquette de titre encollée en tête du dos, plats de papier marbré, tranches rouges, modeste reliure de l'époque.
Ouvrage illustré de 29 gravures dont 1 en frontispice.
Quelques rousseurs.

Edition en partie originale et publiée anonymement, fausses mentions de septième édition sur les pages de titre des volumùes.
Reliures en demi chagrin cerise, dos à cinq nerfs ornés de doubles caissons dorés agrémentés de motifs décoratifs dorés, pointillés dorés en têtes et en queues, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, quelques accrocs sur les tranches, reliures de l'époque.
Rares rousseurs sans gravité.

Quatrième édition revue et augmentée, illustrée de gravures finement réhaussées à l'aquarelle. 
Reliure de basane fauve mouchetée, dos orné de motifs floraux dorés, pièce de titre de basane noire, double filet doré encadrant les plats, coupes filetées, tranches marbrées, reliure de l'époque. Légers frottement sur les mors et les coins, quelques rousseurs éparses, sinon illustrations d'une grande fraîcheur. 
Très bel exemplaire joliment réhaussé à l'aquarelle, dans sa reliure d'époque. Cadeau idéal pour les amoureux des fleurs.

Important ensemble de photographies stéréoscopiques d'une centaine de vues de villes et de paysages à travers le monde. 
Rare emboitage de l'éditeur en forme de livres. Un des mors de l'emboitage fendu, mais les photographies sont dans un excellent état de conservation. 
La stéréoscopie est une technique presque aussi ancienne que la photographie. Elle se pratiquait dès les années 1860 à l'aide d'appareils présentant deux objectifs. Ce système optique permettait de visionner les clichés et de leur donner une impression de relief.

Important ensemble de photographies stéréoscopiques d'une centaine de vue de villes et de paysages à travers le monde. 
Rare emboitage de l'éditeur en forme de livres. Un des mors de l'emboitage fendu, mais les photographies sont dans un excellent état de conservation. 
La stéréoscopie est une technique presque aussi ancienne que la photographie. Elle se pratiquait dès les années 1860 à l'aide d'appareils présentant deux objectifs. Ce système optique permettait de visionner les clichés et de leur donner une impression de relief.

Edition originale.
Reliure en demi basane marbrée caramel, dos passé à nerfs nerfs orné d'un fleuron central doré, date et double filet dorés en queue, traces de frottements sur le dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées (premier plat doublé et comportant des manques angulaires), tête dorée.
Rare.

Edition originale.
Pleine basane brune d'époque. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin fauve. Mors supérieur en partie fendu. Mors inférieur ouvert en queue. Coins émoussés, un coin dénudé. Manque le papier marbré sur la première page de garde et la dernière.
Le recueil des traités concerne presque exclusivement la France de Louis XIII et Louis XIV de 1621 à 1648. Quelques lettres émaillent les traités. ouvrage qui permet d'appréhender l'intense diplomatie d'une nation telle que la France pour maintenir la paix.

Album constitué de 14 photographies, légendées à la main en allemand, sous serpentes, représentant des scènes de tranchées, de pendaisons, d'avions accidentés, de villages détruits, de cadavres, de squelettes de combattants, etc.
Album de toile brodée et imprimée, maintenu par un cordon présentant deux perles en bois.
On y joint 4 cartes postales et une photographie d'avion.

Nouvelle édition, rare, illustrée de 20 figures, 18 par Bucaille (seules certaines sont signées) et deux truffées de Marillier sur papier fort, légendées et dans un encadrement (elles ont sûrement été tirées du Cabinet des fées, une des gravures portant l'indication : Tome 21). Réimpression de l'édition originale de 1723.
Reliure en plein veau blond glacé XVIIIeme, légèrement postérieur. Dos lisse orné. Pièce de titre en maroquin rouge, et de tomaison en maroquin beige. Triple filet d'encadrement sur les plats. Tranches dorées. Coiffes de tête des tomes II et III élimées, idem en queue du tome I. Charmant exemplaire.
Gueulette fut un très célèbre conteur, et à juste titre, on rangeait ses oeuvres aux côté des Mille et une nuit. Bien que cette écriture ait pour objet principal le divertissement, à l'instar de leur illustre modèle dont elle emprunte la forme : Les Mille et une nuits, l'oeuvre se targue d'un certain didactisme, notamment sur les tartares et leurs moeurs, en atteste les notes. La Tartarie était l'Asie centrale, occupée par des peuples turco-mongol, on y distinguait la Tartarie chinoise, la Tartarie russe, et la Tartarie indépendante. Le docteur Abukeler se doit de trouver un remède pour la cécité du roi, jusqu'à son retour le fils du docteur doit chaque jour raconter une histoire durant un quart d'heure au roi ou être tué.

