Pablo PICASSO & Moïse KISLING & Manuel Ortiz de ZARATE & Max JACOB & PAQUERETTE
Jean COCTEAU
Photographie originale probablement unique de Pablo Picasso à Montparnasse devant le café La Rotonde, le 12 août 1916
Paris 12 août 1916, 6,3x8,6cm, une feuille.
Photographie originale représentant Pablo Picasso vers 1918, une brindille à la main, devant un mur sur lequel apparait une fresque ou affiche.
Tirage argentique d'époque, peut-être unique.
Cette photographie provient du fonds Maurice Sachs. En 1923, à 17 ans, Maurice Sachs, errant et désargenté, avait été recueilli par Cocteau qui en avait fait son secrétaire - Max Jacob l'avait encouragé à écrire. Sachs devint rapidement le chroniqueur privilégié de la vie intellectuelle des années 20. Le Sabbat, chronique joyeuse et scandaleuse, paraîtra en 1946, un an après que Sachs ait été exécuté par un SS sur une route perdue d'Allemagne où sa vie d'aventurier amoral l'avait entrainé.
PICASSO & CIE. Deux photographies,
tirages argentiques d'époque (63 mm x 86
mm) - 1916 & 1918 - présentées dans un
encadrement ancien des années 20/30 (125 x
210 mm), provenant de chez Maurice Sachs
(étiquette). 6 000 €
La première : Pablo Picasso dos au mur, chevelu et
cravaté, cigarette à la main, narquois et le regard de
biais. Image méconnue, autour de 1918 (Picasso a
troqué la pipe pour la cigarette...).
La seconde : PICASSO & CIE. Deux photographies,
tirages argentiques d'époque (63 mm x 86
mm) - 1916 & 1918 - présentées dans un
encadrement ancien des années 20/30 (125 x
210 mm), provenant de chez Maurice Sachs
(étiquette). 6 000 €
La première : Pablo Picasso dos au mur, chevelu et
cravaté, cigarette à la main, narquois et le regard de
biais. Image méconnue, autour de 1918 (Picasso a
troqué la pipe pour la cigarette...).
La seconde : Manuel Ortiz de Zarate, Moïse
Kisling, Max Jacob, Pablo Picasso et l'actrice Pâquerette,
devant le café de la Rotonde le 12 août 1916.
C'est Jean Cocteau qui fit cette dernière photographie.
En 1923, à 17 ans, Maurice Sachs, errant et
désargenté, avait été recueilli par Cocteau qui en
avait fait son secrétaire - Max Jacob l'avait encouragé
à écrire. Sachs devint rapidement le chroniqueur
privilégié de la vie intellectuelle des années 20. Le
Sabbat, chronique joyeuse et scandaleuse, paraîtra en
1946, un an après que Sachs ait été exécuté par
un SS sur une route perdue d'Allemagne où sa vie
d'aventurier amoral l'avait entrainé.
En 1923, à 17 ans, Maurice Sachs, errant et
désargenté, avait été recueilli par Cocteau qui en
avait fait son secrétaire - Max Jacob l'avait encouragé
à écrire. Sachs devint rapidement le chroniqueur
privilégié de la vie intellectuelle des années 20. Le
Sabbat, chronique joyeuse et scandaleuse, paraîtra en
1946, un an après que Sachs ait été exécuté par
un SS sur une route perdue d'Allemagne où sa vie
d'aventurier amoral l'avait entrainé.
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Réf : 78127
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