Nouvelle Librairie A. Soirat

Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers, le premier plat de couverture porte bien la date de 1887, mention de deuxième mille.
Reliure en demi basane bleu marine, dos lisse orné d'un fleuron doré, double filet doré en queue, petites traces de frottements sur le dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, conservées, reliure de l'époque signée de J. Hess relieur à Genève en pied de la dernière garde.
Exemplaire légèrement rogné, quelques accrocs sur les tranches inférieures.

Edition originale à la date de 1886 sur la page de titre et de 1887 sur le premier plat.
Dos insolé comportant de légers manques en tête et en pied, taches marginales sur le second plat.

Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers, le premier plat de couverture porte bien la date de 1887.
Reliure à la bradel en demi percaline orange, dos lisse orné d'un fleuron doré, double filet et date en queue, pièce de titre de maroquin noir, couvertures conservées, reliure de l'époque.
Précieux envoi autographe signé de l'auteur à Zephyr Leredu.
Rare exemplaire du premier livre de Léon Bloy enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur.

Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers, le premier plat de couverture porte bien la date de 1887.Reliure en plein maroquin cerise, dos à cinq nerfs, date en queue, filet doré sur les coupes, roulette dorée sur les coiffes, contreplats doublés de maroquin cerise avec un filet doré en encadrement, gardes de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, toutes tranches dorées, reliure signée David.Notre exemplaire est enrichi d'une importante lettre autographe signée de deux pages de l'auteur, datée 1909 et sans doute adressée à l'abbé Henri Lebel dont Mme de Boyat est une amie. Cette lettre mentionne notamment la parution de L'Invendable et du Sang du pauvre, ses difficultés financières et ses rapports difficiles avec ses éditeurs ("... Ce gros homme est passé de l'enthousiasme et des sanglots d'amour à l'hostilité. C'est une des choses les plus extraordinaires que j'aie vues") et se conclut par : "mais ma destinée c'est de souffrir".Très bel exemplaire du premier roman de Léon Bloy, parfaitement établi dans une pleine reliure de David.