Edition originale, rare. On trouve cette édition originale à différentes adresses, toujours à LondresDemi Parchemin à coins moderne etabli sur un cartonnage d,epoque. Etiquette de titre.Cet excellent roman est demeuré anonyme, mais il reste emblématique de la littérature de la fin du XVIIIe dont Les liaisons dangereuses de Laclos seront le couronnement. Une jeune fille de bonne famille, entraîné par l'amour et la fougue d'un jeune amant, se voit précipitée de vice en vice, jusqu'à devenir courtisane et profondément perfide ; l'ultime partie qui clot le récit rassemble des réflexions sur les moeurs et la façon de les corriger. L'ensemble forme des mémoires se signalant par leur caractére réaliste et véridique. On notera avec plaisir les qualités de style.

Edition illustrée de 14 burins originaux de Roger Vieillard, un des 32 exemplaires numérotés sur Montval, tirage de tête après 30 Hollande diversement enrichis. Les illustrations se composent ainsi : 1 frontispice, 1 vignette et 12 hors-texte.
Notre exemplaire ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage est bien complet de sa gravure en premier état.
Une claire et petite mouillure sans gravité en tête de l'étui.
Rare et agréable exemplaire.

Nouvelle édition de la traduction française.Annotations au crayon de papier par un ancien propriétaire sur les premières pages de l'ouvrage.Agréable exemplaire.

Quatrième édition de la traduction française.
Annotations au crayon de papier par un précédent propriétaire sur la première garde.

Réédition.
Ouvrage illustré de figures dans le texte.
Agréable exemplaire.

Edition originale sur papier courant.
Annotations au crayon de papier par un précédent propriétaire sur la première garde.
Une petite déchirure en tête du dos légèrement insolé et piqué.

Nouvelle édition.
Ouvrage orné d'illustrations in et hors-texte.
Annotations au crayon de papier par un précédent propriétaire sur la première garde.

Nouvelle édition.
Ouvrage illustré de figures hors-texte.
Rare et agréable exemplaire malgré un très léger accroc en tête du dos.

Nouvelle édition sur papier courant de la traduction française.
Agréable exemplaire.

Edition originale.
A propos également d'opium, de cocaïne, d'éther, d'herbes magiques, de pilules, de plantes narcotiques...
Un petit manque en pied du dos, deux petites taches en pied du premier plat, une claire mouillure marginale sur le deuxième plat, quelques petites rousseurs.
Rare.

Cinquième édition en partie originale car revue, corrigée et augmentée.
Reliure en pleine basane marbrée, dos lisse orné de frises et de fleurons dorés, un mors restauré et fragile, coiffes arasées, coins émoussés, liserés dorés sur les coupes, tranches marbrées, reliure de l'époque.
Ouvrage illustré de 5 gravures hors-texte.

Edition qui compte parmi les dernières publications sorties de l'imprimerie de Honoré de Balzac.Reliure en plein cartonnage noir, dos lisse, pièce de titre de basane havane comportant deux petits manques angulaires, un mors légèrement fendu puis recollé en tête, tranches rouges, modeste reliure de l'époque.Agréable état intérieur.

Edition originale imprimée à petit nombre.Ouvrage présenté dans son brochage d'origine et sans couverture.Petites déchirures marginales sans manque.Rare brochure.

Deuxième édition.
Dos éclairci comportant un petit manque en son milieu, agréable état intérieur
.Notre exemplaire a appartenu à Félix Labisse puisqu'il comporte cette annotation manuscrite au crayon de papier d'un lecteur en tête de la première garde : "à rendre à Félix Labisse"
Rare.

Edition originale imprimée sur vergé de ce tiré à part des Actes de la société d'ethnographie qui comporte ces trois textes.
Rare et agréable brochure.

Nouvelle édition.
Reliure en pleine basane marbrée, dos lisse orné de motifs décoratifs dorés, pièce de titre de maroquin rouge, coiffes supérieures arasées, un manque sur la coiffe inférieure, liserés dorés sur les coupes, coins et coupes émoussés, quelques épidermures sur les plats, reliure de l'époque.
Une garde salie, la suivante comportant une déchirure avec un infime manque en tête, sinon agréable état intérieur.

Edition originale.
Reliure en pleine basane marbrée fauve, dos lisse orné de frises dorées, pièce de titre de basane émeraude comportant de petits manques angulaires, un manque sur la coiffe supérieure, un mors fragile, traces de frottements sur les mors, un accroc sur une coupe, gardes et contreplats de papier à la cuvre, reliure de l'époque.
Rousseurs éparses.
Rare réunion de ces deux textes.

Nouvelle édition adaptée par A.L. Durdan et enrichie d'un commentaire de ce dernier.
Envoi autographe signé de A.L. Durdan.
Agréable et rare exemplaire.

Edition originale vendue au profit des enfants des salles d'asile de Dunkerque.
Petites déchirures avec manques angulaires sur les plats, agréable exemplaire.
Rare brochure.

