COLLECTIF
Journal pour rire. Année complète du n°49 du 6 janvier 1849 au n°100 du 29 décembre 1849
Aubert & Cie|Paris 1849|43 x 60 cm|relié
Edition originale.
Reliure en demi-basane verte, dos lisse frotté orné de filets dorés, plats de papier à la cuve défraîchis, coins émoussés et coiffes élimées. Quelques rousseurs et pliures ainsi que plusieurs déchirures sur la première garde.
Année 1849 complète. Chaque numéro se compose de quatre pages.
Collaborations humoristiques de Riou, Randon, Marcelin, Belin, Émy, Hadol, Henri Meilhac, Bertall...
Le Journal pour rire est une publication française créée par Charles Philipon le 5 février 1848 et disparu en 1855. L'hebdomadaire connut un grand succès, tant et si bien que son directeur déclara à propos de sa genèse : « Lorsqu'en 1848 j'ai fondé cette petite feuille, mon intention était de créer un recueil de dessins comiques bien plus qu'un journal, — un journal qui ne fût pas un journal, — en un mot un journal pour de rire, comme on dit vulgairement. Je crus expliquer clairement cette pensée en donnant à ma feuille le titre de Journal pour rire. Le public prit le litre à la lettre, et voulut un journal qui le fît constamment rire. Mes jeunes collaborateurs ont bravement accepté cette tâche, ils ont abordé les difficultés à la baïonnette, et ont enlevé le succès du Journal pour rire ».
Rare année complète.
Reliure en demi-basane verte, dos lisse frotté orné de filets dorés, plats de papier à la cuve défraîchis, coins émoussés et coiffes élimées. Quelques rousseurs et pliures ainsi que plusieurs déchirures sur la première garde.
Année 1849 complète. Chaque numéro se compose de quatre pages.
Collaborations humoristiques de Riou, Randon, Marcelin, Belin, Émy, Hadol, Henri Meilhac, Bertall...
Le Journal pour rire est une publication française créée par Charles Philipon le 5 février 1848 et disparu en 1855. L'hebdomadaire connut un grand succès, tant et si bien que son directeur déclara à propos de sa genèse : « Lorsqu'en 1848 j'ai fondé cette petite feuille, mon intention était de créer un recueil de dessins comiques bien plus qu'un journal, — un journal qui ne fût pas un journal, — en un mot un journal pour de rire, comme on dit vulgairement. Je crus expliquer clairement cette pensée en donnant à ma feuille le titre de Journal pour rire. Le public prit le litre à la lettre, et voulut un journal qui le fît constamment rire. Mes jeunes collaborateurs ont bravement accepté cette tâche, ils ont abordé les difficultés à la baïonnette, et ont enlevé le succès du Journal pour rire ».
Rare année complète.
Vendu