Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne
De nos oiseaux

Tristan TZARA

De nos oiseaux

7 500 €

Les malheurs des immortels révélés par Max Ernst et Paul Eluard

Paul ELUARD

Les malheurs des immortels révélés par [...]

7 800 €

Théophile Gautier. Notice littéraire précédée d'une lettre de Victor Hugo

Charles BAUDELAIRE

Théophile Gautier. Notice littéraire [...]

75 000 €

Les Oeuvres de Scevole de Sainte Marthe

Scévole de SAINTE-MARTHE

Les Oeuvres de Scevole de Sainte Marthe

10 000 €

Syntagma de Musis

Lilio Gregorio GIRALDI

Syntagma de Musis

12 000 €







   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31330 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Catégories

Conditions de vente


Moyens de paiement :

Paiement sécurisé (SSL)
Chèques
Virement bancaire
Mandats administratifs
(Musées et Bibliothèques)


Délais et tarifs de livraison

Conditions générales de vente

Autographe, Edition Originale

Stéphane MALLARME Lettre autographe signée adressée à Alidor Delzant : "Je suis désastreux."

1 500 €

Réf : 76338

Commander

Réserver

Poser une question

ajouter à ma collection virtuelle Ajouter à ma collection virtuelle

Stéphane MALLARME

Lettre autographe signée adressée à Alidor Delzant : "Je suis désastreux."

Paris 21 novembre 1892, 11,2x134cm, 2 pages sur un double feuillet et une enveloppe.


Lettre autographe signée de Stéphane Mallarmé adressée à Alidor Delzant ; deux pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet. Enveloppe jointe.
‎Alidor Delzant fut avocat, collectionneur et bibliophile. Ami des Goncourt, il leur consacra un ouvrage et fut le secrétaire et légataire testamentaire d'Edmond.
"Je suis désastreux. Voici que lundi prochain, me rappelle-t-on à la maison, j'ai du envoyer, dans la soirée, un travail à Londres et qu'on a déjà remis au lundi suivant une invitation chez des amis, pour ce motif..."
Le "travail" dont il est question dans cette lettre est l'article intitulé "Théodore de Banville" qui paraîtra dans le National Observer du 17 décembre 1892.

1 500 €

Réf : 76338

Commander

Réserver