Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé de Gilles Plazy à France Huser.
Portrait photographique original du peintre Mai Trung Thu dit Mai-Thu, avec envoi autographe au verso accompagné de son emblématique monogramme au stylo coloré : "à l'abbé Guéniart en souvenir du séjour au S.U.J.A / Maï Thu / 14.6.57"
Dans ce superbe portrait, Mai-Thu est entouré de ses toiles sur soie - pas moins de sept, dont une ronde d'enfants à la composition très proche d'un chef-d'oeuvre de 1965 (vente Aguttes, 26 septembre 2023). On retrouve les grands thèmes qui ont fait la renommée du peintre de l'école d'Hanoï : femmes idéales, jeux d'enfants, cérémonie du thé... Chaque toile est de plus encadrée avec grand soin, souvent de la main même de Mai-Thu, infatigable perfectionniste.
Ayant contracté la tuberculose dans les années cinquante, le peintre a fait plusieurs cures dont une au Sanatorium Universitaire Jacques Arnaud (mentionné par son acronyme dans l'envoi autographe), où il rencontra le dédicataire de cet envoi autographe, le père René Quéniart.
Partition autographe signée et inédite de Camille Saint-Saëns. Deux pages de musique manuscrite pour voix seule et piano à l'encre noire sur un bifeuillet oblong à vingt portées, enrichies d'un envoi autographe signé de Saint-Saëns sur la première page, avec sa signature et date autographe ("nov. 1870") à nouveau sur la seconde page.
Trace de pli vertical, avec une minuscule déchirure le long du pli, une petite déchirure marginale sur 1 cm de la première page, sans atteinte au manuscrit.
Exceptionnel manuscrit autographe d'une mélodie persane inédite pour voix et piano, composée par Camille Saint-Saëns pendant le siège de Paris en novembre 1870, enrichie d'un envoi signé : « A Geneviève Bréton / Hommage de respectueux dévouement », signé et daté sur la deuxième page « Nov 1870 C. Saint Saëns ».
Les paroles de l'oeuvre sont directement inspirées par sa dédicataire, la fiancée du peintre et ténor Henri Regnault, « le plus musicien de tous les peintres » (cf. Saint-Saëns, Ecole buissonnière) qui fut le premier interprète de plusieurs autres Mélodies persanes.
Manuscrit autographe signé d'André Breton, rédigé à l'encre noire sur deux feuillets de papier vert.
Pli horizontal à chaque feuillet, pagination au crayon rouge sur le 2e feuillet. Publié dans la revue Art, 1955.
Edition originale.
Reliure de l'éditeur en pleine toile noire, dos lisse, agréable état exemplaire complet de sa jaquette illustrée.
Riche iconographie.
Texte de Manthia Diawara.
Envoi autographe signé de David Rosenthal à un homme prénommé Jean.