Librairie Le Feu Follet - Paris - +33 (0)1 56 08 08 85 - Nous contacter - 31 Rue Henri Barbusse, 75005 Paris

Livres anciens - Bibliophilie - Œuvres d'art


Vente - Expertise - Achat
Les Partenaires du feu follet Ilab : International League of Antiquarian Booksellers SLAM : Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne






   Edition originale
   Autographe
   Idée cadeaux
+ de critères

Rechercher parmi 31223 livres rares :
éditions originales, livres anciens de l'incunable au XVIIIè, livres modernes

Recherche avancée
Inscription

Recevoir notre catalogue

Rubriques

Les Enquetes
Catalogues
La Lettre du Feu Follet
Echos
Portfolio
Termes et concepts de la bibliophilie
Focus
Contributions
L'enigme
A la librairie
Evenements
Editorial
Essais bibliographiques
Illustrateurs Gazette du Bon Ton

Focus

Le manuscrit du Voyage au bout de la nuit (re)découvert

Actualité Le manuscrit du Voyage au bout de la nuit (re)découvertActualité Le manuscrit du Voyage au bout de la nuit (re)découvert
Le Voyage au bout de la nuit paraît en 1932 chez Denoël. Louis-Ferdinand Céline rate le Goncourt, mais obtient le Renaudot. En mai 1943, il vend son manuscrit à Etienne Bignou, marchand d’art de la rue la Boétie. La transaction se fait contre 10000 FF et un petit tableau de Renoir.

Le manuscrit disparaît alors pendant près de 60 ans.

Lorsqu’il réapparaît, en 2001, par l’entremise du libraire Pierre Bérès, le manuscrit est mis aux enchères à Drouot, suscitant immédiatement les convoitises et les offres. La BNF l’emporte, faisant jouer son droit de préemption, pour plus de 12 millions de francs.

Conservé dans un coffre-fort de la BNF, le manuscrit n’a jamais été numérisé – seuls quelques privilégiés ont pu y avoir accès. A l’initiative des éditions des Saints Pères, ce trésor de la littérature française est désormais accessible aux passionnés.

Cette publication inédite propose une immersion bouleversante dans l’univers de l’un des plus grands écrivains français.

Pour plus de détails : site de l'éditeur

(Copyright photo : Gallimard, 1952)
 
Laisser un commentaire