Nicolas de L'ARMESSIN
Les augustes répresentations de tous les roys de France depuis Pharamond, jusqu'à Louys XIIII, dit le Grand
Chez N. de L'armesin|à Paris 1688|20.50 x 30 cm|relié
Nouvelle édition. Réimpression chez le même éditeur et auteur de l'originale parue en 1679. Elles est illustrée d'un titre gravé et de 64 planches à l'eau forte et au burin : portraits de rois en médaillon, les armes en dessous et un abrégé historique gravé.
Reliure à la bradel en plein papier, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge, reliure moderne.
4 trous de vers en marge basse, devenant galerie à la planche 12, avec perte d'une lettre sur quelques planches ; ensuite 5 trous de vers en marge basse, puis 4, puis 2, puis une courte galerie de moins d'un cm sur les dernières planches. Le titre porte une tache brune et des salissures en marges basses, ces salissures se retrouvent sur de nombreuses planches au coin bas.
Nicolas de l'Armessin travaillait comme graveur d'estampes chez Pierre Bertrand, auquel il succèdera en 1679, c'est pourquoi certains exemplaires, notamment la première sont à l'adresse de la veuve Bertrand. Il réalisait pour bertrand des portraits et des emblèmes pour des livres à caractère symbolique, et des almanach royaux, sa plus grande oeuvre sera la représentation des costumes de métiers, encore celèbre aujourd'hui : Les costumes grotesques et les métiers. Dans cette série gravée, les rois sont représentés à mi corps, en costume, la plupart regardant le spectateur. On observe une grande diversité dans les visages, chaque visage exprimant une émotion particulière. Les fonds sont particulièrement travaillés, créant une profondeur, un éclairage, des ombres.
Reliure à la bradel en plein papier, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge, reliure moderne.
4 trous de vers en marge basse, devenant galerie à la planche 12, avec perte d'une lettre sur quelques planches ; ensuite 5 trous de vers en marge basse, puis 4, puis 2, puis une courte galerie de moins d'un cm sur les dernières planches. Le titre porte une tache brune et des salissures en marges basses, ces salissures se retrouvent sur de nombreuses planches au coin bas.
Nicolas de l'Armessin travaillait comme graveur d'estampes chez Pierre Bertrand, auquel il succèdera en 1679, c'est pourquoi certains exemplaires, notamment la première sont à l'adresse de la veuve Bertrand. Il réalisait pour bertrand des portraits et des emblèmes pour des livres à caractère symbolique, et des almanach royaux, sa plus grande oeuvre sera la représentation des costumes de métiers, encore celèbre aujourd'hui : Les costumes grotesques et les métiers. Dans cette série gravée, les rois sont représentés à mi corps, en costume, la plupart regardant le spectateur. On observe une grande diversité dans les visages, chaque visage exprimant une émotion particulière. Les fonds sont particulièrement travaillés, créant une profondeur, un éclairage, des ombres.
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