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La Montre
chez Claude Barbin|Paris 1681|9 x 15 cm|reliées
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⬨ 49530
Seconde édition pour la première partie qui parut pour la première fois en 1666, édition originale pour les deux suivantes. Une figure allégorique en frontispice.
Reliure de l'époque en pleine basane brune. Dos à cinq nerfs orné de caissons et fleurons dorés. Roulette dorée sur les coupes. Toutes tranches mouchetées rouges. Rousseurs.
Poète originaire de Marseille, et qui décéda en 1706, l'homme fut en outre échevin et consul de France en Egypte et en Syrie. Son premier recueil de vers, La montre, est une suite de madrigaux sur l'emploi amoureux des heures. Boileau en fit une satyre dans Le lutrin, ce à quoi Bonnecorse rétorqua en publiant Le lutrigot. L'ensemble de ses recueils, dont L'amant raisonnable, parut en 1720.
Reliure de l'époque en pleine basane brune. Dos à cinq nerfs orné de caissons et fleurons dorés. Roulette dorée sur les coupes. Toutes tranches mouchetées rouges. Rousseurs.
Poète originaire de Marseille, et qui décéda en 1706, l'homme fut en outre échevin et consul de France en Egypte et en Syrie. Son premier recueil de vers, La montre, est une suite de madrigaux sur l'emploi amoureux des heures. Boileau en fit une satyre dans Le lutrin, ce à quoi Bonnecorse rétorqua en publiant Le lutrigot. L'ensemble de ses recueils, dont L'amant raisonnable, parut en 1720.
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Réf : 49530|Sold
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