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Gallimard

Gallimard

Fondées en 1911 par Gaston Gallimard, André Gide et Jean Schlumberger, les Editions de la Nouvelle revue française prirent en juillet 1919 le nom de Librairie Gallimard.

Langues d'expression

Français

Pays

France

Naissance

1911

Variantes de noms

Bibliothèque de La Pléiade (Collection)
Collection Métamorphoses (Collection)
Editions de la Nouvelle Revue Française (Ancien nom)
Editions de la nouvelle revue (Autre)
Editions de la revue (Autre)
Galerie de La Pléiade (Collection)
La Nouvelle Nrf (Revue)
La Nouvelle Revue Française (Revue)
Librairie Gallimard
Librairie de La revue française (Autre)
NRF
Nouvelle Revue Française (Autre)
Nouvelle librairie française (Autre)
Nrf (Autre)
Éditions Gallimard
Éditions de la Nouvelle revue francaise
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9690 résultats
  14. Emmanuel Berl interrogatoire suivi de Il fait beau, allons au cimetière
    Patrick MODIANO
    Emmanuel Berl interrogatoire suivi de Il fait beau, allons au cimetière
    Gallimard|Paris 1976|15 x 22 cm|broché
    Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Patrick Modiano à l'écrivain et journaliste Jean-Claude (Lamy) : "... avec toute ma fidèle amitié et en attendant le "dossier" de Julliard. Patrick".
    Dos légèrement insolé, traces de pliures sans gravité sur le premier plat.
    Vendu
  47. L'oeuvre au noir
    Marguerite YOURCENAR
    L'oeuvre au noir
    Gallimard|Paris 1968|14 x 20.50 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Très bel envoi autographe signé de Marguerite Yourcenar à Mary Storer : "... en hommage amical / Non fatae sed fata. / Marguerite Yourcenar" à qui elle présente ses excuses en ces termes : "... (excusez cet ex. auquel manque un de ses faux-titres, mais je n'ai pas encore reçu un lot d'exemplaires de la 2e édition, et de la 1ère, il ne reste que celui-ci. 12 Sept. 1968. Je voudrais qu'il vous parvienne à Beloit, et décide donc de vous l'envoyer) ..."
    En outre, notre exemplaire comporte une quinzaine de corrections autographes de Marguerite Yourcenar en marges de certaines pages, dont les plus importantes sont portées à la page 132.
    Agréable et exceptionnel exemplaire.
    Vendu
  50. Entretiens avec Francis Crémieux
    Louis ARAGON
    Entretiens avec Francis Crémieux
    Gallimard|Paris 1964|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Précieux envoi autographe signé de Louis Aragon au grand résistant Emmanuel d'Astier de La Vigerie et à sa femme Liouba enrichi d'un bel envoi autographe signé de Francis Crémieux adressé à un autre couple d'ami : "... qui fut un extraordinaire mémorialiste oral à mon micro comme vous vous en apercevrez en écoutant France Culture à 19h 35 entre le 8 Juin et le 7 Juillet".
    Dos insolé, exemplaire complet de son prière d'insérer.
    Vendu
  57. Les loups
    Guy MAZELINE
    Les loups
    Gallimard|Paris 1932|14 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Guy Mazeline à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Un mors fendu en pied, rousseurs sur les plats.
    Vendu
  58. Les coeurs purs
    Joseph KESSEL
    Les coeurs purs
    Nrf|Paris 1927|12 x 19 cm|broché
    Edition originale collective, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Joseph Kessel à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos bruni.
    Vendu
  59. La fin de l'éternel
    Julien BENDA
    La fin de l'éternel
    Nrf|Paris 1929|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Julien Benda à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos bruni.
    Vendu
  60. L'annonce faite à Marie
    Paul CLAUDEL
    L'annonce faite à Marie
    Nrf|Paris 1923|11.50 x 18.50 cm|relié
    Nouvelle édition sur papier courant.
    Reliure en demi cartonnage vieux rose à coins et façon serpent, dos à cinq nerfs orné de fleurs de lys stylisées estampées à froid, un mors légèrement frotté, plats de papier à motifs floraux, gardes et contreplats de papier à effet moiré, couvertures et dos conservés, charmante reliure décorative de l'époque.
    Envoi autographe signé de Paul Claudel à Robert Garric : "... son ami qui voudrait être son collaborateur..."
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Vendu
  61. Où le coeur se partage
    Marcel ARLAND
    Où le coeur se partage
    Nrf|Paris 1927|10.50 x 16.50 cm|broché
    Première édition Nrf imprimée à 615 exemplaires numérotés sur alfa.
    Envoi autographe signé de Marcel Arland à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos insolé, piqûres sur les plats, quelques petites rousseurs.
    Vendu
  62. Cinq grandes odes suivies d'Un processionnal pour saluer le siècle nouveau
    Paul CLAUDEL
    Cinq grandes odes suivies d'Un processionnal pour saluer le siècle nouveau
    Nrf|Paris 1919|13 x 19.50 cm|broché
    Edition originale sur papier courant, fausse mention de cinquième édition.
