Jacques-Henri LARTIGUE
"Comme j'en aurais des choses à vous dire, aujourd'hui, éclairées par tant de souvenirs qui sont beaucoup des vôtres..."
Lettre autographe signée adressée à madame A. Willemetz à propos de la disparition de son mari Albert et celles d'amis communs dont Jean Cocteau
S. n.|Piozzo (Italie) 7 Octobre 1964|21 x 27 cm|une page et demie + une enveloppe
Emouvante lettre autographe datée et signée de Jacques-Henri Lartigue (26 lignes au stylo bille bleu) adressée depuis Piozzo en Italie à son amie Jane Willemetz qui vient de perdre son mari le librettiste, lyriciste et scénariste Albert Willemetz.
Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Enveloppe jointe.
Le photographe, accablé par les morts de leurs amis proches, se sent gagné par la mélancolie: "Comme je me sens loin de Paris aujourd'hui... trop loin pour venir vous embrasser. Vous savez, vous, que j'ai du chagrin ! ..."
Il ne cesse de penser aux amis récemment disparus : "D'abord mon Sacha ! après Jean Cocteau ! Et maintenant notre merveilleux, charmant et lumineux Albert ! Que d'amis irremplaçables ! " et tente de réconforter Jane Willemetz : "Mais je ne veus pas vous parler aujourd'hui et seulement vous embrasser avec toute ma grande affection. Vous et les vôtres."
Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Enveloppe jointe.
Le photographe, accablé par les morts de leurs amis proches, se sent gagné par la mélancolie: "Comme je me sens loin de Paris aujourd'hui... trop loin pour venir vous embrasser. Vous savez, vous, que j'ai du chagrin ! ..."
Il ne cesse de penser aux amis récemment disparus : "D'abord mon Sacha ! après Jean Cocteau ! Et maintenant notre merveilleux, charmant et lumineux Albert ! Que d'amis irremplaçables ! " et tente de réconforter Jane Willemetz : "Mais je ne veus pas vous parler aujourd'hui et seulement vous embrasser avec toute ma grande affection. Vous et les vôtres."
250 €