Lazare CARNOT

Edition originale de ce discours prononcé par Lazare Carnot, l'Organisateur de la victoire, à l'assemblée de la Convention Nationale.
Rare et agréable exemplaire présenté dans son brochage d'origine.
 

Edition originale.
Reliure à la bradel en plein cartonnage vert Empire, dos lisse orné de filets dorés, un coin émoussé, reliure de l'époque.
Quelques rares rousseurs, ex-dono à la plume d'un précédent propriétaire sur la page de faux-titre.
Ouvrage illustré, en frontispice, d'un portait de Lazare Carnot.










 

Edition originale.
Reliure en demi basane caramel, dos à quatre nerfs sertis de guirlandes dorées orné de fleurons à froid, frises dorées en tête et en queue, nom de l'auteur de basane brune, un petit trou de ver et une tache en pied d'un mors, plats de papier marbré, tranches jaunes, coins émoussés, reliure romantique de l'époque.
Quelques petites rousseurs.

Edition originale. Il manque la planche dépliante.
Reliure en plein cartonnage moderne créme. Dos lisse, pièce de titre de basane noire avec titre en long. Ensemble relativement bruni.
Les Réflexions sont l'ouvrage le plus célèbre de Carnot, il y expose les principes fondamentaux de l'analyse infinitésimale, du calcul différentiel et intégral. Carnot (1753-1823), en plus d'être un physicien et un mathématicien, fut également génréral et homme politque sous la Convention, et même ministre durant les Cents-jours.

Sixième édition.
Brochure d'époque, sous papier rose imprimé. Frottements.
Mémoire adressé au roi Louis XVIII en juillet 1814, lors de la chute de Bonaparte (dont Carnot avait aidé l'ascension), pro-révolutionnaire, particulièrement violent et imprécatoire envers la mort de Louis XVI. Ce pamphlet rappelle que le ton révolutionnaire n'était pas mort en 1814 et que la recherche d'une constitution adéquate était encore d'actualité. La lettre est suivie des commentaires divers de Carnot lui-même.

Edition originale. L'opinion de Carnot est suivie d'un Discour du citoyen Carnot datant de 1804, et s'opposant à élever le prmeier Consul Bonaparte à la dignité impériale.
Demi Veau glacé chocolat milieu XIXe signé Belz-Nidrée. Frottement en coiffes.
Ce discours de défense du député Carnot fait référence à un épisode de la Terreur. A la suite d'une journée d'insurrection des Jacobins contre la convention thermidorienne, plusieurs députés furent accusés de crime politique, membres du comité de sureté générale (un des principaux instruments de la terreur). Malgré l'intervention de Carnot, les accusés furent condamnés, la plupart à la déportation à Cayenne ; ce fut la fin des derniers Montagnards. Carnot accuse à de nombreuses reprises Robespierre au cours de son discours.