Bel exemplaire en dépit du dos légèrement décoloré comme souvent.
30 octobre 1871
20 juillet 1945
Edition originale, un des 300 exemplaires numérotés sur hollande, le nôtre imprimé spécialement pour la sculptrice Renée Vautier, seuls grands papiers.
Reliure à la bradel en plein papier, dos lisse, plats de couverture comportant de discrètes restaurations conservés, larges témoins conservés, reliure signée Thomas Boichot.
Précieux envoi autographe signé de Paul Valéry, en dessous de la justification, à sa muse la sculptrice Renée Vautier qui réalisa notamment un célèbre buste du poète en 1935.
Édition originale, un des 90 exemplaires sur hollande, le nôtre un des quelques hors-commerce lettrés.
Reliure à la bradel en demi box brun, dos lisse, plats de papier fantaisie, gardes et contreplats de papier brun, couvertures conservées, tête dorée, reliure signée de Goy & Vilaine.
Précieux envoi autographe signé de Paul Valéry : « A Victoria Ocampo, - a sus piès de Vd - ce petit rien qu'elle a bien voulu désirer. »
Superbe dédicace qui inaugure la fidèle amitié unissant les deux écrivains par-delà les différences.
A la mort de Valéry en 1945, Victoria Ocampo relatera cette première rencontre de décembre 1928 lors d'un dîner d'écrivains auquel est conviée la jeune Argentine tout juste débarquée à Paris.
Evénement fondateur de leur amitié et de l'admiration mutuelle dont témoigne leur émouvante correspondance, c'est à l'aune de cette première impression que Victoria Ocampo décrira sa relation avec le poète et « les sentiments contradictoires que suscitèrent en [elle] la rencontre de l'œuvre et de l'homme qui la conçut : émerveillement, étranglement, admiration, accablement, bonheur. Effets, sur une Sud-Américaine, amoureuse du génie français, d'une des plus grandes intelligences européennes, lorsqu'elle s'en approcha - un peu tremblante - comme d'un feu qui vous attire et vous tient à distance du même coup. »
Nul doute que l'impression de Valéry ne fut pas moins intense pour qu'il lui adresse, peu après, cette dédicace pleine d'humilité qui ne laisse pas d'évoquer les précieux envois de Victor Hugo à Juliette Drouet « à vos pieds, Ma Dame ».
Confidente épistolaire du poète déchu durant les dures années de guerre, Ocampo lui rendra à sa mort un vibrant hommage « par-delà l'intelligence et la bêtise, par-delà la vie. Avec mon respect, mon culte, ma tendre affection si nouée à l'humain. Avec tout ce qui en moi, tant que je vivrai, ne cessera de le sentir vivant, ne cessera d'être le lieu périssable où son immortalité commence. »
Quelques petites rousseurs.
Exemplaire parfaitement établi.
Edition originale, un des rares exemplaires de luxe sur Japon. Edition pré-originale de Trois Hymnes de Paul Claudel.
Autres contributions d'Henri de Régnier, Paul Valery, Francis Carco, André Ruyters, Eduard Ducoté et André Gide.
Une infime déchirure sans manque en queue du second plat, sinon bel exemplaire.
Rarissime exemplaire en grand papier d'un des tous premiers numéros de la revue littéraire française la plus célèbre du vingtième siècle.
Edition originale de la traduction allemande établie par Paul Celan imprimée sur vergé.
Envoi autographe daté et signé de Paul Celan au peintre surréaliste Edgar Jené et à sa femme : "Für Erica und Edgar Jené herzlich, Paul Celan. Paris, am 30. Oktober 1960".
Légères piqûres sans gravité sur un plat de l'étui.
Agréable exemplaire.
Edition imprimée à 150 exemplaires numérotés sur vélin de Rives.
Ouvrage illustré de 33 compositions de George Barbier gravées sur cuivre et imprimées en couleurs.
Rare et très bel exemplaire.
Edition originale, un des 1050 exemplaires numérotés sur vélin labeur.
Cartonnage d'après la maquette originale de Paul Bonet.
Premier plat légèrement insolé en tête, petites piqûres en marges de la page de faux-titre.