Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'André Suarès à Georges Le Cardonnel : "... qui doit tout lire & n'en pense pas moins..."
1547
1616
Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'André Suarès à Georges Le Cardonnel : "... qui doit tout lire & n'en pense pas moins..."
Edition originale de la traduction, par F. de Brotonne, conservateur adjoint de la bibiothèque Sainte Geneviève, d'après toutes les traductions anciennes comparées. L'ouvrage a été enrichi de la collection de 10 vignettes par Charlet, avec sa couverture sur papier rose conservée, avec une vignette, à la date de 1831 ; le recueil contient également un portrait de Cervantes.
Reliure en demi maroquin à coins lie-de-vin à grains longs signée en haut de la première page de garde S. David, à la fin du XIXe. Dos à 4 nerfs orné de fers complexes et criblés puis caissonés. Roulettes sur les nerfs. Double filet de séparation sur les plats et aux coins. Traces de frottement sur certains nerfs et aux mors et coins. Un coin un peu replié. Quelques piqûres dans un ensemble frais.
Couvertures conservées, ainsi que les dos. Reliure établie sur brochure au papier non rogné.
Très bel exemplaire.
Edition originale de la traduction française établie par Dominique Aubier imprimée à 150 exemplaires numérotés sur vélin de rives, le nôtre un des 30 à comporter l'estampe originale numérotés et signée par Louis Chavignier.
Notre exemplaire est l'un des 10 exemplaires exceptionnellement enrichi d'une suite sur chine appliqué de l'eau-forte d'Alberto Giacometti et des 14 burins de Louis Chavignier.
L'ouvrage est illustré d'une eau originale en frontispice par Alberto Giacometti ainsi que de 14 burins originaux hors-texte du sculpteur Louis Chavignier.
Bel et rare exemplaire.
Nous joignons le compte-rendu de l'assemblée générale du 16 mai 1962 de l'association bibliophilique des Impénitents imprimé sur rives.
Enfin, nous joignons aussi le prospectus publicitaire illustré d'un burin original de Louis Chavignier qu'il a justifié et signé annonçant la parution prochaine de cet ouvrage.
Légères rousseurs sans gravité affectant un feuillet du dernier cahier.
Rare et bel exemplaire.
Nouvelle édition, en partie originale car augmentée de trois nouvelles et de la vie de l'auteur (déjà parue en 1744 ; avant cette date, les éditions ne comprenaient que 10 nouvelles).
Le faux-titre du second volume porte l'intitulé Oeuvres diverses, ces deux volumes, bien que vendus à part, pouvaient se placer après le Don Quichotte en 6 volumes. Le titre original des Nouvelles exemplaires a été utilisé en même temps dans d'autres éditions.
Traduction par l'abbé Martin de Chassonville. Elle est illustrée d'un portrait de l'auteur gravé par Gentot d'après Kent, et de 13 planches, dont 12 gravées par Avéline d'après Folkéma, et une par Daudel. Les gravures sont jolies et plaisantes, avec des intérieurs typiques (pharmacie, hôpital...).
Reliures en plein veau marbré, dos lisses ornés de fleurons dorés, roulettes dorées en queues, pièces de titre en maroquin grenat, pièces de tomaison en maroquin marron, triples filets d'encadrement de filets dorés sur les plats enrichis de fleurons dorés angulaires, dentelles dorées sur les contreplats, toutes tranches dorées, un coin émoussé, quelques frottements sur les mors et les plats, reliure de l'époque.
Nouvelle édition illustrée de 52 figures non signées dont 6 frontispices. Le tome V est une continuation de l'histoire de Don Quichotte, du traducteur Filleau de Saint Martin. Le tome VI est de l'auteur Robert Challes. Les pages de titre indiquent erronément 58 figures.
Reliure en pleine basane brune d'époque. Dos à nerf ornés de 4 fleurons caissonnés. Pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge. Un petit manque en tête du tome I, petits manques au mors en tête. Au tome II, coiffe de tête arrachée et coiffe de queue en partie manquante, des manques sur le plat inférieur. Tome III, coiffe de tête arasée. Tome IV, manque en queue. Tome V, manque en tête. Tome VI, coiffe de tête arasée. 6 coins émoussés. Malgré les défauts bon ensemble homogène. Papier frais dans l'ensemble, parfois des brunissures en encadrement des pages de titre et certains feuillets plus jaunis.
C'est à la fin du XVIIe que l'éditeur Claude Barbin demanda à Filleau de saint-Martin une nouvelle traduction de Don Quichotte car la première de Oudin était devenue obsolète, archaïsante et trop littérale. La traduction de Filleau de Saint-Martin fut d'ailleurs la seule à faire autorité jusqu'aux traductions du XIXe siècle. Il est nécessaire de savoir que le traducteur changea la fin de Don Quichotte en choisissant de ne pas faire mourir son héros, ce qui lui permis d'écrire une suite à ses aventures, comme elle le permit également à Robert Challes ; cette édition composant une appropriation française de l'oeuvre de Cervantes et un témoignage important de la réception de Don Quichotte en France. Par ailleurs, Cervantes choisit lui-même de faire mourir son héro pour ne pas avoir de suiveur, ce qu'il obtint malgré lui avec la première partie de Don Quichotte...
Ex-libris aux armes du Marquis de Saporta, célèbre botaniste mort en 1895.