Julien BENDA
"... comme je le pressentais, je n'aurai doux le plaisir de faire connaissance de Vaux, que fin septembre, si vous continuez à m'admettre à cette époque..."
Lettre autographe signée adressée à une amie
s. l. 6 Août 1918|13.50 x 18 cm|2 pages et demie sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Julien Benda adressée à une amie qu'il espère voir prochainement malgré les vicissitudes de la guerre, 28 lignes à l'encre noire.
Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la première page.
Julien Benda ne peut rencontrer son amie comme initialement prévu: "Je vais partir dans deux jours pour Uriage dont je reviendrai trop tard pour qu'il me soit possible d'aller vous voir avant votre départ pour Salies..." mais se réjouit d'avoir obtenu de ses nouvelles par l'intermédiaire d'un ami commun : "... ai eu de vos nouvelles. Je serais heureux d'en avoir encore, bien que la vie là-bas doive être exempte d'épisodes propres à fournir des récits à la Sévigné ; ici au contraire, depuis ce matin, dix heures, nous avons un renouveau d'émotion, comme vous l'apprendrez par les feuilles publiques... Mais rassurez-vous, nous "tenons"..."
Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la première page.
Julien Benda ne peut rencontrer son amie comme initialement prévu: "Je vais partir dans deux jours pour Uriage dont je reviendrai trop tard pour qu'il me soit possible d'aller vous voir avant votre départ pour Salies..." mais se réjouit d'avoir obtenu de ses nouvelles par l'intermédiaire d'un ami commun : "... ai eu de vos nouvelles. Je serais heureux d'en avoir encore, bien que la vie là-bas doive être exempte d'épisodes propres à fournir des récits à la Sévigné ; ici au contraire, depuis ce matin, dix heures, nous avons un renouveau d'émotion, comme vous l'apprendrez par les feuilles publiques... Mais rassurez-vous, nous "tenons"..."
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