Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne






   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31348 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Conditions de vente


Moyens de paiement :

Paiement sécurisé (SSL)
Chèques
Virement bancaire
Mandats administratifs
(Musées et Bibliothèques)


Délais et tarifs de livraison

Conditions générales de vente

Autographe, Edition Originale

Alphonse BOUDARD Lettre manuscrite adressée par Alphonse Boudard à son grand ami le journaliste bruxellois, également grand ami et biographe de Georges Brassens, André Tillieu : "Les Grands Chemins tu as raison, c'est un livre formidable. De plein air et de grand style. On peut toujours relire Giono... la vie passe entre les lignes et la poésie... merveilleux ! "

300 €

Réf : 79712

Commander

Réserver

Poser une question

Alphonse BOUDARD

Lettre manuscrite adressée par Alphonse Boudard à son grand ami le journaliste bruxellois, également grand ami et biographe de Georges Brassens, André Tillieu : "Les Grands Chemins tu as raison, c'est un livre formidable. De plein air et de grand style. On peut toujours relire Giono... la vie passe entre les lignes et la poésie... merveilleux ! "

S.n., Paris 2 Décembre 1996, 21x29,5cm, une feuille + une enveloppe.


Lettre manuscrite datée et signée de 42 lignes d'Alphonse Boudard à son grand ami et compagnon de déjeuners arrosés le journaliste bruxellois André Tillieu qui fut, comme Alphonse Boudard, un grand ami de Georges Brassens mais aussi de Louis Nucéra.
Une trace de pliure inhérente à la mise sous pli de la lettre.
"vieux,
merci de ta formidable lettre... j'ai mis du temps avant de te répondre, débordé que je suis par les activités de "promotion" de Mme de Saint Sulpice. Fatigant tous ces trains, tous ces avions, ces attentes, ces blabla toujours les mêmes. Bah ! il y a des métiers plus pénibles et moins rémunérateurs. Je me demande toujours si mes premiers bouquins tiennent encore la lecture. Tu me rassures un peu et je reçois aussi des témoignages de nouveaux lecteurs... jeunes... Le spectable de Jacques Rosny a bien du mal à démarrer. J'ai en main un texte formidable de Raymond Devos qui va paraître dans le "Figaro" et qui nous donnera peut-être le coup d'envoi.  Je sais que tu apprécies beaucoup la nouvelle "Gladys". J'en ai tiré une pièce - il y a déjà 12 ans - et finalement elle va être montée au Petit Marigny avec Danielle Darrieux et Christian Barbier. Là, je pense que ces messieurs de la critique se dérangeront. Les Grands Chemins tu as raison, c'est un livre formidable. De plein air et de grand style. On peut toujours relire Giono... la vie passe entre les lignes et la poésie... merveilleux !  J'espère que les choses vont mieux pour toi... Je t'embrasse fraternellement. ABoudard Louis sera à Paris demain pour le prix Blondin. Suzanne va mieux."

André Tillieu le bruxellois, très proche ami et biographe de Georges Brassens, entretint une correspondance épistolaire avec Alphonse Boudard sur presque trente ans, de 1972 jusqu'à la mort de ce dernier en 2000.
L'écrivain gouailleur parisien lui témoigna très rapidement son amitié, le considérant comme l'un des rares critiques à le comprendre parfaitement au point d'expliquer clairement dans ses chroniques ce que lui-même exprimait qu'incomplètement et parfois confusément dans ses livres. 
André Tillieu fit dès lors partie du petit cercle des véritables amis d'Alphonse Boudard au même titre que le Gros Georges (Georges Brassens), le Niçois (Louis Nucéra) et René Fallet avec lesquels il aimait partager de plantureux repas bien arrosés et les virées cyclistes. A mesure que la camarde lui enlevait petit à petit ses meilleurs amis, André Tillieu restera l'un des tous derniers potos d'Alphonse.
 

300 €

Réf : 79712

Commander

Réserver