KASIMIRSKI (trad.)
Le Koran
Charpentier|Paris 1840|11 x 17.20 cm|relié
Edition originale de la traduction française faite sur le texte arabe par M. Kasimirski, interprète de la légation française en Perse. Introduction par Pauthier.
Reliure en demi chagrin lie-de-vin d'époque à petits coins. Dos lisse richement orné de fers romantiques en miroir et de filets. Filets gras sur les plats. Coins et bordures frottés. Quelques rousseurs sur les premiers feuillets. Écriture manuscrite sur le dernier feuillet. Très joli dos, richement décoré.
Les traductions fidèles et intégrales du Coran ont été fort rares, on compte seulement deux traductions françaises au XVIIIIe, celle de Du Ryer (1734) et celle de Savary (1783), et aucune avant cela, sinon en latin. La première ligne de la préface : "L'établissement de la religion musulmane est un des phénomènes moraux les plus extraordinaires qui aient jamais paru dans les annales des nations." Kasimirski était un orientaliste français originaire de Pologne, il avait donné un dictionnaire français-arabe. Il fut à l'origine chargé de réviser la deuxième traduction française de Savary et fit finalement la sienne propre, qui fut particulièrement estimée et constamment rééditée.
Reliure en demi chagrin lie-de-vin d'époque à petits coins. Dos lisse richement orné de fers romantiques en miroir et de filets. Filets gras sur les plats. Coins et bordures frottés. Quelques rousseurs sur les premiers feuillets. Écriture manuscrite sur le dernier feuillet. Très joli dos, richement décoré.
Les traductions fidèles et intégrales du Coran ont été fort rares, on compte seulement deux traductions françaises au XVIIIIe, celle de Du Ryer (1734) et celle de Savary (1783), et aucune avant cela, sinon en latin. La première ligne de la préface : "L'établissement de la religion musulmane est un des phénomènes moraux les plus extraordinaires qui aient jamais paru dans les annales des nations." Kasimirski était un orientaliste français originaire de Pologne, il avait donné un dictionnaire français-arabe. Il fut à l'origine chargé de réviser la deuxième traduction française de Savary et fit finalement la sienne propre, qui fut particulièrement estimée et constamment rééditée.
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