Edition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa réservés au service de presse.
Dos très légèrement insolé sinon agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'Irène Némirovsky à Charles Laval.
11 février 1903
1942
Edition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa réservés au service de presse.
Dos très légèrement insolé sinon agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'Irène Némirovsky à Charles Laval.
Edition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa.
Agréable exemplaire.
Envoi autographe signé d'Irène Némirovsky à monsieur Maier.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse.
Dos comportant de petits manques en pied, taches claires et traces d'éraflures en tête et en pied du premier plat, infimes rousseurs sur les gardes, la dernière garde est entièrement annotée par le dédicataire au crayon de papier.
Envoi autographe signé d'Irène Némirovsky à Michel Corday.
Edition originale, un des 45 exemplaires numérotés sur pur fil, tirage de tête.
Bel exemplaire complet de son prière d'insérer.
Rare et important envoi autographe signé d'Irène Némirovsky : "A Benjamin Crémieux hommage de l'auteur. Irène Némirovsky".
Crémieux s'était fendu d'une élogieuse critique du premier roman de Némirovsky David Golder, dont l'adaptation par Julien Duvivier compte parmi les premiers films parlants du cinéma français. C'est justement sur ce recueil intitulé Films parlés que Némirovsky, l'émigrée, envoie ses hommages à Crémieux, descendant d'une famille juive du midi assimilée depuis plusieurs siècles. Deux ans après la publication de ce recueil, le nom d’Irène Némirovsky apparaîtra aux côtés de Crémieux "dans une brochure antisémite anonyme, intitulée Voici les vrais maîtres de la France – plus de 800 noms, sous la rubrique « écrivains »"(Mémorial de la Shoah, Olivier Philipponnat). Ils ne reviendront pas des camps de la mort : "À Genève, en février 1945, l'envoyée du ministère des Réfugiés auprès de la Croix-Rouge, Olga Jungelson, n'obtient d'informations ni sur elle, ni sur les autres écrivains déportés dont elle a charge de retrouver trace: Benjamin Crémieux, Robert Desnos, Jean Cavaillès, Maurice Halbwachs" (La vie d'Irène Nemirovsky, Patrick Lienhardt, Olivier Philipponnat). Irène Némirovsky meurt à Auschwitz en 1942 et Benjamin Crémieux à Buchenwald en 1944.