Rare et agréable exemplaire.
Un des 100 exemplaires de la revue tirés sur papier Chine pour les numéros 1 à 11. Le numéro spécimen et le n°12 sont sur papier vélin. Notre exemplaire est complet du dos et des plats de la couverture générale, et des douze couvertures illustrées.
Edition originale de la collection complète de L'image, parue entre 1896 et 1897.
Tous les numéros de la revue sont réunis sous une chemise en demi basane à coins, dos à cinq nerfs titré à l'or, plats de papier à la cuve. Quelques frottements.
Rousseurs éparses et déchirures marginales.
Exemplaire complet de cette revue fondée par la jeune corporation française des graveurs sur bois, et publiée par l'éditeur des lithographies de Toulouse-Lautrec (Au pied du Sinaï, Histoires naturelles, Café-Concert).
Photographie originale sur papier albuminé, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. Quelques petites piqûres.
Rare exemplaire de cette photographie en pied, qu'on trouve seulement au Musée Carnavalet, musée du Louvre et musée d'Orsay.
Édition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur japon, seuls grands papiers.
Reliure en demi basane fauve à coins, dos à quatre nerfs sertis de frises dorées, motif typographique estampé à froid en milieu du dos qui s'estompe, nom de l'auteur et pièce de titre de maroquin de Russie rouge, un accroc restauré en tête du dos au niveau d'un mors, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures et dos conservés, un coin supérieur légèrement frotté, reliure de l'époque.
Ouvrage orné de 18 illustrations hors-texte, ici en double état à l'instar des exemplaire sur japon; illustrations dans le texte également.
Nouvelle édition après la première parue en 1768. Impression sur papier velin fort. Un frontispice, un titre gravé et 76 vignettes en en-tête gravées par Corbould et Dent.
Reliure anglaise en plein maroquin vert sapin à longs grains d'époque. Dos à faux nerfs plats très richement orné de 3 compositions décoratives complexes et de divers filets, roulette en queue et tête. Titres dorés. Pastille en queue de maroquin rouge portant un numéro de bibliothèque. Large frise à froid et doré d'encadrement sur les plats, séries de filets à froid et dorés. Tranches dorées. Traces de frottement. Un léger accroc en coiffe de tête. Plusieurs rayures sur les plats. Pâles rousseurs sur le frontispice et le titre sinon le reste parfaitement frais et exempt de rousseurs.
Très bel exemplaire.
Commentaire des oeuvres de Hogarth. Le sous-titre de l'édition parue en 1768 était rédigé ainsi : With an explanation, pointing out the many beauties that may have hitherto escaped notice; and a comment on their moral tendency. Calculated to improve the minds of youth, and, convey instruction, under the mask of entertainment. Now first published, with the approbation of Jane Hogarth, widow of the late Mr. Hogarth.
« La place qu'a occupée le texte dans l'œuvre de Malevitch est immense, à la fois à titre d'enseignement, à titre de réflexion personnelle sur la peinture et l'art en général, et à titre stratégique. (...) On y découvre le cheminement intellectuel de l'artiste et ce qui l'a conduit au suprématisme. Loin de n'être qu'une théorie esthétique, le suprématisme est une philosophie et un engagement politique, visant à la libération de l'individu. »
Edition originale de ce catalogue d'exposition s'étant tenue au 32, place Saint Georges en novembre-décembre 1903.
Reliure en demi maroquin marron chocolat à coins, dos lisse, plats de papier caillouté, gardes et contreplats de papier peigné, tête dorée, couvertures et dos conservés, reliure de l'époque signée de Lortic.
Sur un contreplat en fin de volume, a été encollé le carton d'invitation à l'exposition dessiné par Théophile-Alexandre Steinlen.
Préface d'Anatole France.
Bel exemplaire agréablement établi par Lortic, le fils du relieur de Charles Baudelaire.
Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur Japon, seuls grands papiers et comportant bien une double suite des gravures hors-texte.
Ouvrage illustré de 19 gravures hors-texte d'après Whistler par H. de J. W., Prunaire, Henry Wolf, H. Guérard, T. Beltrand, Thomas R. Way, Clot, ainsi que de nombreux dessins in-texte.
Reliure à la bradel en demi maroquin rouge à coins, dos lisse, date dorée en queue, plats, gardes et contreplats de papier marbré, une éraflure avec petit manque en tête du premier plat, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque signée Pouillet.
Bel exemplaire parfaitement établi.
Envoi autographe signé de Théodore Duret à Monsieur A. Jung.
Dessin original daté et signé de Louis Pons, à son ami le critique d'art Georges Raillard, spécialiste des oeuvres de Joan Miro et Antoni Tapies, et qu'il lui a dédicacé sur le carton d'invitation au vernissage de l'exposition de ses oeuvres au Château de Vascoeuil le samedi 29 Mars 2008.
Louis Pons a dessiné, à l'encre noire, au recto et au verso, un curieux volatile : une pie ramassée sur elle-même et apparemment convalescente surmontée de cette dédicace manuscrite : "Paris ? ? Mars 2008, j'espère que ta santé est meilleure. Amitiés de Nelly et Louis Pons."
Lettre autographe signée d'Antoni Tàpies adressée à Georges Raillard, son proche ami et plus grand spécialiste français de son travail. Feuillet rédigé au stylo à bille bleu sur un papier à en-tête au nom de l'auteur avec en queue son adresse à Barcelone "C. Zaragoza, 57 - Tel. 217 33 98 - Barcelona-6". Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre.
L'artiste catalan écrit à son ami à propos d'articles de journaux dont un qui a été publié dans le quotidien catalan l'Avui : "Voici l'article que tu m'as demandé. J'ajoute un de l'AVUI où j'amplifie quelques détails. Merci encore pour ta présence à Sénanque. Nous pensons beaucoup à vous et envoyons nos félicitations pour le petit-fils..."
Une exposition d'Antoni Tàpies avait été organisée à l'abbaye de Sénanque du 9 juillet au 29 août 1983.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement est divisé en bandeaux ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des heures de la Vierge entre la fin de l'office de none et le début des vêpres. Malgré l'antienne "Missus est", différente de l'usage classique du rituel romain, on retrouve à la suite le psaume huit habituel : "Dixit dominus...". Cette antienne se retrouve plutôt dans la liturgie du diocèse de Die, mais avec l'annonce de la rubrique précédant les vêpres, on peut supposer un usage mineur romain.
Ecriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle.
Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et losanges ornés de motifs floraux, de fruits et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés, bouts-de ligne et rubriques.
La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte.
On retrouve ici un fragment des suffrages qui contient quatres prières aux Saints : à St Jean-Baptiste, St Jean l'Evangéliste et deux autres "Pulchre salutationes ad xpm. videlicet in elevatione corporis ipsius" suivie de "Alia salutatio. Salue sancta caro dei..."
Écriture dite cursiva libraria sur des longues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période.
Edition originale.
Agréable exemplaire.
Ouvrage illustré de 34 planches hors-texte et de 14 figures dans le texte.