Edition originale parue anonymement.
Reliure en demi basane bronze à petits coins, dos lisse orné de motifs typographiques dorés et de filets ondulés, dos et coiffes frottés, plats de papier marbré, coins et coupes émoussés, tranches marbrées, reliure de l'époque.
Rousseurs sur les gardes, ex-libris à la plume sur une garde, agréable état intérieur.

Nouvelle édition.
Plein veau blond moucheté de l'époque. Dos à cinq nerfs orné d'une pièce de titre de maroquin noir, de caissons et fleurons dorés. Toutes tranches mouchetées rouges. Coiffe de tête un peu accidentée. Petits manques au niveau de la pièce de titre. Quelques infimes travaux de vers.
Ex-libris de la bibliothèque du Marquis de Lespinay.

Edition de luxe imprimée à 3000 exemplaires numérotés, premier tirage des miniatures de Gradassi.
Reliures en plein cuir rouge, dos à cinq nerfs ornés de fleurons à froid et dorés, plats soulignés de multiples encadrements géométriques et floraux à chaud et à froid, têtes dorées, étuis bordés.
L'ouvrage est orné de très nombreuses miniatures et illustrations hors-texte en couleurs.
Très bel exemplaire consigné dans une très jolie reliure d'art.

Nouvelle édition, un des 500 exemplaires numérotés sur vergé teinté, tirage de tête.
Ouvrage illustré de 20 gravures.
A l'instar des exemplaires du tirage de tête, notre exemplaire est bien complet du double état des gravures.
Dos éclaircis, sinon agréable exemplaire.

Edition originale sur papier courant.Agréable exemplaire.

Manuscrit original établi au XVIIIe, sans date précisée, qui établit une copie des actes de l'évêché de Constance. Une écriture principale, et deux autres écritures plus parcellaires.Demi peau de truie janséniste. Plats de papier beige avec la lettre F. Dos en grande partie manquant avec deux caissons dépourvu de cuir. Ensemble frotté. Feuillet 147 et 148, une déchirure avec manque au bas de la page avec perte de trois lignes pour une page ; suivent 10 feuillets avec des déchirures et des restaurations ; il ne reste que des lambeaux des feuillets 166 et 167.L'évêché de Constance a été une principauté épiscopale au sein du Saint-empire Romain Germanique. L'évêché fut sécularisé en 1802, bien que l'histoire de la principauté s'avère compliquée, Charles Quint l'a plaça pendant un temps au ban de l'Empire. Ecriture à la plume brune, en allemand. Les plus anciens actes recopiés remontent au XIVe siècle et concernent ensuite le XVe et le XVIe siècle. On dénombre de nombreux legs, des héritages, des donations...

Premier tirage des gravures de A. F. Cosÿns (n°CLXIII).
Dos un peu insolé.
L'ouvrage est illustré de gravures in et hors-texte en noir.
Bon exemplaire.

Nouvelle édition, l'originale des deux parties ayant paru respectivement en 1704 et 1706.
Reliure en pleine basane brune glacée de l'époque. Dos à cinq nerfs orné d'une pièce de titre de maroquin rouge, de caissons et fleurons dorés, ainsi que d'une large dentelle dorée en queue. Roulette dorée sur les coupes et les coiffes. Toutes tranches mouchetées rouges. Coiffes arasées. Tranchefil de la coiffe de tête sectionné. Coins émoussés. Quelques pâles rousseurs.
Compilation d'anecdotes, des petits contes et apophtegmes, des réflexions d ordre morale, des maximes, type d'ouvrage à la lecture plaisante dont était friand le XVIIe siècle.

Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de la Maison du Belvédère au Vatican. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Gravure originale.
Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de l'entrée du Château de Marly, dans les Yvelines.
Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle.
Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Gravure originale.
Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue du Château de St Germain en Laye. Papier bleu.
Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle.
Les vues d'optique semblent apparaître dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Gravure originale.
Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant le château de Meudon ainsi que divers petits personnages.
Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle.
Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Gravure originale. Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant l'intérieur de Notre Dame de Paris. Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle. Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Gravure originale.
Vue d'optique rehaussée en couleurs à l'aquarelle, représentant une vue de la bibliothèque Sainte Geneviève.
Les vues d'optique, également appelées vues, perspectives ou encore "mondo nuovo", sont des gravures très en vogue entre la fin du XVIIIe et le début du XIXe siècle. Elles étaient destinées à être observées à travers un jeu de plusieurs miroirs ou par le moyen d'un Zygrascope, instrument constitué d'un miroir et d'une lentille. Les vues d'optique peuvent être considérées comme les précurseurs des images en trois dimensions et des stéréoscopes qui connurent un vif succès dès le XIXe siècle.
Les vues d'optique semblent apparaitre dans les années 1740 et sont des divertissements de salon. Le procédé s'est développé d'abord à Paris, puis Londres et enfin en Allemagne et s'attachait à représenter - de manière idéalisée - les plus célèbres panoramas et paysages d'Orient et d'Occident. Belle épreuve aux couleurs très fraîches.