    Envoi autographe signé de Paul Claudel à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos insolé, une petite déchirure marginale sur la première garde.
    Vendu
  63. Le survivant
    Jules SUPERVIELLE
    Le survivant
    Nrf|Paris 1928|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Jules Supervielle à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos légèrement bruni.
    Vendu
  64. Les montagnards, chronique paysanne de la Grande Guerre (Mars 1916)
    Henri POURRAT
    Les montagnards, chronique paysanne de la Grande Guerre (Mars 1916)
    Gallimard|Paris 1919|14 x 19.50 cm|broché
    Edition originale parue chez Payot et sous couverture et étiquette de remise en vente chez Gallimard, il n'est pas fait mention de grands papiers.
    Bel envoi autographe signé de Henri Pourrat à son ami auvergnat Robert Garric : "... qui est de Haute et Basse Auvergne, cette chanson de notre montagne dans la guerre, avec mes sentiments bien vifs. / Henri Pourrat. / 27-9-1926. Je ne trouve pas ici les Jardins sauvages. La Nrf va vous les envoyer. Et merci de tout coeur."
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos et plats marginalement et légèrement brunis, trois petites taches claires sur le premier plat, quelques petites rousseurs.
    Vendu
  65. Au delà du nationalisme
    Thierry MAULNIER
    Au delà du nationalisme
    Nrf|Paris 1938|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Thierry Maulnier à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Taches sur le dos, exemplaire complet de son prière d'insérer.
    Vendu
  66. Opales
    Marcel JOUHANDEAU
    Opales
    Nrf|Paris 1928|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Marcel Jouhandeau à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos légèrement insolé sans gravité
    Vendu
  67. Mort de la morale bourgeoise
    Emmanuel BERL
    Mort de la morale bourgeoise
    Nrf|Paris 1929|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé d'Emmanuel Berl à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Dos insolé et taché, papier jauni.
    Vendu
  68. Le ciel et l'oiseleur
    Lucien FABRE
    Le ciel et l'oiseleur
    Gallimard|Paris 1934|11 x 16.50 cm|broché
    Edition originale imprimée à 1150 exemplaires numérotés sur alfalin.
    Bel envoi autographe signé de Lucien Fabre à Robert Garric : "... ces feuillets anxieux sur l'homme de la sérénité."
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Quelques petites rousseurs sans gravité.
    Vendu
  69. Présence de Virgile
    Robert BRASILLACH
    Présence de Virgile
    Librairie de La revue française|Paris 1931|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Envoi autographe signé de Robert Brasillach à Robert Garric.
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Trois manques sur le dos qui comporte également de claires mouillures, papier jauni comme généralement.
    Vendu
  70. Vent de Mars
    Henri POURRAT
    Vent de Mars
    Gallimard|Paris 1941|12 x 19 cm|broché
    Nouvelle édition postérieure de quelques mois à l'originale.
    Envoi autographe daté et signé de Henri Pourrat à Robert Garric : "... ce livre de la France et de l'amitié - et y-a-t-il un Français qui mérite mieux que lui (répété deux fois) en fasse hommage son "pays", son ami..."
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Une déchirure recollée en tête du premier plat, légères piqûres marginales sur les plats.
    Vendu
  71. La ligne verte
    Henri POURRAT
    La ligne verte
    Nrf|Paris 1929|12 x 19 cm|broché
    Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
    Bel envoi autographe daté et signé de Henri Pourrat à Robert Garric : "... que ce petit livre vous apporte avec toute mon amitié, mes biens joyeuses félicitations pour le prix si mérité qui s'honore en allant à vous. A Belleville vous êtes vous aussi sur la ligne verte, celle du peuple, de la santé chrétienne, de la grande nature : je serais d'autant plus heureux que ce livre se fît de vous ami..."
    Catholique réformiste, il fut le fondateur des « Équipes sociales » en 1920, qui visaient à constituer une élite sociale et à apporter la bonne parole sur la confraternité née des tranchées aux ouvriers, dans la tradition des patronages. Simone de Beauvoir, alors élève de Robert Garric en philosophie à l'Institut Sainte-Marie de Neuilly, se souvient de lui dans ses "Mémoires d'une jeune fille rangée" : « Garric parut ; j'oubliai tout le reste et moi-même ; l'autorité de sa voix me subjugua. À vingt ans, nous expliqua-t-il, il avait découvert dans les tranchées les joies d'une camaraderie qui supprimait les barrières sociales. [...] Nier toutes les limites et toutes les séparations, sortir de ma classe, sortir de ma peau : ce mot d'ordre m'électrisa. [...] Il faut que ma vie serve ! Il faut que dans ma vie tout serve ! »
    Piqûres sur le dos, les plats et certains feuillets.
    Vendu
Œuvres par page