Lewis GOLDSMITH
Procès de Buonaparte, ou adresse a tous les souverains de l'Europe
Chez J. Moronval|à Paris 1815|-|relié
Edition originale.
Reliure en demi veau moucheté blond d'époque. Dos lisse orné de 4 petits soleils et de filets. Pièce de titre en maroquin beige. Plats de papier bleu. Une tache brune sur le faux titre. Bel exemplaire.
Lewis Goldsmith demande un tribunal de l'Europe pour que soient jugés les crimes de Napoléon Bonaparte. En se basant en partie sur le droit de Puffendorf, l'auteur rapelle les exactions dont fut coupable l'usurpateur des trônes, Bonaparte. L'auteur reprend le nom de Buonaparte qui lui fut donné depuis longtemps dans toute l'Europe pour souligner ses origines obscures et populaires. L'idée que toutes les nations s'allient et soient représentées dans un procès ne sera réalisée, comme on le sait que bien plus tard. L'auteur présente l'empereur comme un accident de l'histoire à rebours de l'idée dominante en 1800 qu'il était l'histoire en marche.
Ex libris dont les armes ont été grattées.
Reliure en demi veau moucheté blond d'époque. Dos lisse orné de 4 petits soleils et de filets. Pièce de titre en maroquin beige. Plats de papier bleu. Une tache brune sur le faux titre. Bel exemplaire.
Lewis Goldsmith demande un tribunal de l'Europe pour que soient jugés les crimes de Napoléon Bonaparte. En se basant en partie sur le droit de Puffendorf, l'auteur rapelle les exactions dont fut coupable l'usurpateur des trônes, Bonaparte. L'auteur reprend le nom de Buonaparte qui lui fut donné depuis longtemps dans toute l'Europe pour souligner ses origines obscures et populaires. L'idée que toutes les nations s'allient et soient représentées dans un procès ne sera réalisée, comme on le sait que bien plus tard. L'auteur présente l'empereur comme un accident de l'histoire à rebours de l'idée dominante en 1800 qu'il était l'histoire en marche.
Ex libris dont les armes ont été grattées.
Vendu