Edition originale ornée, en frontispice, d'une petite figure représentant une allégorie de la "mytologie" d'après Gravelot gravée par Delongueil.
Reliure de l'époque en pleine basane blonde racinée. Dos lisse orné d'une pièce de titre de maroquin rouge, de caissons et dentelles grecques et de petits fleurons dorés. Plats soulignés de triples filets dorés en encadrement. Coupes et coiffes striées à l'or. Dentelle dorée en encadrement des contreplats. Toutes tranches dorées. Coiffe de queue élimée et quelques frottements.
Chaque page est consignée dans un fin encadrement.
Charmant petit dictionnaire à destination des enfants curieux de s'instruire sur la mythologie.

Reliure en plein maroquin rouge, dos lisse orné de caissons et fleurons dorés, plats ornés d'une guirlande dorée de motifs végétaux, d'abeilles et d'oiseaux, roulette dorée en encadrement des contreplats, coupes et coiffes soulignées d'une roulette dorée, toutes tranches dorées. Un coin émoussé et quelques traces de frottements sans gravité, sinon bel exemplaire.
L'ouvrage est illustré d'un frontispice de Scotin représentant une scène religieuse.
Une pâle mouillure portant atteinte à plusieurs pages. Quatre pages comportent des déchirures en bas, avec petit manque au texte.
Notre exemplaire présente plusieurs ex-libris.
Exemplaire élégamment établi dans une jolie reliure plein maroquin d'époque.

Edition originale ornée d'un portrait non-signé d'Eliçabide en frontispice.
Reliure en demi-basane noire, dos lisse orné de triples filets dorés, et plats de papier estampés d'arabesque à froid, toutes tranches mouchetées.
Mors du plat supérieur fendu sur toute la longueur, coins émoussés.
Nombreuses rousseurs.
Ouvrage relatant le procès d'Eliçabide, jugé pour l'infanticide de Joseph Anizat, enfant de sa maîtresse et de Napoléon-Louis Bonaparte.

Edition originale.
Reliure en plein veau glacé olive, dos bruni à cinq nerfs sertis de filets noirs et de doubles filets dorés orné de motifs typographiques à froid, frises dorées en tête et en queue, roulettes dorées sur les coiffes, mors légèrement frottés, un mors fendu en tête, encadrement d'un filet doré et d'une dentelle à froid sur les plats enrichis en leurs centres d'une mandorle estampée à froid et agrémentés de motifs floraux stylisés, pointillés dorés sur les coupes, trois coins émoussés, encadrement d'une frise florale dorée sur les gardes, gardes et contreplats de papier à la cuve, élégante reliure romantique de l'époque.
La vignette de titre à été découpée et remplacée par une petite gravure.
Ouvrage illustrée de 6 gravures hors-texte dont un frontispice.
Trois ex-libris encollés sur les gardes de la reliure; en outre notre exemplaire est enrichi de deux petites vignettes gravés et encollées en début (page de titre) et fin de volume.
Petites rousseurs éparses.

Affiche du Théâtre d'Orléans, Lundi 17 mars 1817 - pièce de théâtre : L'Attaque de la ferme de Cormain, ou les chauffeurs de Vitry-aux-Loges, précédé de Rendez-vous bourgeois, et de Blaise et Babet, ou la suite des trois fermiers.
Bois gravé et typographie sur papier vergé filigrané.

Affiche du Théâtre d'Orléans, Mardi 18 février 1817 - pièce de théâtre : CL'Enfant prodigue, suivi de Travestissemens ou le Narcisse de Claire-Fontaine, suivi d'un grand bal paré et masqué.
Bois gravé et typographie sur papier vergé filigrané.

Affiche du Théâtre d'Orléans, Lundi 7 octobre 1816 - pièce de théâtre : Andromaque, suivi de Crispin, rival de son maître.
Bois gravé et typographie sur papier vergé filigrané.

Affiche du Théâtre d'Orléans, Dimanche 15 septembre 1816 - pièce de théâtre : Le Philosophe marié, suivi des Jeux de l'amour et du hasard.
Bois gravé et typographie sur papier vergé filigrané.

Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche dans la planche ; la signature ne permet pas d'identifier l'artiste.
Gravure originale réalisée pour l'illustration de La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco.
Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications « s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes » (Françoise Tétart-Vittu « La Gazette du bon ton » in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium.
L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sœur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors « Art, modes et frivolités ». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef : « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » (« Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel » in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud.
À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes : André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée : Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette.
Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour.
La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas...
Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue.