Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne






   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31347 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Conditions de vente


Moyens de paiement :

Paiement sécurisé (SSL)
Chèques
Virement bancaire
Mandats administratifs
(Musées et Bibliothèques)


Délais et tarifs de livraison

Conditions générales de vente

Autographe, Edition Originale

Georges CLEMENCEAU La honte

10 000 €

Réf : 86548

Commander

Réserver

Poser une question

Georges CLEMENCEAU

La honte

P.V. Stock, Paris 1903, 16x18,5cm, relié.


Edition originale, un des 12 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers.
Reliure en plein chagrin rouge, dos à trois nerfs sertis de frises dorées orné d'un cartouche doré enrichi de motifs typographiques noirs, gardes et contreplats de papier peigné, ex-libris encollé sur un contreplat, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins.
Quelques rousseurs sur certains témoins.
Envoi autographe signé de Georges Clemenceau à monsieur Henry Leyret, chroniqueur politique et judiciaire ainsi que rédacteur à l'Aurore.
Le Tigre envoie ici son immense ouvrage sur l'affaire Dreyfus à l'un de ses collaborateurs à L'Aurore, où fut publié « J'accuse ! ». Il y eut toujours chez Leyret, comme chez Clémenceau, une grande sensibilité aux injustices sociales. Leyret mena lui-même, dans les pages du même journal, un combat couronné de succès contre les injustes condamnations au bagne infligées aux anarchistes. Il fut directement impliqué dans l'engagement dreyfusard de L'Aurore en signant un important article sur les grands principes de la Ligue des Droits de l'Homme nouvellement créée, trois mois après « J'accuse ! ». En 1898, il rassemble la correspondance d'Esterhazy, pour servir à la postérité : « Qu'ils lisent maintenant les Lettres d'un coupable, qu'ils les lisent à leurs femmes, à leurs fils… Ah ! je les défie bien de ne pas s'indigner, de ne pas surprendre dans les yeux de leurs auditeurs un éclair de colère, une expression de dégoût, et de ne pas s'écrier : ‘Non ! cet acquitté n'est pas un innocent !' »
Exceptionnel envoi à un chroniqueur engagé, qui mena le dur combat pour le droit et la justice aux côtés de Clémenceau, dans les colonnes de l'Aurore.
 

10 000 €

Réf : 86548

Commander

Réserver