Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne






   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31225 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Conditions de vente


Moyens de paiement :

Paiement sécurisé (SSL)
Chèques
Virement bancaire
Mandats administratifs
(Musées et Bibliothèques)


Délais et tarifs de livraison

Conditions générales de vente

Autographe, Edition Originale

André GIDE Lettre autographe adressée à Pierre de Massot lui rappelant leur amitié commune pour André Suarès : "Très grand plaisir à écrire quelques pages sur Suarès, où je fais abondante mention de votre rôle affectueux..."

400 €

Réf : 86599

Commander

Réserver

Poser une question

André GIDE

Lettre autographe adressée à Pierre de Massot lui rappelant leur amitié commune pour André Suarès : "Très grand plaisir à écrire quelques pages sur Suarès, où je fais abondante mention de votre rôle affectueux..."

S.n., Torri del Benaco 19 Novembre 1950, 11x14cm, trois pages sur un double feuillet.


Lettre autographe datée et signée d'André Gide, 25 lignes à l'encre noire, adressée à son secrétaire Pierre de Massot.
Trace de pliure inhérente à la mise sous pli.
André Gide a récemment manqué à tous ses devoirs d'ami envers Pierre de Massot : "J'étais furieux contre moi, l'autre dimanche, de me rendre compte qu'il eût suffi peut-être d'un signe de ma part pour provoquer votre venue - et j'aurais eu grand plaisir à vous revoir ! Trop tard ! J'ai été très bas ces temps derniers..." et tente de se faire pardonner et de se pardonner à lui-même en évoquant leur tendresse partagée pour le poète André Suarès: "Très grand plaisir à écrire quelques pages sur Suarès, où je fais abondante mention de votre rôle affectueux..."
André Gide lui fait également part de son grand état de fatigue tant morale que physique : "Trop fatigué pour vous écrire. Savez-vous l'heure qu'il est ? Cinq heures du matin. Je prends en vain des drogues pour tâcher de dormir..." et s'inquiète pour son proche avenir : "Vais-je pouvoir tenir le coup jusqu'au bout ? Question."


 

400 €

Réf : 86599

Commander

Réserver